blabla du corona, euh du mercredi...

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Hello à vous chers lecteurs ! J’espère que votre quarantaine se passe dans les meilleures conditions possible. À tous ceux qui vivent dans de petits appartements, courage. J’ai vu un documentaire sur les micros apparts aux états unis où il existe des micros appartements. Le principe est ridicule : un appartement d’une vingtaine de mètres carrés divisés en pods/en capsules de 3m² et il peut y avoir jusqu’à 10 personnes dans ces appartements. Je ne suis pas sur, mais ça vient du Japon ce type de capsule, dites-moi si j’ai tort. Je crois que ça s’appelle des «capsule hotel». 

https://asianwanderlust.com/capsule-hotel-tokyo-japon/

(Encore, ceux là ont l'air spacieux). 

Si par je ne sais quel miracle, l’un d’entre vous me lit en cette période de quarantaine, je ne sais quoi vous dire si ce n’est courage.


C’est incroyable, la richesse ne fait qu’augmenter, mais l’espace habitable ne fait que diminuer et les moyens financiers des gens ordinaires s’écoulent comme du sable entre les mains. Notre folie continue de tourner encore et encore si bien qu’on ne sait même plus ou on a commencé à tournoyer et nous voilà perdus au milieu du désert, seuls, même à plusieurs, riches de pierres, mais pauvres de sens... A nous aussi de dire non, on n'en veut car malheureusement le silence est un oui. 

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Bon je vais arrêter là mon élan poétique, je me sens piquer vers le pessimisme et ce n’est pas le but de ce blog (même si le nom peut porter à confusion...)


Bien, le Corona est partout, sur tous les écrans et internet n’est pas épargné entre les memes et autres délires du genre. Il serait facile de positiver en prenant l’aspect écologique. Là, c’est techniquement (en ôtant l’aspect humain) le rêve. Pratiquement personne dehors, l’économie au ralenti et donc moins de pollution : la planète respire un petit peu. Que demander de mieux (oh, les gouvernements et les entreprises vont essayer de nous faire cravacher après la crise pour rattraper les pertes, j’en suis persuadé).

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Mais ce n’est pas de cet aspect que je veux parler, du moins pas tout à fait, peut être...


Vous vous rappelez je vous disais qu’il faut qu’on ralentisse notre rythme. Qu’on se pose un petit peu, qu’on sorte de la course à la consommation et à la production et qu’on se demande : où est-ce qu’on va ? Eh bien voilà. La nature elle-même nous a imposé ce temps. Alors on a deux choix :

1 - le subir : en se disant ah, les gosses me rendent dingue, ma femme me rend dingue, mon mari me rend dingue, etc, etc... Et là on supporte la situation au lieu d’en tirer le meilleur, même si ce meilleur est pratiquement impossible à voir. Plus de deux enfants dans un petit appart, ils courent, crient et sautent partout, je compatis à la douleur. Où si votre couple est dysfonctionnel et que le travail était une échappatoire, bon bah là, clairement ce ne sera pas un temps agréable, mais ça peut être un temps pour mettre les choses au point quitte à repartir de zéro.

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2- Attendre que ça passe : ce n’est pas exactement subir à mes yeux. Parce que là vous vous occupez de manière ludique en attendant que ça finisse. Vous regardez les séries, les films, jeux vidéos, là les geeks sont ravis croyez moi.

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3- Profiter de ce temps : et c’est peut-être le plus difficile. Profiter de ce temps pour ralentir le rythme, pour se poser les bonnes questions. Dans la vie de tous les jours on est emporté par un courant dont on ne soupçonne même pas l’existence, le courant du : il faut. Il faut ci, il faut ça, travailler, acheter, consommer, dormir et rebelote. Quel temps avait-on pour vivre ? Quel temps pour transmettre à nos enfants ? Quel temps....


Là on vient de se prendre une baffe dans la tronche alors soit on essaye de rendre bêtement et méchamment soit on se demande pourquoi. Et si c’était nous qui avions provoqué et l’autre a riposté ?

