lundi 23 septembre 2019

absent encore deux semaines

Bonjour à vous chers lecteurs ! Désolé d'avoir ainsi disparu sans nouvelles. J'étais pris dans le traitement de Meliacor, et on m'a demandé d'écrire une petite histoire sur le sujet de l'immigration. Alors je ne vous raconte pas la complexité du sujet et je n'ai pas envie de faire un truc brouillon. Ensuite je me suis dit que j'ai suffisamment de nouvelles maintenant pour les envoyer à des maisons d'édition donc je vais les polir aussi bien comme il faut : Matagi en priorité je pense, et enfin écrire une nouvelle sur cyber voodoo. Du coup voilà, je serai pas mal pris pendant un bon bout de temps, j'espère que j'aurai tout fini d'ici deux semaines. Mais si ce n'est pas le cas, je reviendrai quand même sur le blog. 
Ah oui, super nouvelle. J'ai enfin signé le contrat pour le bouquin pour enfant, yipi. Je commence à réfléchir au prochain et j'ai peut être un concept intéressant (peut être XD).  

Voilà, je tenais à vous informer un petit peu de tout ce qui se passe. Je suis sincèrement désolé de ne pas continuer Meliacor pendant un bout de temps. 


Merci de me lire ! Vous êtes formidables !! Tchuss et à bientôt !!! Portez-vous bien !!!!

vendredi 13 septembre 2019

Meliacor : Stargorad, page 177

- Comment la population de Meliacor a mis la main sur l’artefact reste un mystère que mes rêves n’ont pu montrer. Vous avez peut-être la réponse à cette énigme ? - demanda la reine à Cornelis Morel alors que le corps de Monroe tressauta derrière elle.
- Non je l’ignore – répondit Cornelis avant d’être pris d’une migraine et de se sentir pousser vers le bas. Une sensation qu’il connaissait déjà trop bien, mais cette fois il était décidé à ne pas se laisser faire et à lutter pour garder sa conscience sous le regard attentif et curieux d’Anderson. Les derniers évènements avaient complètement brisé le monde qu’il s’était construit. Son monde de logique avait éclaté sous l’assaut unique d’une réalité qu’il considérait fantaisiste, et pour une étrange raison il ne pouvait s’empêcher d’attendre la suite avec une impatience grandissante. Qu’est ce qu’il allait voir ensuite ? Qu’est ce qu’il allait vivre ensuite ?… C’était une forme de sadomasochisme mental, car il désirait ardemment que ses préconceptions soient violentées. C’était la première fois depuis longtemps qu’il était affligé par la curiosité.


- L’artefact a amené plusieurs changements à la population de Meliacor. En communiant avec certains humains prêts à entendre, elle leur a offert une ère d’abondance qui leur a permis d’oublier qu’ils avaient été chassés de la surface comme des rats. Avec les siècles ils en sont même venus à espérer trouver une nouvelle maison, une nouvelle planète pour bâtir leur civilisation élue. Ce rêve fut l’obsession de tous les habitants de Meliacor. Dans cette obsession qui s’étendit sur des générations, ils créèrent d’immenses machines pour fournir l’énergie nécessaire à cette entreprise. Ils créèrent aussi des machines qui n’avaient d’autre but que de réaliser l’ambition de leur créateur. Et puis ils créèrent les premiers membres de mon espèce dans des éprouvettes. Notre destin était de creuser sans relâche, creuser pour trouver du métal, creuser pour faire passer des tuyaux, creuser et encore creuser. Une activité que nous continuons encore.. .- dit la reine avec peine - Ce fut le début de la fin de cette civilisation. Au summum de leur progrès, ils fabriquèrent les homunculis : ni hommes ni machines. Faits de pierre et de métal, dont l’intelligence rivalisait leur créateur. Les homunculis avaient une seule fonction : travailler pour le rêve des hommes en remplaçant les machines. Le résultat fut plus impressionnant que ce que les humains avaient anticipé. Ils construisirent un vaisseau qui pouvait aller à la conquête de l’univers : un engin de mort qui avait été construit sans relâche pendant trois siècles…
- Alors c’est pour ça que vous voulez rentre n’est-ce pas ? Mettre la main sur l’artefact et le vaisseau. C’est comme ça que vous voulez réaliser votre ambition ? - demanda Cornelis
- C’est exact – répondit la reine en montrant à nouveau un signe d’émotion qui jurait grandement avec son étrange élégance. Son visage perdit tout simili d’apparence humaine et prit un aspect insectoïdes avec les yeux noirs de jais, encore plus terrifiants dans la lueur verte de la vision nocturne. Les dents pointues ressemblèrent à une association de mandibules crochues, alors que le corps de Monroe commença a remuer brutalement. Sa peau était tirée comme si quelque chose essayant de sortir de ses entrailles et au bout de quelques secondes une larve jaillit de la poitrine du jeune homme. Une larve d’une laideur impossible au visage de bébé humain aux traits ressemblant vaguement à ceux de Monroe.

