Néanmoins, avant de poursuivre cet enchaînement d’événements chaotiques. Remontons le cours du temps de quelques jours. A cet instant où Cidoplphas Marshall fut confié aux mains de Artyem Gasparof. Oh combien il était heureux de tenir entre ses mains un tel spécimen. Enfin, il pourrait avancer ses recherches d'un pas de géant. Un zoohumain déployant des capacités physiques hors du commun, dépassant l'entendement même, serait un moteur formidable pour l'avancée de son propre projet: "Fenrir".
Oui, il était si excité qu'il n'en dormit pas la veille. Il était si excité qu'il retira le spécimen des mains d'Andréï aux premiers signes d'améliorations. Et il ne fait nul doute que cette perte de contrôle, cette ébullition émotionnelle due à la curiosité "scientifique", joua un rôle conséquent dans les événements à venir. Le dernier coup de grâce à une lutte intérieure.
Comme tous il était indisposé par les méthodes de teste drastiques qu'il du employer. Pourquoi choisir de telles méthodes alors ? Parceque des sacrifices étaient nécessaires pour le bien commun. Une phrase qu'Artyem se répétait tout les matins comme un mantra en se forçant à se regarder dans le miroir au moins pendant cinq minutes sans céder à la tentation irrésistible de baisser les yeux de dégoût, les yeux rougis par son insomnie persistante, par les cauchemars qui ne le quittaient pas. Surtout depuis ces derniers mois, surtout à cause de cette foutue musique qui jouait toute les nuits dans la chambre de son voisin Nokuza...
Mais malgré le mal être qu'il ressentait tous les jours, hanté par ses actions journalières. Gasparof n'hésita pas à prendre ce qu'il considérait être un raccourci absolument nécessaire pour ses recherches, et pour l'avenir de l'espèce humaine. N'était ce pas là la mission ingrate qu'il avait accepté ? N'était ce pas l'accord qu'il avait accepté ? Que le scientifique disparaisse pour ne laisser place qu'à son travail. Ce qui était important n'était plus qui, mais quoi. Egalement, ce n'était pas le comment mais le pourquoi qui avait de l'attrait, car personne ne disposait plus de luxe pour le comment. Si lui, Gasparof, sacrifiait son humanité pour la cause volontairement, alors les sujets de test devaient également jouer le jeu. Après tout ce n'était que justice, chacun son rôle, et tout le monde était content. C'est pourquoi, sans savoir quelles cartes il avait en main, il fit ce qu'il jugea être le mieux, en oubliant ce simple et ancestral adage: "qui joue avec le feu, se brûle"
La première sensation que Cid ressenti fut la douleur et il n’y avait rien de pire pour débuter la journée qu’une intense séance d’électrocution. L’odeur des poils et de la chair brûlée commençait à remplir sa minuscule chambre délimitée par des murs en verres blindés. Il pouvait sentir son sang bouillir dans ses veines, ses os et ses croc craquer sous la contraction forcée de ses muscles. Ses organes lâcher jusqu’au point où la douleur devint insupportable et qu’il laissa échapper un grognement de douleur, rien d’autre qu’une marque de faiblesse à ses yeux. De l’autre côté de la vitre ultra épaisse on essayait de lui parler, de lui raconter des trucs, de lui faire bouffer un tas de conneries comme auparavant. Mais cette fois il refusait d'écouter toutes leurs justifications, toutes leurs explications sur le pourquoi. Sur le fait qu'il allait servir à une grande cause. Toutes les causes des fous étaient étrangement grandes, folles par leur démesure. Non, cette fois la seule chose qu’il avait décidé de retenir était le nom de cet abruti en blouse blanche qui n’arrêtait pas d’ouvrir sa gueule ainsi que son apparence : Gasparof. Blablabla révolution, blablabla survie, blablabla espoir, blablaba unique…
- “Un joli nom dommage que son porteur soit une grosse salope” - avait-il pensé alors.
A chaque fois que le félin ressentait de la douleur il gravait ce nom plus profondément dans son esprit, au fer chauffé à blanc par les flammes de sa rage !
- “Cette situation rappelle de bons souvenirs non ?” - entendit-il alors sa propre voix.
- “Non, pas maintenant” - gémit il intérieurement en essayant de contenir un nouveau cri alors que ses yeux commençaient à bouillir.
- “Je ne vois pas pourquoi. On est installé confortablement, il fait beau, on est entouré de gens sympathiques, je peux presque entendre le chant des oiseaux et des canards, écoute…” - lui dit la voix et il entendit effectivement ces bruits au fond de son esprit.
- “C’est juste un écho, c’est juste un écho, c’est juste un écho” - se murmura Cid pour faire disparaître la voix.
- “Tu vas mourir ici…” - dit-elle avant de partir comme du sable porté par le vent. Cependant cet exploit n'était pas du à sa volonté dispersée, mais simplement parce qu’il venait de perdre connaissance.
- Seigneur c’est la première fois que je vois un z’hum en vrai. Bon sang regarde son bras il est aussi épais que mon torse – entendit-il une voix éloignée
- Concentre-toi sur ton boulot Andréï. On doit le remettre en état – répondit une autre voix.
- Notre système n’a pas été conçu pour ramener les morts à la vie, c’est du délire.
- Tu as intérêt à devenir le messie alors, parce que sinon on l’aura profond. Les docteurs viennent à peine de commencer à s’amuser avec lui.
- Ce n’est pas cool ça…
- La ferme mec, t’es fou ou quoi ? Fait ton boulot et évite de nous mettre dans les problèmes ! – murmura sèchement l’inconnu.
Blabla de l'auteur !
Hello à vous chers lecteurs ! Oh happy day !! Je vous souhaite une excellent, que dis je magnifique ! Que dis je Magnificiante journée !!
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Texte time !
Ok, on va remonter le temps. Donner quelques éléments sur Gasparof et au besoin j'écrirai une nouvelle sur lui, si cela vous intéresse. Mais j'essaye de rester le plus proche de ce que les personnages "principaux" voient.
Je sais que c'est une technique narrative limitée, mais c'est celle dans laquelle je me sens "compétent" pour l'instant. J'espère progresser de manière à pouvoir développer tous les personnages sans perdre en dynamisme un jour.
Donc, on voir ce qui est arrivé à Cid et voilà, c'est tout je pense :)
Si vous avez des questions, des suggestions, que je développe un peu plus ça ou autre, alors n'hésitez pas à laisser un commentaire ou à m'écrire ici: unepageparjour@hotmail.com
Alors il m'est arrivé un truc qui m'a fait flippé. Je revenais de chez ma copine à vélo en me demandant pourquoi diable je n'ai pas eut la brillante idée de porter des gants. Je veux dire j'ai du sang russe mais j'ai quand même froid de temps en temps :) Et sur la route je vois un vieux monsieur en train d'essayer de lever un panneau de signalisation renversé. Alors je m'arrête pour lui prêter main forte, je pensais qu'on allait juste le remettre droit. Mais je ne sais pas ce qui s'est passé, il s'est cassé. Alors là dans ma tête j'ai pensé "Maman, ton fils est devenu un vandale. Oh seigneur qu'est ce que j'ai fait". Surtout qu'il y avait à 3 mètres à peine un commissariat. Comment j'ai flippé ! Mais le monsieur m'a assuré qu'il allait passer tout raconter comme il faut à la police :)
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Voilà, vous venez perdre 5 minutes à lire cette histoire sans intérêt lol mais...
Merci de me lire ! Vous êtes formidables !! Tchuss et à demain !!! Portez vous bien !!!!
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