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Nous avons enfin le temps, oui il n’est pas comme on voudrait, mais le temps est la ressource la plus importante de tout l’univers et on vient de nous en faire cadeau, cadeau empoisonné oui, mais en toute honnêteté on aurait pu réagir autrement. Je dis on parcequ’on est sur la même planète, partageant le même oxygène et les mêmes ressources, nageant dans les mêmes océans, riant aux mêmes blagues ou presque (je ne m’engage pas pour l’humour japonais XD).


Je suis sidéré par toutes les divisions forcées que nous avons vécu au cours de l'histoire au nom du capital de certains. Aujourd’hui nous avons l’opportunité d’être les enfants du monde tout simplement, mais bon c’est une utopie pour laquelle nous ne sommes pas prêts. Nous n’avons pas fait assez de travail sur nous même pour surpasser nos défaillances émotionnelles et cognitives, c’est tellement problématique à ce niveau que je ne sais même pas par quoi commencer. Mais encore une fois, je me sens piquer du nez vers le négativisme.


Je vous en conjure, prenez ce temps, prenons ce temps, savourons ce temps en famille. Ne le subissons pas comme un orage, mais voyons-le comme un champ à cultiver, les fruits viendront pour nous ou pour nos enfants. 

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Merci de me lire ! Vous êtes formidables !! Tchuss et à bientôt !!! Prenez soin de vous maintenant et surtout après !!!!

Blabla de l'auteur : parlons un peu d'espionnage (et là imaginez la musique de james Bond)

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Hello à vous chers lecteurs ! J’espère que vous allez bien. J’espère que cette semaine de séparation n’a pas été aussi dure pour vous que pour moi... XD.

Bien, attaquons directement la conversation... Euh nan, je tiens avant à vous demander si tout va bien pour vous. N’hésitez pas à lancer une conversation dans les commentaires ou en m’écrivant ici : unepageparjour@hotmail.com.

Maintenant on peut commencer

Alors je vais commencer le blabla en vous apprenant quelque chose qui ne changera rien à votre vie, mais que je trouve assez drôle. J’ai découvert qu’il y avait des concours de baffes. Deux gaillards bâtis comme des montagnes se mettent face à face sous le regard d’un juge et d’un public, et ils se mettent des baffes dans la tronche. Il se passe des choses étranges en ce monde XD. https://www.dailymotion.com/video/x74s57q

Ah, la Russie... Bref, c’était une petite parenthèse (je vais avoir la main légère sur les gifs). 

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Aujourd’hui j’aimerais parler d’un mini reportage que j’ai vu sur «le média». J’aime bien cette chaîne, il y a quand même de la recherche et de la conscience professionnelle, pas comme moi XD.

Le mini reportage s’appelle : comment Apple vous espionne. Le lien est ici : https://www.youtube.com/watch?v=Kt0NEZYwnCY

Le narrateur est monsieur Thomas le Bonniec, un ancien employé d’Apple et il explique des choses très intéressantes qui ont déjà fuité à plusieurs reprises par le passé.

Monsieur le Bonniec explique donc qu’il travaillait pour un sous-traitant d’Apple : GlobeTech, dans un bureau d’Apple basé en Irlande. Il y exerçait le métier de : language analyst. Alors si comme moi vous avez eu des flashs venant de séries d’espionnage comme 24 h chrono et j’en passe, c’est parce que c’est le cas.

J’ignore tout ce qu’un language analyst fait comme métier exactement, mais du témoignage de monsieur le Bonniec, leur journée consistait principalement à écouter les gens.

Là vous vous dites peut-être :

- Une seconde : les gens ? Écouter quels gens ?

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Eh bien la réponse c’est : tous ceux qui ont des produits Apple. Et je vais faire une extrapolation qui n’a aucune preuve. Je suis prêt à parier qu’Apple n’est pas la seule entreprise à pratiquer ce vandalisme de la vie privée. Mais revenons sur Apple.