- « Quelle horreur » - pensèrent Cornelis et Anderson
La reine saisit la larve entre ses mains avec une douceur maternelle.
- Tel est mon plan. Briser le cycle qui lie mon espèce et briser le cycle qui lie le vôtre.
- « Menteuse. Palounine ne l’aurait jamais conçue pour une raison si ridicule » - protesta Morel avec dégoût. L’intention de la reine était si mielleuse qu’il se sentit avoir le diabète. Si le préférum pouvait lui attribuer une intention, c’était bien ce qu’elle venait de démontrer avec le corps de Monroe - « Ne la crois surtout pas » - insista Morel
- « ... »
- Malheureusement, nous ne pouvons pas simplement partir de cette planète même avec le vaisseau. Ou plutôt, nous ne pouvons pas partir avec le vaisseau et l’artefact – expliqua la reine en caressant la larve.
- Pourquoi donc ? - demanda Cornelis
- « Réfléchis » - répondit Morel
- À cause de ce fenrir j’imagine ? - répondit Anderson.
- C’est exact. Mais vous détenez la solution à ce problème – dit la reine.
- Je vois. La créature sur laquelle on a basé le projet Fenrir. Vous voulez l’utiliser comme un otage, votre majesté ? - demanda Cornelis
- C'est exact.
- Dans ce cas, on a un gros problème, votre majesté. Il y a de grandes chances que la créature est déjà morte. Notre laboratoire a été envahi – annonça Van Alphen.
- Montrez-moi. Ouvrez-moi votre esprit – demanda la reine inquiète.

- Eh bien…
- S’il vous plaît, j’ai besoin de voir – insista-t-elle
- « Laisse-moi la guider. Qu’elle ne se balade pas où elle veut dans notre tête »
- « En suivant ta logique, je devrais le faire moi même pour éviter que tu ne te balades librement dans Mon esprit » - rétorqua Cornelis
- « Mais voyons donc, ne sois pas ridicule. Tu ferais mieux de me regarder faire et d’apprendre »
- « Cette fois uniquement »
- « Ne prend pas tes grands airs. L’umbra m’a épuisé et c’est la seule raison pour laquelle tu peux profiter du contrôle. Tu ferais mieux de ne pas oublier ce détail »
- « ... »
- Très bien, Votre Majesté – répondit Cornelis en ouvrant son esprit à l’inspection de cette dernière sous la supervision de Morel.

Les images flottèrent dans l’esprit du préférum comme un film sur lequel il n’avait aucun contrôle. Il revit la brèche, l’horreur sortie d’un autre monde, l’échappée, les élémentaires...
- En effet, le problème est pressant – répondit la reine inquiète et dans l’instant suivant le sol et les murs commencèrent à trembler sous les pas précipités d'une légion d’insectoïdes, suivis par des cliquetis déchaînés – Nous partons en guerre ! - déclara la reine. Il était impératif de sauver la petite de Fenrir, où jamais elle ne pourrait quitter Meliacor avec l’artefact.








