mardi 31 décembre 2019

L'héritage d'hermès (titre provisoire), page 25 + bonne année !!!

Il s’écarta de son fils et tourna une chaise pour s’asseoir tout en lui faisant face. Lui qui était si énergique, si robuste en temps normal avait du mal à tenir debout en cet instant. Ses jambes n’étaient pas simplement comme faites de coton, mais elles étaient démunies de force comme lors d’un épisode fiévreux intense, ou lors d’un manque de potassium. Cela lui arrivait souvent lors de séances de coaching intenses, mais là, tout était dans la tête.
- Ta mère, quand elle était plus jeune... Quand elle était plus jeune, elle était très, très différente - dit Martin en ayant un sourire amer - Elle était comme un petit soleil, elle illuminait tout de sa bonne humeur. Incroyable n'est-ce pas  ? - demanda Martin en remarquant le regard incrédule de Kolin. Il lui arrivait d’être plus loquace, mais comme un soleil ? Il ne pouvait s’imaginer une telle chose - Elle était parfaite pour moi, ouais elle l’était et puis elle a changé. À cause de tous les livres qu’elle a commencé à lire pour son travail. Avant elle parlait de faire de notre maison le meilleur endroit où vivre, et après elle a commencé à parler de partir le plus loin possible de la maison, de la ville en générale. Je crois qu’elle a commencé à perdre la tête. Je le savais, mais j’avais espoir que ça passe avec le temps, qu’elle comprenne que c’était absurde. Il est impossible de survivre dehors...
- «C’est vrai» - pensa Kolin. De ce qu’il avait vu sur l’internet, il y avait eu plusieurs tentatives des sorties au cours des années. Mais aucune n’avait réussi, personne n’était jamais revenu et les rumeurs sur le monde extérieur ont été tues, partiellement, avec l’expédition «Hostin live» filmée en temps réel. Elle avait eu lieu il y avait de cela 20 ans et ceux qui ont pu la regarder ont encore en tête les images du massacre.
- «La vie à l’extérieur était impossible» - fut la conclusion de ce qui avait été montré, ou du moins pour la grande majorité des habitants. Mais les rumeurs n’étaient pas si faciles à faire taire surtout dans une société de «libre» information. Les vidéos avaient été décortiquées frame par frame, les ombres, les bugs, tout avait été scruté et continuait encore à l’être aujourd’hui, car même si une preuve existait cela ne voulait pas dire qu’elle était automatiquement acceptée. Ceux qui désiraient que la réalité soit différente essayaient, à tort ou à raison, de la forcer dans leur sens.

- ... et je pense que c’était cette réalité qui a commencé à la rendre distante. Je lui disais que ce n’était pas grave, qu’on pouvait quand même se construire une belle vie ici avec une belle maison, un beau jardin, un joli quartier, de bons voisins... On aurait pu avoir une belle vie, mais... - dit Martin en écartant les bras avant de secouer négativement la tête comme pour dire - «mais voilà ce que j’ai eu».
- Elle ne va pas mourir, hein ? - demanda Kolin même s’il connaissait déjà la réponse à cette question.
- ... Si ce n’est pas en essayant de sortir de la ville, ce sera certainement à l’extérieur. J’ai fait tout ce que j’ai pu pour la dissuader. Mais elle ne m’a pas écouté.
- «Vraiment ?» - voulut demander Kolin sur un ton suspicieux, mais il se tint la langue au dernier instant. Il n’était pas certain de croire les mots de son père, car, en toute honnêteté, lui même n’avait pas tout essayé. Il lui était alors difficile de croire que cet homme qui ne savait que gronder avait tout tenter pour empêcher sa femme de partir. Pour avoir envie de risquer la mort, c’est que l’endroit où elle vivait était peut-être pire - pensa tristement le jeune homme.
- Je vais me coucher, si tu as faim... trouve quelque chose dans le frigo - dit Martin sur un ton épuisé avant de se diriger lui même vers le frigo pour en sortir une bouteille d'alcool et monter dans sa chambre. Il savait que ce n’était pas la chose à faire, mais en cet instant, il était tellement vidé émotionnellement qu’il n’en avait rien à faire. Cette maison aurait pu être prise dans un incendie qu’il n’en aurait rien à faire ...

Kolin, regarda son père monter les marches aussi confus qu’un jeune adolescent pouvait l’être. Il voulait dire quelque chose, il sentait l’envie monter, mais il ne savait pas quoi. Une réprimande ? Alors que lui même avait une montagne de choses à se reprocher ? Non... Une remarque sarcastique du genre :
- J’imagine que la bouteille va te... euh...
Il n’était pas trop doué pour ça.
Kolin ouvrit le frigo et le referma quelques secondes plus tard en constatant qu’il n’y avait aucun plat précuisiné.
- «Tssk, ça craint...» - pensa le jeune homme avant de se traîner dans sa chambre où il se laissa tomber sur son lit.
Il jeta son sac quelque part, se retourna sur le dos et se cacha les yeux avec son avant-bras.

