- "Hmpf petite maligne. C'est bien mais je ne sais pas si c'est bon " - pensa Jonathan avant de dire - J'avoue que c'est très bien mais à ce rythme il n’y aura plus personne dehors – exprima t il ses craintes. Le fait est que leur temps n'était pas fini. Si la bête l'emportait alors ils allaient devenir les seuls casse croûtes présents. Si les black owls l'emportait alors... Alors c'était peut être la meilleure chose à espérer. Morel aurait moins de gardes avant l'arrivée des renforts probablement coincés en orbite à cause de l'hydre.
- Vous préférez faire face à une armée de Black owls et aux trucs Fenrir et au lézard bizarre qui bouffent tout ce qui bouge avec ces armures-là ? – demanda Dalanda en montrant les carcasses métalliques vides.
- Je disais juste ça comme ça. Il y aura la radio ? – demanda-t-il, ce à quoi la jeune femme répondit par un regard ennuyé. Il alla se rasseoir à sa place avec ses sombres pensées. Son ancienne équipe lui manquait terriblement.
Ils travaillèrent sans interruption, manipulant les différents éléments électroniques et matériels. Lentement les éléments mécaniques de l’armure était incorporés, servo-moteurs, recycleurs, compensateurs, modulateurs, récepteurs… Et au bout de six heures quatre armures étaient prêtes à l’utilisation. Elles n'étaient pas complètes mais pouvaient remplir les tâches basiques. Et en bonus Dalanda avait débloqué la protection sur les fusils d’assauts les rendant opérationnels.
- Ah voilà qui fait plaisir à toucher – s’exprima Jonathan en tenant son arme – Pas dans un sens tordu – dit-il par la suite.
- Les goûts et les couleurs ne se discutent pas, si vous êtes pro chrome ça vous regarde - répondit Dalanda.
- Je ne suis pas pro chrome, je n’aime pas les machines ok ? - réagit Bender
- Ok, je plaisantai - répondit Eiling sans le penser un seul instant.
- Mouais. Par contre j’ai juste une question, comment on fait pour les couloirs ? – demanda Jonathan. En armure ils étaient plus larges et plus grands, il n’y avait aucune chance qu’ils puissent se faufiler dans les couloirs étroits qui les avaient conduits jusque-là.
- Je crains de ne pas y avoir pensé – répondit Akiro
- Vous êtes sérieux ? - demanda bêtement le sergent en pensant - "c'est pas possible !"
- Bien sur que non monsieur Bender, mais votre question provoquait une réponse stupide.
- Hmpf ! Montrez le chemin ! - grinça des dents Jonathan
Blabla de l'auteur
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Hello à vous chers lecteurs ! Je vous souhaite une merveilleuse journée. Il y a du soleil, alors il ne tient qu'à nous d'en faire quelque chose de positif (dit l'autre à moitié endormi...)
Ahem bonne et belle journée à vous :)
Texte time !
Alors comme promis j'ai raccourci les quelques heures. Hein, on ne va pas rallonger inutilement toute l'histoire. Certes il y avait moyen d'écrire des dialogues intéressants, du moins pour moi. Mais bon, en route vers l'aventure !! Si je me trompe n'hésitez pas à me le dire.
SI vous avez des questions, si vous voyez des défauts ou ce que vous pensez être des défauts, n'hésitez pas à laisser un commentaire ou à m'écrire ici: unepageparjour@hotmail.com
Fiou, il y a beaucoup, beaucoup de trucs qui se passent dans le monde. L’incarcération de monsieur Paul manafort, le brexit, le catexit (l'exit de la catalogne... Non ? ok...) ou plutôt la demande d'indépendance de la catalogne, la Russie à également ses problèmes, bref le monde est monde et continue de tourner avec tout toujours aussi fous et perdus.
Mais parlons un peu de quelqu'un qui tourne rond, enfin vous me direz clairement l'inverse. Parlons de monsieur Bai Fang Li. Je ne sais pas si vous connaissez ce monsieur, si c'est le cas désolé d'avance.
Alors monsieur Bai Fang Li était un chauffeur de pedicab. C'est ce truc
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| pedicab.com |
Il a fait ce travail jusqu'à l'âge de 74 ans. Sacré carrière, surtout qu'il a du commencer jeune. Malheureusement je n'ai pas d'information sur le sujet, mais plus tôt il a du commencer et plus il devait attendre de savourer cette retraite bien méritée. Pédaler toute la journée, sous le chaud soleil, presque sans pause, à cet âge en plus. C'est fort, très fort.
Pour sa retraite il avait décidé de rentrer chez lui dans la province d'Hebei, dans le nord de la chine. Auprès de sa femme et de sa fille, mais il fut témoin de quelque chose qui allait l'obliger à changer ses plans.
Il trouva des enfants en train de travailler les champs parce qu'ils étaient issus de familles trop pauvres pour payer l'école. Un problème qui ne le concernait en rien, il avait fait son temps en se ruinant le dos, et pourtant...
Malgré les expressions d'inquiétude de sa famille, monsieur Bai Fang Li décida de reprendre son travail pour faire don de ses gains pour l'éducation de ces 300 enfants forcés à travailler.
Pendant près de 20 ans, jusqu'à l'âge de 90 ans, il continua à pédaler sans répit. Selon ses propres mots et les quelques témoignages recueillis, il apparaît qu'il donnait pratiquement tout, même l'argent pour de nouveaux vêtements. Et la somme ainsi recueilli avait atteint 350 000 yuans, soit environ 50000 euros mais je dis peut être une bêtise. Il faudrait regarder les cours de bourse mais bon est ce que c'est le but ?
Monsieur Bai Fang Li est mort en 2003 à l'âge de 93 ans, sans jamais avoir connu de retraite. Je me demande ce qu'il pensait alors ? Est ce qu'il s'est senti heureux, satisfait ? Dur de le savoir... Mais il a définitivement montrer une chose incroyable: il ne faut pas être riche pour aider autrui. Il faut juste en avoir la volonté.
Une leçon qui j'espère me servira aussi pour être la personne que j'ai envie, qui peut se regarder fièrement dans le miroir. Où est ce que ce désir égoïste en fausse le sens ? Beaucoup de questionnement, beaucoup de piétinement sur place, beaucoup de peur et de paradoxes aussi. Sigh, je suis curieux de voir ce que je ferai demain...
Merci de me lire ! Vous êtes formidables !! Tchuss et à demain !!! Merci monsieur Bai Fang Li pour avoir paver un si beau chemin !!!!
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