Blabla de l'auteur

Hello à vous chers lecteurs ! Je suis ravi de redonner des signes de vie. Désolé d'avoir été absent mais quelqu'un dans mon entourage avait des problèmes de santé et je n'arrivais pas à penser à la suite de l'histoire.

Texte time !

Fiou, cette partie m'a donnée bien du mal mais j'ai réussi à lier l'histoire au projet fenrir et à la sonada del diavolo et peut être à Palounine. Bon c'est du travail de charcutier, je l'avoue. Là, au lieu d'être dans un bloc chirurgical, vous êtes dans la boucherie du quartier XD. Quelque part je suis soulagé de pouvoir relier tout ce micmac. Du coup j'ai un fil conducteur pour quand je m'occuperai du propre. Mais je me dis aussi : vous êtes vraiment, vraiment, vraiment sympa de me lire XD.

Ok, si vous avez des questions, des suggestions, etc... N'hésitez pas à laisser un commentaire, ou à m'écrire ici : unepageparjour@hotmail.com (euh je crois).

Merci de me lire ! Vous êtes formidables, je dirais même plus puissanmidable (non pitié, tais toi) !! Tchuss et à lundi !!! Portez vous bien !!!!

jeudi 5 septembre 2019

Meliacor : Stargorad, page 176

- « Prétentieux » - pensa Cornelis avant de lever nerveusement la tête, se rappelant que la reine pouvait lire les pensées. Il ne maîtrisait pas encore toutes les subtilités de l’espionnage mental, il n’en avait ouvert que la porte.
- Il est effectivement aisé de prendre mes mots pour de la prétention. Après tout, je suis néée il n’y a pas si longtemps – dit la reine avant d’embrasser le cadavre de Monroe sur la bouche. Cornelis essaya d’ignorer le geste, il avait l’habitude de comportement atypique. Préférant l’approche diplomatique, il avait vu sa dose de bizarrerie dans les cercles fermés qui lui avaient ouvert les portes de la réussite. Il y avait du tout : des cultes des enfants, des cercles sataniques, des apôtres « vertueux » de la fin du monde. Il y avait toute sorte de conneries en ce monde qu’il avait du tolérer pour se retrouver là où il avait. Et il allait devoir en supporter encore beaucoup avant de mettre la main sur reines du pouvoir. Après… Après il était prêt à devenir un dictateur pour purifier le monde de toutes les horreurs cachées dans les ténèbres au prix du sang. Il était prêt à faire ce sacrifice et la reine l’était également, à faire le grand ménage. Remettre les civilisations sur les rails, avant que le libertarisme effréné ne déchire le voile de la moralité et libérant de cette fracture les pires maux de la nature humaine qui n’ont cessé alors de modeler la société à leur image. Il fallait que quelqu’un brise la normalisation de la folie et c’était la promesse qui le liait à Guy.

