lundi 29 mai 2017

Meliacor, le tombeau de glace, page 53

Le félin ignora sa collègue et continua comme si de rien n'était:
  • “Papa c’est quoi la différence entre fiction et réalité”. Le père regarde sa femme et lui demande “tu coucherais avec une célébrité pour un million ?”. Cette dernière répond “Oui, bien sur. Pourquoi gâcher une telle opportunité”. Le père regarde sa fille et lui pose la même question, et la jeune fille répond “ Bien sur surtout Georgio. C’est mon fantasme, il est super beau et joue super bien”. Le père demande à son fils, le plus âgé, la même question et le gars lui répond “bien sur, pour un million. Y a tellement de choses qu’on peut faire pour un million”. Alors le père regarde son cadet et dit “la différence entre la fiction et la réalité c’est que fictivement on est entouré de trois millionnaires, mais en réalité on en entouré de deux putes et d’un gai” - raconta Cid et tout le monde était trop surpris pour comprendre la blague, à part Sean

  • Heh, pas mal. Mais trop long, écoute ça…
  • Il se passe quoi là ? - murmura Raby à jess qui haussa des épaules. Il ne savait si rire allait énerver ou non le géant alors il ne savait pas trop sur quel pied dansé.
  • Plus tard - l'interrompit le z'hum qui sentait son esprit compétiteur d'échauffer - Sean c’est ça ?
  • Euh ouais.
  • J’essayerai de ne pas te bouffer la tronche si jamais. T'es un bon petit - dit Cid avec un large sourire. Ce petit humain avait monté des qualités qui méritaient un certain respect - on se bouge les fillettes. C’est notre fenêtre, alors vaut mieux ne pas la rater parceque j’ai des centaines de blagues comme ça en réserve.

Tout le monde à l’exception de Sean, se mit à courir derrière Cid comme si ils avaient le diable aux trousses. Il était hors de questions qu'ils revivent cet embarras, Dalanda la première. Elle aimait le z'hum comme sa famille, la relation fraternelle s'était construite longuement sur des années mais dès le premier jour le z'hum s'était positionné en protecteur, surprotecteur même sans raisons... Mais elle demandait de la force à toute divinité qui l'écouterait pour continuer un jour de plus, parcequ'il pouvait être réellement insupportable et insortable en société.

Pendant des heures, ils couraient comme des dératés hantés par les cliquetis et d'autres sons particuliers, nourrissant l'imaginaire de toutes sortes de visions cauchemardesques à la genèse du stress qui devait en se moment leur handicaper l'esprit. Pourtant, leur barrière contre ce trouble en l'état inévitable, était ce mastodonte qui les guidait expertement dans entrailles de cette planète hostile. Le groupe n’engagea les insectes que deux fois parce qu’ils n’y avait pas d’autres chemins possibles. C’était impressionnant, non, terrifiant de voir le z’hum en action. Sa bestialité et sa force étaient au-delà de ce que les mercenaires avaient pu imaginer.

Les insectes, réduits en bouilles et recouverts de plombs, étaient encastrés dans les murs pour libérer le passage, comme de la poussière qu’on balayerait sous le tapis pour faire genre ou d'étranges décorations fixées aux parois rocheuses. Cependant ils arrivèrent sains et saufs devant un cul de sac légèrement différent de tous ce qu’ils avaient vu jusque là. La structure n’était pas de pierres et de roches mais de géo-composites avec un détail qui pouvait avoir son importance. Sur toute la surface du mur il y avait d'innombrables traces de griffures.
  • Droit dans le mille - fit Cid en regardant Maki. En théorie leur raisonnement avait une certaine logique, mais la difficulté était pratique. Repérer les indices pour les mener jusque là était d’une difficulté monumentale et Cid, malgré le fait d’être un enfoiré de première avait réussi cet exploit. Et le pisteur ne pouvait être que bluffé par le travail de soustraction nécessaire. Il fallait trouver le chemin le moins parcouru, des milliers, millions de traces au sol. Sans parler de la vitesse d'exécution...Non il y avait quelque chose de différent avec ce z'hum, il était sans aucun doute une anomalie même pour sa race.


Le groupe complètement exténué au point de ne pas pouvoir parler, décida de se reposer là pendant quelques minutes. Les armures pompaient ce qu’elles pouvaient d’éléments chimiques pour compenser leur épuisement au au bout d’un quart d’heure ils étaient prêts à bouger leurs membres.



Blabla de l'auteur

Hello à vous! Bon début de semaine !!! Como esta ? J'espère que vous avez pu vous reposer suffisamment pour attaquer cette nouvelle semaine. Juin arrive, la plage et le soleil, cependant j'ai le pressentiment d'une canicule sévère. Je ne sais pas si je suis le seul mais bon j'espère me tromper.

Bien commençons technique vite fait. Certains peuvent peut être se trouver confus par l’interaction entre Sean et Cid, penser même qu'elle est peut être forcée. Eh bien laissez moi vous dire................Que ce n'est pas du tout le cas :)

Ok laissez moi expliquer vite fait. Cette interaction ne signifie pas forcément qu'ils s'apprécient alors je veux jongler pendant une minute entre les deux esprits.

Sean déteste Cid pour ce qui est arrivé mais il assez mature pour comprendre qu'il n'était pas entièrement responsable non plus. La situation dans laquelle ils se trouvent ne disparaîtra pas par magie, elle est une réalité, un fait. Alors en prenant cela en considération qu'est ce qu'on fait ? Il a dit ce qu'il avait à dire et attendait s ordres de son sergent, mais en attendant rien ne l'empêchait de trouver un quelconque réconfort.

De l'autre côté Cid trouvait Sean puéril et émotif mais suffisamment courageux pour admettre ce défaut. Quand est ce qu'il l'a admit ? En lui parlant de Dyne. Donc c'est une interprétation de la personnalité de Sean réalisée par Cid basée sur une instabilité psychologique passagère qui a pu ou ne pas l'influer. Qu'est ce que je viens de dire ? Aucune idée. Bref, le fait est que la dynamique est presque similaire à celle de Sean. Dalanda à choisit de les laisser venir, sa raison est la sienne et il la respecte. Maintenant il peut s'amuser à les énerver un petit peu, alors conscient de l'effet de son humour sur les gens il choisit de piquer un petit peu dans la merde. paradoxalement lui qui pensait que Sean était puéril montre ces mêmes signes :) Sauf qu'il ne s'attendait pas à avoir un échange et fut agréablement surpris.

Maintenant si cette explication ne vous suffit pas, laissez un commentaire en m'expliquant qu'est ce qui manque ou cloche. Ou écrivez moi ici: unepageparjour@hotmail.com

Bien maintenant que ceci est mit de côté, aujourd'hui malheureusement je ne pourrai pas écrire plus longtemps; J'ai une course à faire (j'ai la flemme), et donc je vous laisse avec cette petite vidéo de 11 minutes je la trouve marrante et c'est avec des animaux:

Sur ce, je vous remercie de me lire ! Vous êtes formidables !! Tchuss et à demain !!! Achetez des chapeau et coupez vos afros, le soleil va douiller !!!! Bonne journée à vous !!!!!

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