Dans cette obscurité volontaire et dans cette solitude coutumière, seul avec lui-même et ses pensées, il fut enfin submergé par ses émotions. Lentement, son visage commença à se déformer, ses lèvres commencèrent à trembler, ses yeux à s’humecter... Kolin pleura comme un bébé sans même comprendre pourquoi, sans savoir comment s’arrêter. Il ne pouvait que subir son état émotionnel des heures durant, jusqu’à ce que ses glandes lacrymales se vident de toute substance. Cependant, malgré l’absence des larmes, la douleur persistait et pire encore, elle semblait grossir tel un trou noir dans son âme. Même si son foyer était un château de sable en termes de relations filiales, il n’en demeurait pas moins que c’était le sien et il n’en avait pas d’autres.

Fatigué de souffrir, fatigué de ruminer, fatiguer de ne rien faire, Kolin sortit la carte que sa mère lui avait donnée avant de composer le numéro.
- Allo ?! - répondit une voix masculine au bout de quelques sonneries.
- Allo ? - répondit Kolin anxieux.
- ....
- ...
- Oui ? C’est pourquoi ? Je ne suis pas intéressé par le démarchage alors si c’est le cas vous perdez votre temps - expliqua patiemment l’individu à l’autre bout du fil.
- Euh non, non, je n’appelle pas pour ça. Je suis le fils d’Ashana, c’est elle qui m’a donné ce numéro - expliqua rapidement Kolin de peur que l’autre raccroche.
- Ohhhh ??? Je vois, je vois. C’était toi l’autre soir ? Le petit con qui voulait les rollers de mon pote ?
Les yeux de Kolin s’écarquillèrent et il raccrocha immédiatement avant de penser
- «Merde ! C’est quoi cette embrouille ?...» 
- Trii trii trii ...

Même si son téléphone affichait numéro masqué, Kolin savait pertinemment qui était en train de l’appeler.








Blabla de l'auteur 

Joyeux noël et bonne année à vous chers lecteurs ! Bon le noël est super en retard je sais mais c'est l'intention qui compte non ? O.o ... Ahem. Je vous envoi tous mes vœux de bonheur pour cette nouvelle année à venir et je me pousserai à être plus professionnel ainsi qu'à être meilleur écrivain. C'est ma nouvelle résolution : murir pour écrire ;)

Texte time !

J'ai longtemps hésité pour la mère. Je voulais créer tout un truc autour expliquer le pourquoi du comment mais j'ai du me forcer à m'arrêter à une vague explication parce que je voyais déjà l'histoire d'au delà du dôme
- Oh il y a ça qui se passe là bas, et il va arriver ça et ça... Je commençais déjà à imaginer une autre histoire.
Peut être qu'un jour je le ferai, certainement un jour je le ferai, mais je veux aussi que l'histoire de Kolin se suffise à elle même. Si vous n'êtes pas d'accord, si vous mourrez d'envie de savoir ce qui se passe avec Ashana, n'hésitez pas à le dire et je verrai ce que je peux faire pour calmer mon imagination XD. 

Si vous avez des questions, des critiques, des suggestions, etc... n'hésitez pas à laisser un commentaire ou à m'écrire ici : unepageparjour@hotmail.com

Merci de me lire ! Vous êtes formidables !! Tchuss et bonne année !!! Je vous dit à après demain !!!!

vendredi 20 décembre 2019

L'héritage d'hermès ( titre provisoire), page 24

Ashana tendit la main en avant pour saisir le poing serré de son fils, mais ce dernier le retira dès qu’il remarqua le geste. Il n’avait pas envie de contact, il avait envie de comprendre qu’est-ce qui pouvait bien se passer dans la tête de cette femme. Pourquoi est-ce qu’elle l’abandonnait lui, l’autre, eux...
- Ça n’en rien à avoir avec toi, ni avec lui d’ailleurs. Je sais que tu me comprends. Cet endroit va... sigh, et puis à quoi bon expliquer. Si tout se passe bien ce ne sera qu’un au revoir de toute façon.
- Comment ça à quoi bon expliquer ?!
- Tiens - lui dit sa mère en sortant un objet de la poche arrière de son pantalon, mais voyant que Kolin ne bougeait pas et la regardait avec méfiance jeta l’objet de son côté de la table.
- Une carte de visite ? C’est pourquoi ? Il n’y a qu’un numéro dessus - commenta le jeune homme en examinant la carte sans oublier de rester en colère.
- J’ai remarqué que tu avais bien aimé les rollers de l’autre fois, un peu trop d’ailleurs. Si tu appelles ce numéro, il y a des chances que tu trouves ce que tu cherches toi aussi - répondit sa mère et les yeux du jeune homme se figèrent sur la carte comme un aigle sur sa proie.
- Huhuhu, je ne sais pas si je dois me vexer d’être oubliée si facilement ou ravie - commenta Ashana avant de se lever de la table.

