- Hmm ce n’est pas garanti qu’on trouvera l’Ulwazi là bas, j’en doute personnellement mais c’est je ne vois pas d'autres pistes - murmura Dalanda à Cid qui hocha des épaules en disant gestuellement “c’est toi qui voit, c’est un chemin comme un autre”. Lui non plus n’y croyait pas trop, trop simple à son gout
- Le localisateur machin là, il donne quoi ?
- Il est muet pour l’instant. Il faudrait qu je trouve un moyen pour l’intégrer au scanner du vaisseau si jamais… - “si jamais ce n’est pas le bon” voulu t elle dire, mais la force lui avait manqué d’admettre à haute voix cette éventualité. L’objet en question étant une technologie de nature inconnue à l’image des Ulwazi, sa compatibilité avec les équipements modernes était presque impossible à atteindre - Et vous pouvez nous servir de guide ? - demanda-t-elle ensuite au sergent
- Je.. Quoi ? …Je ne pense pas pouvoir vous aider – répondit il honnêtement.
- C’est clair que ton utilité me semble limitée, vieil homme – ricana Cid.
- Une arme de plus c’est tout ce que je peux objectivement vous proposer - il s'était toujours dit qu'il était trop tard pour jouer les pères, mais il ne pouvait s'empêcher de s'inquiéter maintenant qu'il avait des doutes sur sa sécurité. Bender pouvait se permettre de tout jeter par la fenêtre, il n'était pas sur Meliacor pour une carrière mais pour retrouver son trésor perdu. Alors il pouvait offrir son arme mais pas plus, les autres n'avaient pas les signés pour ça.
Dalanda cogita pendant quelques instants puis se décida
- Ça me va - dit- elle – vous avez cinq minutes pour vous préparer.
- J'aimerai vous poser une question - demanda Jess
- Je vous écoute ?
- Si cet objet est dangereux comme vous le dites, pourquoi est ce que vous le cherchez ?
- Disons que je suis désespérée de réaliser un miracle - répondit- elle avant de s'éloigner en compagnie de Cid qui lui lança un rapide coup d’œil. Pour vérifier qu'elle allait bien peut être ?
Blabla de l'auteur
Hello à vous amis lecteurs !!! J'espère que vous allez bien ! Le soleil commence à bien pointer le bout de son nez, de mon côté de la planète en tout cas et avec il y a la bonne petite chaleur :)
Alors parlons comme toujours de la technique en premier, ou du moins m'absence de technique :) La situation est compliquée, un peu comme chercher une aiguille dans une botte de foin. A voir comment ils vont se débrouiller et les défis qu'ils devront surmonter pour y arriver, voire si il y arriveront ou même si toute cette aventure vaudra le coup de leurs sacrifices. Entre les démons internes et les spectres de l'histoire. Hmm...
Si jamais vous avez des questions, suggestions, critiques constructives, sujets de conversation, etc... N'hésitez à laisser un commentaire ou à m'écrire ici: unepageparjour@hotmail.com. Je serai heureux d'apprendre avec vous.
Bien passons donc à autre chose. Hier j'avais commencé à discuter de mommy parceque je voulais rebondir sur la difficulté d'être un parent et aussi un enfant. Peut être parceque je suis à cet âge ou que simplement je me pose trop de questions. Par exemple j'aimerai discuter aussi avec vous de l'enseignement: est ce que vous trouvez par exemple que l'enseignement est adapté, qu'il répond à vos besoins pour l'avenir, que ça vous le coup d'investir autant de temps pour une finalité qui n'est pas souvent l'emploi, est ce que vous pensez que le système basé sur le mémorisation bête et stupide est convenable ou vous préféreriez qu'on vous apprenne à moins utiliser vos ressources cérébrales pour être plus adaptatifs ? etc...
Mais ne nous éparpillons pas, il y aura du temps pour discuter de pleins de sujets, banals ou importants. Du moins si tout se passe bien ou comme dirait l'autre dans les conditions normales de températures et de pressions.
Revenons en donc à mommy de monsieur Xavier Dolan. Pour ceux qui n'auraient pas vu le film, il s'agit de l'histoire d'une mère qui gère son fils souffrant d'un trouble du déficit de l'attention avec hyperactivité (TDAH), après la mort du père. Et donc du combat de la mère Diane pour offrir à son fils un cadre de "normalité" pour qu'il puisse devenir un adulte autonome.
Et attention au spoil .......... Elle n'y arrive pas. Elle est obligé de le confier à une institution spécialisée, mais à aucun moment on ne peut se dire elle n'a pas fait de son mieux. Du moins pour moi.