Donc, selon l’ancien insider, leur job consistait à écouter des conversations privées de vrais gens vivant leur vie, mais du coup vient la question

- Pourquoi ? Est-ce que c’est une question de pouvoir ? Vu que le nerf de la guerre c’est l’information. Mais dans ce cas dans quelle guerre sommes-nous ? Politique ? Économique ? Culturelle ? Quelle guerre justifie cet espionnage surtout qu’on n’est même pas au courant qu’on est en conflit ! Est-ce que c’est une question de tune, de dollars, d’euros, de yen, de rouble et j’en passe ? Manquent-ils si cruellement d’argent qu’ils sont contraints de fracasser la porte de notre intimité ? Les pauvres... Qu’est-ce qui se passe en réalité ? Et il y a quelque chose que monsieur le Bonniec à ajouté vers la fin de son interview qui m’a fait lever un sourcil. Je vous invite donc à regarder la vidéo si vous avez 31 mn 19 à tuer. Il explique beaucoup de choses intéressantes.

Maintenant, à un moment il dit quelque chose qui m’a parlé :

- «...Ils essayent effectivement de lui donner des attributs de la divinité...» - dit-il en parlant de Siri et des développeurs d’Apple. Et je me suis posé cette question :

- Et si c’était vrai ? Et si c’était effectivement une question de divinité ? Et si ils cherchaient à créer dieu ?

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Ok, ok, rangez cette camisole je vous voir venir là. La conversation que je veux amener, en réalité, me dépasse en complexité. Elle demande des connaissances poussées en psychologie, sociologie et beaucoup d’autres mots finissant en gie. Mais je peux eut être la résumé comme suit :

- Est il déraisonnable de penser que des personnes en viennent à vouloir créer la perfection ?

Prenez des artistes moi y compris. Si je peux brûler tous mes textes et travailler sur eux jusqu’à ce qu’ils soient «parfaits» je l ferai. La seule raison qui me pousse à éviter ce chemin c’est que je sais que la folie est au bout, folie provoquée par une surcharge synaptique probablement. Cette envie est là, présente, elle existe et les personnes qui en sont l’avatar (en quelque sorte) sont appelés des : perfectionnistes.

Maintenant, regardons le monde dans lequel on vit : corruption politique, corruption économique, guerres, etc... c’est le monde transmis par les médias et on vient souvent à oublier qu’il n’y a pas que ça.

Ensuite disons que nous avons un peu de monsieur Oppenheimer en où :du génie mélangé à de l’empathie non ciblée, le tout cuit dans une époque traumatisante. Eux c’était la Seconde Guerre, nous c’est... euh, la guerre de twitter ? Je n’en sais rien, mais clairement il se passe quelque chose sinon il n’y aurait pas les gilets jaunes. Même les avocats ont été en grève c’est pour dire.

Est ce que dans ces conditions, il serait déraisonnable de penser que la seule solution à ces problèmes que nous rencontrons est dans quelque chose qui nous dépasse, qui est plus intelligent que nous, qui est plus parfait que nous : l’IA. Problème, l’IA a besoin d’être éduquée et nourrie par de l’information, nos informations.

Je vous l’accorde, ma logique est bancale sur certains points, mais est-il déraisonnable de voir dans leurs méthodes la volonté d’apporter la solution à nos problèmes à travers la création de quelque chose qui nous dépasse : l’IA aka Deus ex machina. 

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C’est prétentieux et dangereux comme plusieurs experts le clament haut et fort. L’existence de cette entité est une décision à prendre en société au sens large du terme parcequ’elle implique toutes les nations. Si ce génie sort de la bouteille, toute la planète en sera affectée en bien ou en mal.

Voilà, je poursuivrai cette conversation une prochaine fois. Lorsque j’aurai bien mieux structuré ma pensée.

Je vous invite à regarder la vidéo et n’hésitez pas à me dire ce que vous en avez pensé.... Parce que... Ok, 

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même si on met de côté cette histoire de «divinité». Mettons le dans un coffre dans un placard. Pour l’instant cela ne nous amène rien et revenons sur le simple principe d’intimité.