- Où est-ce que tu vas ? - demanda Kolin
- Au revoir Kolin - dit elle ensuite en le serrant dans ses bras - au revoir.
- ... mais, et... et papa ? je lui dis quoi ?! - demanda le jeune homme au bord des larmes et de la panique. Il ne savait pas quoi faire ni comment faire pour la retenir et d’un autre côté, tout au fond de lui, il avait plus important à faire.
- Qu’il est enfin libre et toi aussi d’ailleurs mon petit. Je n’ai pas eu le temps d’être une mère, tu n’as pas besoin de perdre ton temps à te comporter comme un fils, pas vrai ? - dit elle en caressant la joue de Kolin. Puis elle partit, sans dire un mot de plus.
Kolin la regarda prendre la porte en sentant quelque le quitter, s’en aller avec cette personne qui venait de l’abandonner sans raison, ou plutôt sans en expliquer la raison.
- «Est-ce que j’aurai pu l’empêcher de partir ? Comment j’aurais pu l’empêcher de partir ? Pourquoi je ne l’ai pas empêché de partir ?» - toutes ses questions se bousculaient dans son esprit ne trouvant qu’une réponse unique - «je ne sais pas» - qui couvrait une peur unique - «je n’en avais pas envie» - qui entraîna un rejet instinctif - «c’est faux, je n’ai pas su l’en empêcher».
Il resta là pendant plusieurs minutes luttant pour une vérité qui le ferait se sentir mieux, laissé tranquille par les serveuses et les clients compatissants, puis il prit la porte à son tour sans oublier la carte.


Plik plik... kolin leva la tête vers le sommet du dôme sentant des gouttes de pluie.
- «Il va pleuvoir ?» - se demanda-t- il en sortant son téléphone pour vérifier les prévisions du temps : pluie - «merde, il ne manquait plus ça. Non, un bout du dôme sur la tête se serait juste parfait pour finir la soirée» - se dit-il en se demandant s’il était mieux de retourner dans le café, mais les regards des autres, il ne voulait plus les avoir sur lui.
Après quelques instants d’hésitation, il décida de rentrer à la maison. Quel meilleur endroit d’attendre que la pluie passe que depuis la fenêtre de sa chambre.
Grinds, spins, jumps, le jeune transforma la rue en parc à obstacles pour se distraire de ses sombres pensées. Il s’arrêta devant sa maison, trempé et exténué et se précipita à l’intérieur, au chaud.

- Ashana ?! - entendit-il dès qu’il ouvrit la porte.
Kolin tomba nez à nez avec son père qui se leva de la table
- «Euh qu’est ce que tu fais là ? Tu n’es pas au boulot ?» - voulu demander Kolin surpris, mais il eut l’intelligence de se taire pour éviter d’augmenter les chances d’avoir un - «et toi ?» - en retour.
- Oh c’est toi - dit Martin avant de se rasseoir, déçu.
- «Sympa l’accueil» - grommela intérieurement Kolin. Ca ne faisait plaisir à personne de ne pas se sentir bienvenue, déjà qu’il avait du mal à avaler le départ de sa mère.
- Comment ça s’est passé ? - demanda son père
- Qu’est-ce qui s’est passé ? Euh, c’est à dire ? - demanda Kolin anxieux. Il ne savait pas encore s’il voulait annoncer son entretien avec sa mère et surtout comment l’annoncer.

- Ton entretien, ça a donné quoi ? - demanda Martin
- Oh, ah... euh... - «Merde pourquoi tu me forces à te mentir» - s’énerva Kolin en répondant, contraint - je n’ai pas eu le job - il préférait dire ça car il effaçait un petit peu sa culpabilité. C’était comme s’il effaçait de la sorte son mensonge.
- Désolé fils, tu semblais tenir à ce job.
- «Ah bon ?» - s’étonna le jeune homme qui n’avait pas imaginé donner cette impression.
- Euh ... - hésita Martin en se frottant nerveusement les mains - il se passe un truc en ce moment avec... euh, avec ta mère. Je crois... je crois qu’il faut qu’on en discute, mais ce n’est rien de grave rassure toi - dit Martin en pensant - «J’espère» - Voilà - commença Martin en se plaçant les poings devant la bouche cherchant comme transformer sa pensée en mots qui pourraient préserver son enfant - ta mère...
- Je l’ai croisée - dit Kolin
- Où ça ? Quand ? - demanda Martin en se levant à nouveau d’un bond - Viens on a peut être le temps de la rattraper - dit il ensuite en se dirigeant énergiquement vers la porte.
- Ça ne marchera pas
- Mais si voyons. Il faut juste que je discute avec elle et...
- Elle est partie papa
- Merde !! - hurla Lambert senior en refermant violemment la porte. 

- Je n’ai pas pu l’en empêcher - avoua Kolin alors que des larmes commencèrent à couler le long de ses joues. Il essayait de les contenir, mais rien n’y faisait, elles coulaient quand même.
- Hey, hey c’est pas ta faute mon grand, ce n’est pas ta faute - dit Martin en prenant son fils dans les bras - je pensais pouvoir la dissuader de partir, mais j’ai réagi trop tard. C’est ma faute, ce n’est pas la tienne - avoua Martin en serrant son fils encore plus fort en se sentant misérable : le pire des hommes, le pire des époux, le pire des pères.
Kolin ne dit pas un mot en retour. Il ne pouvait pas avouer que lui aussi avait échoué de la convaincre de rester, pire encore, il n’avait même pas essayé en réalité.
- Ta mère a... une ambition dont j’ai sous-estimé l’ampleur - commença à expliquer Lambert senior









Blabla de l'auteur

Hello à vous chers lecteurs ! Vas retro froid mordant ! J'espère que vous êtes bien au chaud chez vous XD

Texte time !

