mardi 16 mai 2017

Meliacor, le tombeau de glace, page 40


  • Je ne suis pas sur de comprendre - Bender regarda la femme, puis le géant mais tous les deux semblaient on ne peut plus sérieux. Soit ils étaient naïfs à en pleurer, ou soit ils exhumaient d’une confiance à la limite de la folie. Et il penchait plus pour la deuxième hypothèse - Haha, j’imagine qu’il n’y a pas de mal à ça – rigola nerveusement Bender, c’était une tournure qu’il n’avait pas vu venir mais qui pouvait leur servir. Ils allaient bien baisser leur garde à un moment donné.
  • Dans ce cas ramassez vos armes et tout ce dont vous aurez besoin – ordonna Dalanda.
  • On a droit à nos armes, vraiment ? – demanda Sean qui n’en revenait pas non plus.
  • Bien sûr, on ignore à quel point point le voyage sera long ou dangereux. Alors je ne peux pas garantir votre sécurité tout le long, c'est pourquoi il est préférable que vous soyez armés - expliqua patiemment la jeune femme.
  • Oh, je vois, je vois - répondit Sean en la regardant de manière suspecte. Ça n'avait aucun sens, leur comportement était trop bizarre, et le pire était qu'il commençait à se sentir stupide de douter ainsi de leurs motivations.

  • Vous ne pourrez pas vous infiltrez vous le savez non ? Les systèmes de sécurité sont trop poussés pour pouvoir être hackés mais même si vous réussissez chaque laboratoire est sous la responsabilité d’un lieutenant de notre organisation
  • White Owls hein ? - annonça Cid - Vos têtes de piaf sont facilement reconnaissables alors ne faites pas vos surpris Kruu rru rru !
  • Nous les portons pour être reconnus - rétorqua Bender en continuant - Vous ne passerez pas entre les mailles des spécialistes - Il ne comprenait pas leur plan, et il n’aimait pas ne pas comprendre.
  • Heh Onajimi no – se murmura Cid
  • Hmm ? - lui demanda Dalanda
  • Non rien. J'étais juste amusé par la perspective d'un minimum de challenge.
  • je vois - l'ignora la jeune femme en se focalisant sur le sergent - Donc je dois comprendre qu’il y’en plusieurs ?
  • A ma connaissance il y a 3 laboratoires archéologiques souterrains, dont deux qui sont tous interconnectés via un réseau de rails - répondit Bender en se mordant les lèvres tout de suite derrière
  • “Putain, qu’est ce qui se passe ?” - se dit il. Il n’avait pas à leur donner cette information, il ne voulait pas leur donner cette information, ou le voulait il ? Il ne savait plus lui même.




Blabla de l'auteur
Hello à tous chers amis lecteurs !! J'espère que vous allez bien !!
Excusez moi du retard mais là mon manque de sommeil m'a rattrapé et j'ai juste déconnecté quoi. Entre 8 h et là maintenant c'est le trou noir lol.

Bien sur le plan technique. Personnellement je ne sais pas si je dois apporter ou non des explications, donc comme toujours si vous avez des questions, suggestions, etc... Laissez moi un commentaire ou écrivez moi ici: unepageparjour@hotmail.com

Ensuite hier j'ai annoncé que je voulais parlé de mommy de monsieur Xavier Dolan, tabarnak ! Et de monsieur Aaron swartz, tragiquement décédé alors qu'il était parmi ceux qui avaient les outils pour changer le monde.

Je commencerai par mommy mais je ne pense pas terminer le sujet aujourd'hui. D'abord je parlerai de la technicité du film qui est jute wow. La qualité d'écriture entre moi et monsieur Dolan est quand même énorme, certes il a commencé très jeune et moi il y a à peine un an. Mais j'ai un long chemin d'imagination et de création à faire, et c'est cool. La perspective d'avoir une voie d'évolution est bien.

Mais il ne s'agit pas de moi mais de monsieur Dolan et de son oeuvre. Oeuvre qu'il a imaginé jusqu'aux couleurs de vêtements. C'est pourquoi j'ai un long chemin à faire, parceque moi et les vêtements même en irl c'est loin d'être ma préoccupation. Bref...

Mommy est le film d'une mère qui reprend chez elle son fils ayant des poussées de violence incontrôlées. Mais il y a zéro accusation dans le film, juste de la présentation des faits et l'histoire de trois vies. Il montre la difficulté que c'est des deux côtés: mère et enfant. Parceque le paradoxe c'est que le garçon hyper violent est un gentil garçon. Tout le long du film on se demandait, enfin surtout moi, quel mécanisme dans son cerveau fait qu'il a ce problème. Qu'est ce qui se passe dans cette tête, comment se met en place le clic et le déclic.

Et le film ne peut pas prendre sans la performance des acteurs: donc monsieur Antoine Olivier Pilon qui jouait le fils Steve; madame Anne Dorvale qui jouait la maman Diane, et madame Suzanne Clément qui jouait la voisine Kyla. Et cette dernière a une de ces scènes d'intensité ! Magnifique.

Je ne vais pas spoil aujourd'hui ce sera pour demain si je n'ai pas une autre idée "brillante". Mais le ton du film n'est pas...SI c'est un drame social, mais avec une note d'espoir aplatie au réalisme. Le combat d'une mère pour aimer, protéger, prendre soin de son fils qui détruit sa vie. Et le combat d'un fils qui sait qu'il détruit la vie de sa mère qu'il aime beaucoup trop, mais il ne peut pas s'en empêcher. Comme quoi l'amour à lui tout seul ne suffit pas, mais c'est un excellent début à mon sens.

Si vous êtes intrigués je vous conseille de le voir. Je vais faire court sinon je termine à 13h et quelques et ça me décale toute ma journée.

Merci encore de me lire ! Vous êtes formidables !! Tchuss et à demain !!!

(Ah oui salle de sport demain, sigh ... Donc je ferai surface vers 15 h, par là. Ciao et portez vous bien, faites attention à vous)

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