- Et qu’est ce que vous cherchez là bas, dans votre « maison » ? J’imagine que ce n’est pas qu’une question de nostalgie – demanda Anderson, ce qui fit se retourner la reine avec une grimace sur le visage qui pouvait être difficilement identifiée. C’était la première fois que son stoïcisme fut rompu.
- Il y a de cela très longtemps, les humains de ce monde ont été obligés de se réfugier sous terre. Le monde qui les avait vus naître ne les supportait plus, alors ils ont trouvé refuge ici, dans les entrailles de ce monde. C’était bien avant qu’il n’y ait une capitale, bien avant que l’objet que nous cherchons n’ait été ramené et bien avant que cette planète ne libère toute sa colère sous la forme de ce que vous appelez : hydre.
- Vous en parlez comme si cette planète a une forme de conscience – répondit Cornelis incrédule.
- Elle ? Non, ce n’est qu’un amas de minerais. La planète que vous appelez Meliacor n’a plus de conscience, mais elle a un gardien fidèle.
- « N’a plus ? » - s’étonnèrent Anderson et Cornelis en même temps.
- Qu’est ce que vous voulez dire par là Votre Majesté ? - demanda le préférum qui ne comprenait pas du tout cette histoire.
- Par conscience, comprenez simplement sa faculté à maintenir une biosphère maintenant la vie, au lieu du désert blanc qui se trouve actuellement à la surface.
- Et par gardien ? Qu’est ce qu’on doit comprendre ? Votre Majesté ? - demanda Anderson.
- Si je ne me trompe, votre hôte le connaît bien. Après tout, il a eu le culot ou la folie de lui voler un de ses enfants. Pour vous autres il s’appelle Fenrir : une relique d’un autre temps, d’un autre espace, d’une autre réalité à laquelle je n’ai malheureusement pu rêver.
- « J’ignorai ce détail »
- « A quoi bon. Cela n’avait aucune incidence sur le projet fenrir ».
- « ... »
- Désirez-vous insinuer que ce Fenrir est à l’origine de l’état actuel de Meliacor ? - demanda Cornelis pensif.
- C’est exact. Pourquoi ? Je ne saurais vous dire sans spéculer. Je sais juste que ce fut une réaction à l’aube rouge, à la venue d’un objet qui changea le destin de ce monde à jamais.
- Laissez-moi deviner. C’est l’artefact qu’on cherche ? - demanda Anderson ce qui lui valut un tendre regard de la part de la reine.
- C’est exact. La chaire et le sang de zératoushtra, une base de donnée génétique contenant tout le savoir qu’il a accumulé au cours de son existence.

- Vous insinuez qu’il a réellement existé ? - demanda Anderson
- Je n’insinue pas, je l’affirme – précisa la reine – Il a existé il y a bien longtemps. Il était comme vous, comme mon créateur, opposé à l’équation de la vie…
- « Hmpf, ça ne ressemble pas à Palounine. Ce connard est le sadisme incarné »
- ...Il était convaincu que le monde avait perdu de son sens et voulu essayer d’en devenir la raison, d’en devenir le cœur, d’en devenir... le dieu, à travers la technologie. Il a failli y arriver pour le meilleur ou pour le pire, mais il a péri avant nous laissant ses reliques.







Blabla de l’auteur

Hello à vous chers lecteurs ! Bonne journée, bonne soirée, j’espère que vous allez bien. J’espère que vous avez la santé.

Texte time !

Fiou… Le personnage de la reine me pose problème dans cette configuration-ci. Le propre risque d’être très différent. Mais c’est ma faute, c’est largement ma faute. Désolé… J’ai encore un plan qui peut même inclure la partie la plus inutile de ce récit ce qui est très positif. Mais j’aurais dû séparer toutes ces histoires et prendre mon temps. Ouais, je pense que je ne prends pas assez mon temps. il y a aussi la correction, la bd et la vie... Hmm, on dirait que je cherche des excuses. Ok, pour l'instant ça va, j'ai un plan de contingence, ce n'est pas dramatique, je crois XD.

Si vous avez des critiques, des suggestions, etc. N’hésitez pas à laisser un commentaire ou à m’écrire ici : unepageparjour@hotmail.com

Merci de me lire ! Vous êtes formidables !! Tchuss et à demain !!! Portez-vous bien !!!!

mardi 3 septembre 2019

Meliacor : Stargorad, page 175

Dalanda s’aventura au milieu des spectres en quête de réponses, en quête d’une raison de sa présence dans ce labyrinthe ou plutôt dans cette nécropole des âmes.
Elle essaya d’éviter tout contact avec les manifestations incorporelles plaintives et gémissantes, mais l’empathie finit par prendre le dessus.
Même si elle comprenait que ces personnes n’étaient plus il y a de cela des millénaires, il était humainement difficile de les ignorer.

La résolution de la jeune femme fut brisée par la vision d’un homme sanglotant. Il était agenouillé et semblait tenir dans ces bras un petit corps d’un enfant au visage méconnaissable, défiguré, écrabouillé. Derrière lui se tenait un autre enfant à la même apparence que le garçon allongé. Lui ne parlait pas, ne bougeait pas, ne pleurait pas… Il fixait silencieusement la scène, sans cligner.
Dalanda eut envie de savoir, de comprendre, de voir ce qui avait bien pu se passer.