Désolé de vous avoir fait bond hier, j'avais quelques directions scénaristiques à vérifier. Je ne suis pas satisfait de celle là non plus, mais je ferai le bilan à la fin de l'histoire pour voir comment tout améliorer. Là je suis tel magelan, perdu mais voyageant sur les rives de l'imagination ;)

Si vous avez des questions, des suggestions, etc... N'hésitez pas à me laisser un commentaire ou à m'écrire ici : unepageparjour@hotmailCom

Ah, oui, je ne serai probablement pas super actif durant la semaine à venir vu que ce sont les vacances XD. 

Merci de me lire ! Vous êtes formidables !! Tchuss et à lundi, peut être !!! Portez vous bien et bonnes vacances !!!!

mardi 17 décembre 2019

L'héritage d'hermès (titre provisoire), page 23

Kolin remit sa chevelure en état à l’aide de ses doigts, du mieux qu’il put. Ce n’était pas parcequ’il ne se peignait pas qu’il n’y avait pas de style dans son laissé aller. Puis il se tourna vers la fenêtre, troublé par le geste de son père. Même s’il le trouvait inapproprié, quelque part au fond de lui il sentit une vague de chaleur agréable : une étincelle de joie, un brin de nostalgie...

Le reste de la route se passa en silence ni gênant ni chaleureux, mais quelque part au milieu. Lambert senior gara son véhicule à une vingtaine de mètres de l’école puis se tourna vers son fils
- Je viens te chercher à la sortie ? - demanda-t-il en faignant une humeur enjouée. Il s’en voulait de se servir de son fils pour ne pas se sentir seul et abandonné, pour ne pas se laisser aller à de sombres pensées. Ce n’était pas le rôle du petit et il le savait, mais c’était plus fort que lui. La présence de Kolin était comme un sparadrap qui empêchait son coeur de saigner.

- Euh... c’est-à-dire que, non en fait - balbutia Kolin un peu perdu
- Ah... Je vois - répondit Martin senior et son visage sembla perdre toute couleur.
- Ce n’est pas que je ne veux pas, c’est juste que... tu te rappelles l’entretien dont je t’ai parlé ? Eh bien il a été décalé pour aujourd’hui alors je vais y aller directement après l’école - mentit Kolin
- Ah... je ne... je ne savais pas. C’est vrai que si tu as une interview de job ce ne serait pas cool de débarquer avec ton père pas vrai ? Ok, bein, bonne chance alors.
- Ouais, bonne chance à moi. Mais demain, euh, si tu veux. On en reparle ok ? - dit Kolin avant de sortir du véhicule et se diriger vers l’école en évitant de se retourner pour éviter tout contact visuel, sinon il perdrait le courage de continuer son cinéma. Il ne s’arrêta que lorsqu’il entendit la voiture de son père le dépasser, et ce n’est que là qu’il se permet de souffler.
- «C’était moins une» - pensa-t-il ensuite en essuyant des gouttes de transpiration de son front. Il tourna ensuite son attention vers la grille de l’école et se sentit aussitôt étouffer par le nombre de personnes dans la gigantesque cour, attendant que les portes des classes s’ouvrent. Le nombre d’écoles étant limité, elles étaient souvent surpeuplées comme des prisons pour jeunes. Ils étaient parqués là, obligés à apprendre des choses sans intérêt dans ce monde sans intérêt.

Malgré toute la bonne intention du monde, il lui fut difficile d’entrer dans cette ferme déguisée, du moins sans y être obligé : c’est une perte de temps, il y a trop de monde, cette éducation n’est pas appropriée, il y a mieux à faire, tu ne connais personne là bas, même les profs s’en fichent de ta présence de toute façon... Les excuses ne manquaient jamais, car le cerveau était une machine à fabriquer mensonges et excuses, du moins le sien l’était, entraîné depuis des années maintenant.


Kolin recula de la grille d’entrée et s’éloigna de son école en ayant un sentiment d’échec lui ronger la poitrine. Cette sensation inconfortable lui fit accélérer le pas et le poussa même à courir, de fuir, en espérant que la distance allait mettre fin à cet effet. Il ne s’arrêta qu’à 400 mètres de là, essoufflé, mais bien. Cette petite course avait permis la sécrétion des bonnes hormones qui étouffèrent son trouble.
- «Qu’est ce que je fais maintenant ?» - se demanda le jeune homme avant de sortir les rollers de son sac. Qu’est ce qu’il pouvait faire d’autres si ce n’est se perdre dans les tricks pour oublier tout le reste.

