La tension venait de grimper inutilement à première vue. Cependant il n'y avait pas besoin de logique quand l'égo rentrait en jeu, surclassant souvent le rationnel. C'était une question de principe, point barre. La situation pouvait être identique dans des circonstances plus improbables, mais la dynamique aurait été identique, parcequ'il s'agissait de répondre à un besoin humain: montrer sa valeur. Quand au pourquoi ? Le pourquoi lui peut être subtile. Pourquoi voudrait il le montrer à un individu qu'il méprisait presque ? Les émotions ne sont pas toujours blanches ou noire, on peut mépriser une personne pour qui elle est et respecter son talent ainsi que ses capacités.
- Quoi ? T’es pas sérieux là mec - se mêla Sean
- Kruu ruu ruu, pas mal petit ! - rigola Cid
- Il préparait cette blague depuis tout à l’heure - ricana Dalanda. Amusée et gênée à la fois
- Quoi ? - firent Raby et Bender en même temps.
- On attend simplement que quelques insectes bougent, il y en un grand nombre devant - expliqua Dalanda si gênée qu'elle voulait juste disparaître.
- Mais je prend le pari quand même - fit Cid
- Arrête un peu ! Alors ils ont bougés ?
- Non, pas encore. Il en reste…cinq sur notre chemin - répondit il après un instant. Maki le regarda impressionné et énervé. Toute cette bravade pour rien, il se sentait ridicule. Mais ce qui l'énervait également était le sens sur-développé des zoohumains qu’il jalousait quelque fois. Les humains étaient si limités quelques fois que s'en était juste extrêmement frustrant.
- C’était vraiment une blague ? - demanda Sean - parceque j’ai pas trop compris. Par contre je peux en raconté quelques unes en attendant
- Sean…
- Non serg, les gens ont besoin d’être éduqués sur l’humour.
- Sean ! - fit Raby
- Quoi ?! On doit attendre de toute façon. Alors c’est un mec et une meuf dans une caisse, parquée en dehors de la ville. Ils s’amusent ensemble, normal, puis après avoir tiré son coup la meuf fait “écoute chéri, en réalité je suis une pute et je charge 100 rolins” - dit Sean en imitant une fois de femme - Le gars la regarde et souri puis lui répond “bah en fait j’ai oublié de te dire que je suis chauffeur de taxi et ça fait 200 rolins la course jusqu’en ville” hahaha. Alors ça c’est une blague, hein ?
- Cid non - fit Dalanda encore plus gênée.
- Une famille de quatre était en train de dîner et le junior demande à son père…
- "Cid ?" - s'intéressa Bender
Blabla de l'auteur. Petit poème
Hello à tous et bon dimanche. Du moins j'espère pour vous qu'il est super ;)
Déja bonne fête des mères à toutes les mamans, mais j'y reviendrai plus bas.
Ensuite en prenant la technique, euh bon bah désolé pour la blague de Sean, il y a celle de Cid demain, sigh. Quelques fois je plains Dalanda, travailler en continue avec ce type doit être quelques fois pénible.
Bref, le texte est simple, j'espère qu'il vous donnera un petit peu le sourire et qu'il ne fait pas trop tâche mais hey, c'est mon style d'écriture et quelques fois c'est un enfer lol.
Donc si vous avez des questions, suggestions, critiques, etc.. Par exemple ! est ce qu'il y a encore des chauffeurs de taxi dans le futur ? Oui, même si l'automatisation prendra le relais, je pense qu'il y aura une transformation du métier non plus comme système de transport uniquement mais comme source d’interaction et d'échange avec une personne. Les machines amèneront une sensation de saturation, on interagira avec elle partout. Payer ses factures, payer sa nourriture, demander une direction, aux feux, les régulations routières, au boulot aussi, etc... Alors j'imagine qu'à un moment donné on essayera de retrouver ce contact humain, ce qui amènera les taxis soit sur un marché de niche, soit sur un retour en force avec un concept différent du service. Autant une machine peut répondre à des questions autant il lui manque la créativité, je rappelle que ce ne sont pas des IA, mais des IV (intelligences virtuelles ou intelligences basiques dénouées de la liberté d'apprendre et de se remettre en question) Mais bon je me trompe peut être ;)
Donc oui laissez un commentaire ou écrivez moi ici si plus de détails sont nécessaires: unepageparjour@hotmail.com
Après c'est donc la fête des mères et j'ai décidé de me couvrir de honte en écrivant un poème. Je suis une bille dans ce domaine mais bon, le ridicule ne tue pas. Alors c'est du frais tout chaud de mon cerveau, donc si jamais j'ai du retard dans la publication, bah j'étais coincé ici :) Ahem c'est parti:
Ô femmes de tous âges, quêtant les rires et l'euphorie
Ô femmes de tous âges, remparts inébranlables
Vous nous menez du néant à la lumière
Et ce sans jamais faiblir
Ô femmes de tous âges, en proie aux doutes de tous les jours (âges ?)
Ô femmes de tous âges, incertaines du lendemain
Vous êtes le phare dans ces ténèbres impensables
Gardiennes de nos souvenirs radieux
De nos sourires joyeux
Ô femmes de tous âges, le dos courbé par l'effort
Ô femmes de tous âges, guerrières sans nul pareil
Lionnes au cœur de fer,
Mamans au cœur de verre
On ne vous dira jamais assez combien vous nous êtes chères.
Mouais bon peut mieux faire :) Mais c'est ça les risques de l'impro.
En tout cas merci de me lire ! Vous êtes formidables !! Tchuss et à demain !!! Prenons soin de nos mamans, nous n'en avons qu'une tout le long de nos vies !!!!
(ps: c'est quand la fête des père déjà ? la honte, j'ai oublié...)
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