Du domaine
de Talatua il ne restait plus qu'une marre, mais elle avait une pureté à couper
le souffle, et d'une beauté sans pareille malgré l'aube rouge.
Mama Vaï pria, supplia Talatua de
les aider, de les sauver. Mais trop faible il était pour entendre, pour agir.
Tout son domaine avait été bouilli par l'aube rouge.
Autre fois serpent enlaçant le
soleil et la lune, désormais ver de terre pataugeant dans sa mare, les touts
puissants n'étaient plus, détruits par l'influence de l'aube rouge.
Ah ! Comment elle était déçue Mama
Vaï ! Comment elle était chagrinée Mama Vaï ! Seule et perdue, je vous le dis,
il n'y avait pas plus triste être au monde que Mama Vaï.
-
Et qu'est-ce qui s'est passé ? Qu'est ce qu'elle a fait ?
-
L'ulwazi ?
-
L'ulwazi ?
-
Oui, l'ulwazi.
-
Pourquoi l'ulwazi ?
-
Elle avait l'ulwazi ?
-
Mais c'est quoi l'ulwazi concrètement ?
-
Ow ! ow, les petits ! Ne fatiguez pas les oreilles avec ces questions, vous
verrez ça après. Le temps c'est du poisson. Continue !
-
Ah, oui, Taloa Matagi. L'histoire est presque terminée.
Ahem... Si triste elle était Mama
Vaï qu'une larme coula le long de sa joue et tomba sur l'ulwazi qu'elle tenait
entre ses mains.
Et je vous le dis, que le ciel me
punisse si je mens. Le domaine de Talatua commença à se remplir d'eau, une eau
d'une pureté à couper le souffle, et d'une beauté sans pareille malgré l'aube
rouge.
Talatua grossit dans ses os, il
grossit tellement qu'il peut enlacer tout le monde d'une part à l'autre, alors
que son eau engloutit tout sur son passage.
Mama vaï fut balayée par le courant
de cette eau sacrée et se perdit à jamais dans les profondeurs séparées à
jamais de l'ulwazi.
Ainsi se termine la triste histoire
de Mama Vaï, maudite et perdue à jamais, errant depuis la nuit des temps,
assallie par le malheur et le regret...
-
C'est tout ?
-
C'est tout ce que je sais, Taloa Matagi.
-
Petit ! Regarde-moi bien. Est-ce que tu es sûr que c'est la bonne histoire. Vraiment
sur.
-
Ah ! c'est l'histoire que j'ai retenue.
-
Peuh ! Quelle perte de temps.
-
Est-ce que vous allez ?
-
Pêcher ! Pour mon plus grand malheur, les ventres ne se remplissent pas
tous seuls.
Blabla de l’auteur
Hello à vous chers lecteurs ! Bonne
Toussaint à vous !
Texte time !
Pouh, pouh, pouh… je vais être
franc, je ne suis pas très satisfait. Le travail va demander pas mal de réécriture
du point de vue détail. Le squelette est là, c’est déjà pas mal. Le sens ne va
pas beaucoup changer et ne va pas impacter le reste de l’histoire. Les
changements que je ferai ce sera plus pour la forme que le fond. Enfin je vais
voir.
Si vous avez des questions, des suggestions, etc… n’hésitez
pas à laisser un commentaire ou à m’écrire ici : unepageparjour@hotmail.com
Merci de me lire ! Merci de vote patience !! Vous
êtes formidables !!! Tchuss et à demain !!!! Portez-vous bien !!!!!
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