Les heures défilèrent si bien que 15 h arriva rapidement, trop rapidement d’ailleurs. Kolin arriva avec un léger retard de deux minutes pour trouver sa mère sirotant un petit café avec un bout de cake.
- Salut - dit Kolin en prenant place en face
- Très ponctuel - dit sa mère sur un ton sarcastique à peine caché.
- Eh bien tu n’as qu’a t’en vouloir. La ponctualité n’est pas quelque chose que tu m’as enseigné. Oh, il faut déjà que je me rappelle qu’est ce que tu as bien voulu m’enseigner à part rester silencieux - répondit sèchement Kolin. Il n’était pas d’humeur à entendre des critiques, pas venant d’elle en tout cas - qu’est-ce qui se passe ? Pour quoi tu m’as demandé à mentir à papa ?
- Ne me fait pas croire que ça a été difficile - répondit Ashana avec un sourire froid qui mit Kolin mal à l’aise, avant de dire - je vais partir.
- «Hein ?!» - pensa le jeune homme qui ne put saisir le sens de ce qu’il venait d’entendre - c’est à dire ? Tu vas où ? Pourquoi ?
- Hahaha, tu ressembles vraiment à Martin tu sais - rigola Ashana.
- N’importe quoi - répondit Kolin
- Si tu veux - dit sa mère en sirotant son café - je vais dehors - dit-elle ensuite.
- Dehors ? Je ne comprends pas.
- La cage à oiseau, je ne la supporte plus alors je m’en vais. Tu veux venir avec moi ? - demanda-t-elle en regardant son fils droit dans les yeux
- Quoi ? Je... euh...
- Je plaisante, le monde extérieur n’est pas un endroit pour des enfants.

- je ne... je ne comprends pas, je ne comprends pas. Comment tu vas faire pour sortir ? C’est impossible. Il n’y a plus rien dehors. Pourquoi tu veux partir ? Qu’est ce qu’on t’a fait pour que tu nous abandonnes ?! - dit sèchement Kolin en tapant du poing sur la table attirant l’attention des quelques clients - je ne comprends pas pourquoi tu nous détestes comme ça papa et moi ?! - demanda-t-il ensuite furieux. C’était comme si le couvercle qu’il avait placé sur ses émotions commençait à être dévissé. Il s’en sentait mal, presque fiévreux, et le regard indifférent de sa mère n’arrangeait rien à sa colère.







Blabla de l'auteur 

bom dia hello GIF
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Hello à vous chers lecteurs ! Désolé de vous avoir fait bon hier j'avais une panne... d'imagination

sexy look GIF
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J'espère que vous allez bien, que la grève ne vous a pas trop impacté mais c'est un mal nécessaire à mon humble avis. 

Texte time !

Fiou, pour hier j'avais voulu faire un blabla en fait mais je ne l'ai pas terminé parceque j'ai trouvé ce que j'ai trouvé bof. Je le mettrai en P.S pour ceux que ça intéresse, mais en l'écrivant je dois avouer que j'étais sous influence... du bon sens pitchim boum 

drumming black and white GIF by Warner Archive
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Ahem. Mais s'il y a un truc à retenir de tout ce que j'ai mit c'est la vidéo en lien. La chaîne en question a fait un superbe travail sur le documentaire, chapeau. Je connais peu de monde qui irait se perdre dans des coins comme ça. 

Si vous avez des questions, des suggestions, ect... N'hésitez pas à laisser un commentaire ou à m'écrire ici : unepageparjour@hotmail.com

Merci de me lire ! Vous êtes formidables !! Tchuss et à demain !!! Portez vous bien !!!!



PS : J'ai trouvé le raisonnement, mon raisonnement inabouti c'est la raison pour laquelle je ne voulais pas le partager en page isolée. J'essaye d'être plus mature et plus intelligent dans mon raisonnement, et là je ne suis pas satisfait de mon point de vue sur la question. Si par je ne sais quel hasard vous aimeriez que je termine cet "article" n'hésitez pas à me le dire. 


Blabla inopiné

Hello à vous chers lecteurs. Désolé de casser le programme, mais j’aimerai discuter avec vous de quelque chose que j’ai jugé intéressant.

Je suis tombé sur cette vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=Mi6w7t_iDOE . Je ne connaissais pas la chaîne, mais de ce que j’ai pu voir, ils font du bon boulot. Alors le but n’est pas de présenter mon pays de naissance sous son pire jour. La Guinée ce n’est pas que la misère et la pauvreté, c’est 95 % de ça oui, mais il y a 5 % de... euh, de beaux paysages ?

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La vidéo dure plus de 40 mn, elle est longue, mais elle vaut le coup, à mon humble avis.

Comme je le disais tantôt, le but n’est pas de présenter mon pays d’origine sous son pire angle, en fouillant on peut tomber encore plus bas... Non, c’est surtout par rapport à certains commentaires qui se veulent sympathiques et encourageants. J’ai lu quelques personnes qui disaient un truc du genre :
- Et nous qui nous plaignons en France pour un rien. Comparativement c’est le paradis.

J’ai pris quelques libertés narratives, mais le sens que j’ai perçu c’est celui-là. Et j’avoue que ma première réaction fut l’étonnement. 
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Si jamais vous regarderez cette vidéo j’aimerais savoir combien d’entre vous ont pensé la même chose ? Juste par curiosité.