Ce matin, avant de tomber sur la vidéo j’avais fait un rêve. J’étais en train de discuter avec une personne que je ne connaissais pas et à un moment de la conversation elle a sorti une liste avec mes messages obtenus depuis mon téléphone. Et du coup je m’étais énervé, non pas parcequ’il y avait un risque qu’il tombe sur quelque chose de compromettant, mais simplement parce que les messages, les mots que j’ai utilisés à l’encontre d’une personne : frère, mère, ami, copine, etc... sont à destination de cette personne et cette personne uniquement. C’est le lien qui nous uni, lien battit par des années de relation, de moments agréables, tristes, d’épreuves, etc... Ce moment-là, ces mots-là, sont la preuve de la relation qui nous uni à ceux qui nous sont proches.

J’ai souvent été confronté dans mon argumentaire à cette question :

- Mais de toute façon si tu n’as rien à cacher, ce n’est pas grave.

Là n’est pas la question. Même une autorité telle que la police à des règles à suivre. Un policier ne peut pas juste vous agresser verbalement ou physiquement comme ça (hors manif), il y a un protocole et un minimum de justifications. Si quelqu’un est soupçonné d’être un danger, je veux bien qu’on le mette sur écoute temporairement. Non pas pour savoir ce qu’il mange et comment l’influencer à travers les pubs, mais pour pouvoir l’identifier ou non comme un danger.

Là, qu’est-ce qui justifie que notre vie privée soit vandalisée comme ça, sans raison ? Qu’est-ce qui justifie que les messages qui nous ont mis à nue dans nos moments de joie ou de faiblesse ou même de perversion pourquoi pas, soit saisis non par les destinataires, mais par des tiers passants ? Est-ce que c’est moi qui trouve que c’est étrange ou il y a vraiment matière à dire : stop, on n’en veut plus ? Et... nan, nan, nan, je m’arrête là sinon je ne vais pas me taire et ce sera un pavé.

On reviendra certainement sur le sujet un jour ou l’autre.

Merci de me lire ! Vous êtes formidables !! Tchuss et à la semaine prochaine !!! Portez-vous bien !!!!

Blabla de l'auteur : essayons de positiver

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Hello à vous chers lecteurs ! J’espère que vous allez bien en cette période pour le moins étrange politiquement, culturellement voir économiquement. 

J’ai l’impression que notre société est une poule sans tête ou un coq sans tête qui court partout, qui court inconscient du peu de temps qu’il lui reste. Ou que nous sommes prisonniers de : The mask 

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Mais cette vision est déprimante et je refuse d’être déprimé. C’est pourquoi on va parler de quelque chose positif sans que j’essaye d’aller dans le oui, mais non. Ce sera de la pure positivité naïve pour cette fois.

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Alors par quoi est-ce que je vais commencer ?

J’ai lu un article qui m’a fait me dire : c’est culotté quand même de le voir comme ça. C’est une drôle de manière de tourner les choses, mais why not. Nous sommes en quête de positivité oui ou non ?

J’ai lu cet article : https://www.jdbn.fr/le-coronavirus-fait-chuter-la-pollution-en-chine-des-images-de-la-nasa-le-prouvent/

Je veux déjà commencer par souhaiter toutes mes condoléances aux familles des victimes. J’ai moi-même frôlé quelques maladies mortelles quand j’étais plus jeune alors je sais pertinemment que c’est effrayant. Je ne veux pas faire preuve d’insensibilité.

Comme vous pouvez le voir dans le titre de l’article, il apparaît que le coronavirus a fait chuter la pollution en chine et les images satellites le prouvent.

Alors rien qu’en lisant le titre j’ai eu une chaîne de réaction

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Et je me suis dit, bah si on peut y trouver ne serait ce que quelque chose de bien à toute cette folie, pourquoi pas ? C’est un peu le même principe que la foi. J’avais vu un article il y a bien longtemps sur un couple qui vivait en Australie, il me semble... 