Ce qui m'amène à me poser des questions sur la parenté. il existe un postulat en la matière que l'enfant est égoïste. Il ne voit pas les parents comme des personnes et se place au centre de leur attention. Leur monde doit graviter autour d'eux sinon ce n'est pas normal. Les enfants veulent ci, ils veulent ça, ils veulent être ici, ils veulent être la bas, ils aiment, ils détestent. Bref leur vie et leurs humeurs avant tout. Bien évidemment ce n'est pas le cas de tous mais d'un grand nombre, si ce n'est du plus grand nombre aka plus de la moyenne.
A quel point doit on être préparé mentalement pour avoir un enfant. Parceque ce ne peut pas être une décision prise à la légère, et basée uniquement sur l'amour. Certes c'est un désir naturel qu'homme et femme ressentent mais c'est aussi la conception d'un être qui va demander de l'attention, des soins, et surtout qui peut avoir un "défaut technique". Et là il n'y a pas de remboursement, il n'y a pas d'échange, on a ce qu'on a et on doit faire avec. Imaginez que l'enfant ne peut pas se nourrir tout seul, ne peut pas s'habiller tout seul, demande une présence constante 24h/24 ou il pourrait se faire du mal sans même sans rendre compte, etc...
Pouvez vous vous imaginer passer toute votre vie à vous occuper d'un enfant par exemple, parcequ'il est victime du trouble du spectre autistique. Ou parcequ'il a des problèmes de santé graves, etc... On peut se dire qu'il n'ont pas le choix que de prendre soin de leurs enfants. Ce n'est pas vrai, du moins à mon sens. Ces personnes incroyables qui se "sacrifient" pour leurs enfants, pour leur donner de l'espoir, ou un semblant de normalité, ont le choix mais décident de ne pas se laisser le choix et cette différence est fondamentale. Le choix !
C'est cette décision de fermer toute autre forme de possibilité qui est digne de respect, et même si au final, même si ça ne marche pas cette personne aura donné son maximum. Et là aussi c'est ce qui compte, de ne pas avoir de regrets même si dans ce cas j'imagine qu'on en aura toujours. Le regret fondamentale d'être responsable de sa souffrance.
J'essaye toujours de savoir ou je vais, le mettre mot est j'essaye :) Si je fais ça quel sera l'impact pour moi, pour les autres. Est ce que c'est ok ? Est ce que c'est en adéquation avec mon principe ? (C'est ne fait pas à autrui ce que tu ne veux pas qu'on te fasse). Et si il arrive ça ? et si il arrive si ? A un moment de ma vie c'était si lourd que j'avais du mal à prendre des décisions parceque les embranchements étaient juste trop, trop pour moi pour prévoir alors je restai sur place, et dans le doute...Hmm ou est ce que je veux aller avec ça ??
Ah oui, que j'essaye de faire pareil pour ma décision de parenté. Je me donne encore quelques années, déjà pour mettre en ordre ma vie professionnelle et pour me préparer mentalement à l'éventualité du pire.
Etre parent c'est compliqué, et j'en suis l'exemple. Je crois que pour ma mère je suis une source de stress continu. C'est vrai :) J'ai abandonné un début de carrière dans l'immobilier parceque je ne pouvais pas. Je ne pouvais pas harceler les gens au téléphone pour leur proposer des services que mille autre gars proposaient, avoir l'impression de m'imposer à eux. Je ne me sentais pas utile, ce n'était pas ça que je voulais passer ma vie à faire. Mais c'est ma vision personnelle, et j'ai percuté que je ne pouvais pas lorsque mon boss m'avait conseiller de devenir un requin. Je ne suis pas un requin, je ne suis pas un dauphin, je ne suis pas un lion ou une hyène, ou un guepard ou tout autre animal dans la nature, je suis humain. Et en tant qu'humain je désire participer à créer quelque chose de meilleur et non à bouffer tout ce qui bouge.
Et je lui ai dit que je veux être écrivain alors que je n'avais jamais rien écrit de ma vie même si j'ai passé la moitié de mon existence à imaginer des histoires. Vous imaginez un peu ça ? Certes j'ai fini mes études avant alors s'aurait pu être pire mais quand même.
Et là où elle m'a étonné encore une fois, c'est qu'elle a décidé de soutenir mon rêve qui n'est juste qu'un rêve. Je parlerai peut être d'elle à la fête des mères, mon hommage à son courage et au courage de toutes les mamans qui ont des enfants ambigus comme moi, la tête dans les nuages en essayant d&désespérément de comprendre ce monde qui n'a aucun sens :)
Bon j'arrête là, je sens descendre la larmichette virile. Mais bon, j'essayer d'être franc avec vous et de ne pas me donner une image qui n'est pas moi. Par exemple je voulais aller à la muscu mais je me suis réveiller tard alors je vais attendre jusqu'à 15 h avant de publier pour faire genre. Et je vais me motiver pour y aller vers 18 h. Stupide mais bon :)
Je vous remercie de me lire !! Cela compte énormément pour moi !!! Vous êtes formidables !!!! Tchuss et à demain !!!!!
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