De mes modestes connaissances historiques, la France n’a pas été reconnue dans le monde pour ses baguettes, et son charme 

french mon GIF
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Mais principalement pour sa révolution. Oh, il y a eu d’autres accomplissements bien évidemment : glorieux et moins glorieux, mais la France c’est la révolution. Autrement dit, la France c’est la patrie des mécontents qui sont prêts à se battre pour leurs droits. D’où les grèves dont celle qui est prévue ce mardi, c’est bien ça ? Je ne veux pas dire de bêtises.... Hahaha, c’est trop tard de toute façon. :)

Cette réaction qui dit : oh, mais ils fatiguent à râler tout le temps. Je peux la comprendre, c’est vrai. Surtout lorsqu’on regarde vers les pays sous-développés où les habitants doivent nourrir une famille nombreuse avec moins de 5 euros. Il est naturel d’avoir cette réaction : ah bah on n’est pas si mal en fait.

Mais c’est un leurre. C’est une fausse sécurité, et j’irai même jusqu’à dire que c’est une illusion de confort. Pourquoi est-ce que je pense ça ? Hmm comment dire. Cette situation me rappelle un peu, par certains côtés, à ce que j’appelle le problème du riche. Lorsqu’une personne devient financièrement aisée, voire très aisée, il devient pratiquement impossible de trouver une oreille compatissante chez ceux qui ont moins de moyens.
- De quoi il se plaint celui. Moi je suis à cent euros prêts chaque mois et lui roule en porche. Qu’est-ce qu’il me fatigue avec ses problèmes.

woody harrelson crying GIF
https://media.giphy.com/media/94EQmVHkveNck/source.gif
Pourtant, la fortune n’efface pas les problèmes, elle en rajoute souvent d’ailleurs. Certes la fortune peut payer de bons docteurs, mais elle ne met pas à l’abri d’erreur ou même elle ne protège pas des maladies. La fortune permet d’avoir de bonnes voitures, mais ce n’est pas un bouclier contre les accidents. Elle permet d’avoir une hygiène saine, mais elle apporte également des facilités quant à l’acquisition de certains produits toxiques pour le corps. Elle permet d’éloigner la mort, mais sans plus, le deuil est également connu du riche, etc, etc...  Mes exemples sont pourris, je suis le premier à l’admettre, j’aurais aimé en trouver de plus intelligent, mais bon XD.



 Personnellement je pense qu’au lieu de dire :
- on est quand même bien
Il serait tout aussi intéressant de dire :
- C’est vrai, on est bien, mais il ne faut pas oublier que ce «luxe» est le résultat d’une lutte de force. Et dès l’instant qu’il y a du mou, tout peut basculer.

Maintenant je peux comprendre d’où vient le sentiment qu’il faut arrêter de râler. Et ceux qui partagent cette opinion, n’hésitez pas à me dire si je me trompe dans mon raisonnement....

vendredi 13 décembre 2019

L'héritage d'hermès (titre provisoire), page 22

Kolin n’était pas particulièrement ravi de cette annonce. S’il pouvait trouver une solution d’échapper à ce calvaire, il l’aurait fait. Quitte à créer une situation de conflit. Mais, une partie de lui ne voulait pas abandonner son père à la solitude, pas comme ça, pas maintenant.
- Ok, je vais chercher mon sac - répondit Kolin en retournant dans sa chambre. Il laissa les rollers à l’intérieur et les couvrit d’un cahier qui sentait le neuf. Après tout, même s’il comptait se rendre à l’école, il ne comptait pas rester longtemps. Le professeur ne comptait pas les absences, et tant que l’élève était présent pour les événements importants, il laissait couler.

Une fois prêt moralement : à mentir à nouveau, mentalement : à supporter le trajet, il s’en alla rejoindre Lambert senior.