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Je ne veux pas dire de bêtises sur la géolocalité (holala quel mot), mais le cœur de l’histoire était celui-là : le couple avait une fille qui était partie à l’étranger pour ses études. Malheureusement elle a été la victime d’une agression et elle en est morte. Les parents sont allés dans ce pays et ont monté une association pour aider les jeunes en difficulté comme ceux qui ont agressé leur fille et ont même employé certains des agresseurs. Je ne peux même pas imaginer ce que ça peut faire de voire le meurtrier de son enfant voire l’aidé à se construire une vie. J’espère un jour pouvoir faire preuve d’une telle grandeur si jamais une tragédie frappe, mais j’espère surtout éviter une telle tragédie.

Ça me rappelle aussi une autre histoire sur une mère qui a commencé à rendre visite au meurtrier de son fils en prison avant de créer une relation de substitu... (Positivité naïve j’ai dit), avant de l’absoudre de son crime, on va le formuler ainsi. Je n'ai pas la légitimité nécessaire pour émettre un jugement. Je ne peux que m'émerveiller de la grandeur d’âme nécessaire pour un tel exploit. Certaines personnes ont un cœur immense, peut être même trop ?

Tous ces deux exemples me servent à dire ceci : même dans la pire adversité, il est Possible de voir un rayon de soleil. 

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Lorsqu’il nous arrive quelque chose de tragique, on peut et on fait d’ailleurs de cet événement, eh bien, une tragédie. C’est humain, ça fait mal, c’est dur à en mourir des fois. Mais il arrive, en faisant preuve d’une force presque surréaliste, de se dire :

- Non ! Je ne ferai pas de cet événement mon mouroir.

Y arriver peu même donner cette impression :

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C’est à peu près ça que cet article m’a évoqué. Dans cette situation de panique où on met des villages en quarantaine, il est facile de céder à la peur et à la psychose. Je dirai même c’est naturel. Si je vois un groupe de personnes courir, je ne me pose même pas la question, je trace ! Mais n’est-ce pas en cet instant où il est nécessaire de combattre cette condition avec un simple sourire ?

Alors pour tous ceux qui sont prêts à voir le verre à moitié rempli, sachez donc ceci. Pendant que la maladie se répand un peu partout dans le monde, la planète peut respirer un petit peu et cela fait toujours plaisir d’avoir ne serait ce qu’une bouffée d’air pur. Le reste du monde suivra peut-être le même schéma.

Peut-être que la planète se défend aussi ?

La première fois que j’ai vu cette idée, c’était dans ce jeu : final fantasy 7. Je suis tombé amoureux de cette merveille et j’attends avec grand intérêt et beaucoup de bave le remake en croisant les doigts qu’il sorte sur pc. 

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Mais bon ce n’est ni le lieu ni le moment pour cette parenthèse.

Je vous laisse juge de mon manque de tact, si manque de tact il y a :

- Oui, mais non, c’est trop tôt pour parler de ce genre de choses

- Je connais quelqu’un qui est malade, positivé oui, mais pas tant qu’il/elle est malade.

- Etc...

Je me dis juste que si on sait qu’il y a du bon dehors, ça nous donne plus de force pour lutter non ?

Voilà pour cette petite conversation déstructurée, mais ce n’est pas simple de juste dire :

- Hey bonne nouvelle !

Alors qu’il y a des personnes à l’hôpital. C’est pourquoi j’ai dû mettre ce postulat de complète naïveté sinon ça ne marche pas vraiment.

À ceux qui sont malades, courage et prompte guérison. À vos proche courage et précaution. Pour le reste, souriez, la vie est encore belle. 

Merci de me lire ! Vous êtes formidables !! Tchuss et à la semaine prochaine !!! Portez-vous bien, prenez soin de vous, prenons soin de nous. 

Mise à jour du blog

Hello à vous chers lecteurs. J'espère que vous allez bien, que votre week end à été reposant et que vous avez pu gagner du temps. Le temps à la ressource la plus importante du monde, mais bon là n'est pas le sujet :)

Comme je l’ai dit... j’espère que je l’ai dit, j’ai profité de la semaine dernière pour entrer en phase de compilation. J’ai commencé à transformer l’héritage d’hermès en nouvelle. Je continuerai la version que je fais maintenant avant d’entamer l’histoire que j’appellerai simplement : parents, (je changerai peut être d’avis). 