Son don n’avait jamais marché de la sorte avant. Elle ne pouvait sentir que les émotions et non des images concrètes. Elle n’avait aucune raison de croire qu’elle allait pouvoir ouvrir cette fenêtre vers le passé, hors mis une certitude instinctive.

Dalanda toucha l’âme en peine à l’épaule tout en fermant les yeux et se retrouva embarquée dans une fuite frénétique et collective, un exode dans une panique hystérique au milieu d'hurlements et de bruits d’explosions secouant la ville.
- Ne lâche pas ma main ! - criait l’homme en tirant derrière lui son garçon et transportant sur sa poitrine un bébé.

Il cherchait où se cacher, où les mettre à l’abri alors que Stargorad volait en éclat, alors que le seul monde qu’ils connaissaient était déchiré par l’impensable. Comment est-ce qu’ils avaient pu fermer les portes ? Comment est-ce qu’ils avaient pu les abandonner ainsi ? Ils devaient tous s’embarquer vers les étoiles !

La panique était totale alors que la ville était rasée par des tirs plasmiques, tous les habitants : roulaient, couraient, fuyaient vers les abris. Mais les bunkers étaient déjà remplis et en réalité ils n’allaient offrir qu’une sécurité psychologique. Les canons avaient été conçus pour libérer la machine des trilliards de tonne de roche la séparant de la surface. Alors quelle protection un bunker allait pouvoir offrir. Il y aurait plus de chance à se servir d’une feuille de papier pour se protéger d’un tir, que d’espérer trouver un refuge crédible dans leurs abris promit.

Mais que pouvait-il faire d’autre ? À quel autre espoir est-ce qu’il pouvait s’accrocher ? Pour protéger ses enfants, il était prêt à faire n’importe quoi, à croire n’importe quoi, à parier n’importe comment sur une seule chance même infime…

Malheureusement, dans cette panique générale, il n’avait pas vu venir les paramélures paniquées qui avaient détruit leurs enclos écrasant tout sur leur passage y compris son enfant…

À des centaines de kilomètres de là, dans les profondeurs du nid, la reine des créatures insectoïdes se tenait en compagnie d’Anderson et de Cornelis, occupée à travailler sur le cadavre de Monroe tel un chirurgien.
- Alors ? En quoi puis je vous être utile ? - demanda enfin le préférum, gêné par les bruits provenant du corps sans vie. Et puis il était temps qu’ils parlent en fin de compte.
- J’ai besoin de votre aide pour rentrer à la maison – répondit la reine sans se distraire de sa tâche.
- Ce n’est pas ici votre maison ? - demanda Anderson.
- Ici est l’endroit de notre exil, je dois être la seule sur cette planète à m’en rappeler. Les millénaires passés ont probablement effacé les traces de notre existence parmi les humains. Mais c’est bien normal, elle n’avait rien de glorieux après tout. Pas comme maintenant avec moi comme reine – dit elle sur un ton des plus sérieux








Blabla de l’auteur

Hello à vous chers lecteurs ! J’espère que vous avez passé un super week-end ! Désolé de ne pas avoir donné signe de vie hier, mais j’avais la tête dans les nuages. Je n’ai pas arrêté de somnoler comme un bébé…

Texte time !

Fiou. Je ne suis pas content du texte, j’avoue. J’ai du mal à tourner le truc comme je veux. Désolé de vous offrir une qualité si meh, mais pour me justifier un petit peu je participe également au polissage de Meliacor premier du nom alors j’ai l’esprit divisé entre les deux histoires. Je suis un mec alors réfléchir à deux trucs en même temps c’est compliqué XD…

Ahem, si vous avez des questions, des suggestions, des critiques, etc. N’hésitez pas à laisser un commentaire ou à m’écrire ici : unepageparjour@hotmail.com

Merci de me lire ! Vous êtes formidables !! Tchuss et à demain !!! Portez-vous bien !!!!