Contrairement à ses attentes, le voyage se passa dans le plus grand silence. Ou du moins, pour être plus précis, c’était contrairement à ses attentes actuelles. Le silence en compagnie de son père était le quotidien de Kolin : 80 % de silence et 20 % d’engueulades ou plutôt de «motivations» comme aime à le croire Martin. Cependant, dans ce cas-ci, le jeune homme s’attendait à ce qu’il reçoive au moins une question :
- Est ce que tu sais où est ta mère ?
En connaissant la réponse à cette question, il s’attendait clairement à ce que son père le soupçonne même si, objectivement, il n’y avait aucune raison qu’une telle chose soit possible. Sa mère n’avait pas montré d’attachement particulier à son égard, alors lorsqu’elle laissa le mot, pour Martin elle avait abandonné tout le monde. Le pire, c’est qu’il avait senti, quelque part au fond de lui, une légère trace de soulagement. C’était comme si, pendant un très cours instant, le ciel gris de son existence avait été traversé par une éclaircie. Et cette éclaircie amena un orage de remords, de doute, de colère envers elle et envers lui... Comment est-ce qu’il avait pu ressentir ça ? Comment est-ce qu’elle avait pu faire ça ? Pourquoi ?... Sa poitrine lui faisait tellement mal qu’il était prêt à tourner le volant de force et percuter de plein fouet n’importe quoi juste pour être délivré de tout. La seule chose qui l’empêchait de le faire était son fils, assis à côté, et qui lui lançait des regards inquiets de temps à autre.
- «Tu dois avoir l’air bien pathétique si même lui s’inquiète pour toi» - pensa Martin en se regardant dans le rétroviseur central, et effectivement, il n’avait pas fière allure. Pour essayer de rassurer Kolin, Lambert sénior essaya de dire quelque chose. Il ouvrit la bouche puis la ferma aussitôt ne sachant pas comment commencer.
- «Ne t’inquiète pas, tout va bien se passer ?» - cette phrase ne pouvait marcher que si son fils s’inquiétait réellement pour lui - «et si j’ai mal interprété ? Peut-être qu’il regardait juste par la fenêtre... C’est mon fils et je l’aime, mais il a aussi le sang de sa mère alors.... Non, non, comment tu peux penser ça !» - ne trouvant quoi dire, il se tourna vers Kolin et lui passa la main sur la tête comme quand il était petit et lui sourit - «voilà, ce n’est pas trop mal» - se dit il pas peu fier de sa trouvaille sans se douter une seconde que la victime de son geste d’affection fut encore plus troublée qu’avant.

- «Euh, ok là il a complètement perdu la boule» - pensa Kolin.











Blabla de l'auteur 

Hello à vous chers lecteurs ! Bon week end ! Wii !!!

Texte time !

Ah ça m’énerve, c'est trop long. Du moins j'en ai l'impression. Je comptais passer le voyage en voiture et voilà maintenant qu'on compte les mouches... sigh, je vais relancer bientôt l'intrigue et entrer dans le sky ride avec les rollers, yeah... Après si ça vous va comme ça et que le fait que je prenne le temps vous convient, dites le moi et je m'ajusterai. J'écris pour moi mais aussi pour vous ;)

Si vous avez des questions, des suggestions, des critiques, des conseils, etc... n'hésitez pas à laisser un commentaire ou à m'écrire ici : unepageparjour@hotmail.com

Merci de me lire ! Vous êtes formidables !! Tchuss et à lundi !!! Portez vous bien !!!!

jeudi 12 décembre 2019

L'héritage d'Hermès (titre provisoire), page 21

Kolin relut le message trois fois, et chaque fois il fut plus confus que la précédente et son cœur faisait la même chute jusque dans ses chevilles. Il n’était pas aveugle, il pouvait bien voir qu’entre ses parents ce n’était pas l’amour fou, mais de là à lui demander de faire des cachotteries... Cependant, avant que le jeune homme ne passe de la confusion à l’outrage, il se rappela qu’il n’était pas immaculé non plus.
- «Tout le monde ment à papa dans cette maison, même lui même» - pensa tristement Kolin avant de répondre - «ok» - sans demander plus même s’il en mourrait d’envie. La question qui lui brûlait les doigts était :
- Depuis quand tu le sais ?

À quinze heures, Kolin était censé être en classe. Le fait qu’elle est lui proposer cette heure sans mettre les formes du genre :
- Tu peux te libérer de tes cours pour 15 h ?
Laissait entendre qu’elle savait qu’il serait libre à cette heure, ou qu’il n’aurait aucun mal à se libérer.

Le jeune sorti de sa chambre en se passant la main dans les cheveux, en se demandant qu’est ce qu’il allait bien pouvoir trouver comme justifications. Est-ce qu’il devait dire la vérité ? Est-ce que c’est pour ça qu’elle voulait le voir entre-deux ? Lui donner une chance de s’expliquer avant qu’elle n’en parle à son père ?
- «Putain !» - lâcha Kolin et à ce moment la porte de la maison s’ouvrit avec énergie avant d’être claquée dans un grand boom.

Le jeune vit son père depuis le salon avec une expression qui balaya toutes ses pensées paranoïaques. Lambert senior était adossé contre la porte et se tapait légèrement la nuque contre le bois, et serrait un bout de papier dans ses mains. Ses vêtements étaient froissés et mis à la va-vite transpirant de sueur, et le visage déconfit avec des yeux rougis.
- papa ? - appela calmement kolin.
- Tu n’es pas à l’école toi ? - demanda Martin sur un ton fatigué
- Non, pas encore. Je m’apprêtais à y aller - répondit machinalement Kolin.
- Ok... Tu as petit déjeuner ? - demanda Lambert en se dirigeant vers l’évier de la cuisine où il se rinça le visage.
- Non, je n’ai pas trop faim. Je m’achèterai un truc à manger à l’école - répondit Kolin avant de demander - Ca va ? - même s’il connaissait déjà la réponse. Mais qu’est ce qu’il pouvait dire d’autre ? Il ne comprenait pas non plus ce qui se passait et il n’était pas suffisamment proche de son père pour dire quoi que ce soit d’autre.
- Oui ça va, je crois que j’ai des allergies - répondit Martin avec un sourire forcé. Il ne voulait pas impliquer son fils dans son histoire de couple et moins il en savait sur la folie de sa mère mieux ce serait. Il ne savait pas combien de temps il pourrait ou devrait garder le secret de la lettre... Le temps de la retrouver et de la convaincre de mettre fin à son idée suicidaire. Il devait impérativement la retrouver avant qu’elle n’aille trop loin... Lambert senior s’en vouait énormément de ne pas avoir réagi plus tôt. Les recherches qu’elle effectuait étaient, à ses yeux, un passe-temps ludique. Quand elle avait trouvé des «collègues» de recherche, il s’était dit super : elle se sentira moins seule et je pourrais travailler plus pour mettre de côté et soutenir financièrement ce passe-temps. C’était l’intention de base avant qu’ils ne soient tous les deux aspirés dans leurs mondes. Et maintenant...
- Ok. On y va alors - dis Lambert senior.
- Où ça ? - demanda Kolin sur un ton inquiet.