Le truc c’est que j’ai minimisé le temps que ça peut me prendre. En réalité j’en ai pour un mois ou deux à tout nettoyer, modifier, peaufiner comme je le voudrai (sur tous mes écrits courts). C’est dur de le faire et continuer à publier tous les jours tout en faisant ce travail + je me suis mis à la programmation, à python pour être plus exact. Ce n’est pas comme le dessin que j'ai laissé tomber... (sigh, j'ai honte), c’est un projet professionnel qui va me durer probablement toute cette année. Je ferai en sorte que ça n’influe pas trop sur mon planning, néanmoins, pendant la phase de préparation de mon portefeuille de nouvelles, je serai absent. Attendez, ne partez pas si vite, une seconde. Je serais là tous les mercredis pour un blabla, ça je garan..., ça je vais essayer de m’y tenir :). 

Donc pour un mois ou deux maxi..., deux mois environ, je ne pourrai pas être présent tous les jours. J’en suis vraiment navré, mais il faut que je m'occupe sérieusement de cette besogne sinon je vais procrastiner, écrire de nouvelles histoires sans m’arrêter. Ah oui, il faut aussi que je réécrive une BD.  

J’ai tourné le truc dans tous les sens, mais je ne pense pas pouvoir faire de meilleure proposition que le mercredi. Merci de votre compréhension : voici un échantillon de la version courte de l’héritage d’hermès, elle est bien sur susceptible de changer : 


L’héritage d’hermès (titre provisoire) version nouvelle :

Le matin est décidément la période que je déteste le plus. Trop lent, tout est trop lent. Tout est dénué de sens, de tout le sens. Et pire encore, la cage à oiseau est clairement visible dans toutes sa splendeur oppressante. Elle est la première chose que je voie au réveil à travers la fenêtre de mon ridicule appartement, une boîte à chaussure pour un petit oiseau. Son aspect métallique me répugne tout comme son existence et ce n’est pas le simili de ciel, cette construction artificielle, qui peut changer mon humeur. Du beau soleil toute la journée peut être, mais il est aussi faux que notre perspective d’avenir. C’est avec ces pensées que je commence la journée qui me fait me sentir vide. 

Petit déjeuner, brossage de dents, petite toilette, sélection de vêtements stratégiquement disposés par terre, routine qui se répète depuis quatre ans. Routine rendue compliquée un petit peu plus chaque jour et qui continuera ainsi jusqu’au jour où ma volonté ne suffira plus et mon corps sera dans l’incapacité de m’obéïr. Un an, six mois, trois semaines ? Je ne saurai le dire et je m’en fiche. 

Je subis simplement le matin, comptant les heures me séparant de la nuit. Et le plus gros obstacle c’est mes boulots. 

Si je déteste quelque chose autant que la cage à oiseau, c’est bien ces foutus jobs dont je ne comprends même pas la raison d’être. Dans ce monde couvert par un gigantesque dôme de métal séparant le monde d’un environnement mortel, j’occupe le quart de ma journée à me faire passer pour quelqu’un que je ne suis pas : un petit ami sur commande, le petit ami idéal selon les goûts. Certains «collègues» peuvent en enchaîner six ou sept dans la journée avec deux personnes ne se doutant de rien, mais je n’ai pas cette dextérité de jongle. Rien qu’une me donne la migraine et renforce mes envies de suicide. L’autre quart, je passe mon temps à attendre peu importe où tant qu’on me paye. 

A moins de prendre sa journée, plus personne n’a le temps de faire la queue. Sans parler de la dernière législation du travail qui stipule que toute absence au delà de deux heures du lieu du travail hors horaires défini dans le contrat, entraîne une suspension du salaire de la journée. Allez savoir comment c’est arrivé, mais c’est arrivé. Du coup pour quelques francs, j’attends, je chauffe la place comme on dit..... 


Merci de me lire ! Vous êtes formidables !! Tchuss et à demain du coup !!! Portez vous bien !!!!