- À l’école. Je vais t’accompagner - répondit Martin.
- Ah...








Blabla de l'auteur

Hello à vous chers lecteurs ! Bonne mi semaine. J'espère que si vous avez des problèmes, ils trouveront bientôt une solution (hein ? Nani ?!)

Texte time !

Ok, je vais bientôt relancer la trame. Ce petit drame familial devait être fait. J'espère que les positions de chacun sont assez compréhensibles, sauf la mère mais j'y arrive. 

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mercredi 11 décembre 2019

Blabla de l'auteur très court.


bom dia hello GIF
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Hello à vous chers lecteurs ! Cela faisait longtemps que je n’avais pas fait de page dédié à un blabla, yep trop longtemps.

Alors, de quoi est-ce que je voudrais parler avec vous ? Non ce ne sera pas star wars même si le film sort dans pas longtemps. J’espère que si vous allez le voir vous passerez un super moment cinématographique.

awesome mario GIF
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Cependant le thème que je voudrais aborder est quand même lié à l’espace, l’espace infini, la nouvelle frontière... Ou quelque chose du genre. Les puristes de star trek me corrigeront.

Je suis tombé sur une «découverte» qui m’a fait vriller les neurones. Je me suis dit :
- Mais c’est incroyable, je veux utiliser ce concept absolument !
Et je dois dire que j’ai mis quelques fondations possibles pour qu’une telle chose soit possible.

Alors de quoi est-ce que je cause tabarnak comme au dirait au pays des caribous et des mangeurs de saumons XD, de ceci : https://www.sciencealert.com/something-strange-is-causing-distant-galaxies-to-synchronise


Alors qu’est ce que cet article raconte ? Je vais vous le dire :
funny cat GIF
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Apparemment, et je dis bien apparemment, les galaxies sont reliées entre elles par une sorte de «chemin», une sorte de structure de matière un peu comme les neurones d’un cerveau. Et là je peux bien vous imaginer dire :
- Ahan, il a encore fumé un truc qui n’est pas passé.
Et je vous dis non, nay, niet ! Je suis comme ça au naturel XD.
stoned the simpsons GIF
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Alors qu’est ce que cette «découverte» apporte ? Hors mi le fait que c’est tout simplement génial et que mon imagination est juste super excitée ?

funny cat GIF
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Aucune idée. Il a été découvert que les galaxies sont reliées entre elles, mais qu’est ce que ça veut dire exactement ? Est-ce qu’il est possible de voyager par ce «chemin» ? Est-ce que c’est une forme de réseau d’information ? Pour qui ? Pour quoi ? Est-ce que c’est une forme de transfert de matière dû à la force gravitationnelle des galaxies ? Je n’en sais absolument rien et les chercheurs ont besoin d’étudier ce phénomène sous toutes les coutures pour comprendre le pourquoi du comment et je vais suivre cette découverte de près.

Mais rien que la vue de ce phénomène, wouah. Je me demande dans 100 ou même 2000 ans dans le futur, comment est-ce qu’on verra l’univers ? A quel niveau de compréhension allons-nous arriver ? Est-ce que l’univers sera encore pour nous ce gouffre cosmique obscur dont on en sait absolument ou rien ? Où est ce que ce sera comme un jardin qu’on connaît sur le bout des doigts ? Halala... J’ai vu un sketch de key&peels ou l’un d’en eux c’est fait mordre pour devenir immortel dans le but de pouvoir survivre jusqu’aux voitures volantes. J’avoue que l’idée est tentante.

back to the future goodbye GIF
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Cependant je partage l’idée que l’immortalité n’est pas pour tout le monde. Il faut être un minimum sociopathe et centré sur soi même pour se détacher des liens sociaux ou moraux.

Mais ceci est un débat pour une autre fois peut être : les + et - de l’immortalité.

Bon, je ne vais pas vous fatiguer plus longtemps. Je voulais juste partager cette découverte et je vous dis à demain. :)

Oui c’est court comme blabla, c’est vrai. Maintenant que je me relis, je n’ai pas dit grand-chose. Hmm...

Merci de me lire ! Vous êtes formidables !! Tchuss et à demain !!! Portez-vous bien !!!!