Durant plusieurs heures; la créature continuait sa sinistre besogne. Elle avait pratiquement exploré tout le complexe, il ne lui restait qu'un endroit à fouiller. Selon la carte mentale qu'elle avait crée dans son esprit, il y avait une cavité plus bas encore.
Elle se fraya un chemin jusqu'au B6 en semant ses petits pains de carnage tout en constatant que l'atmosphère commençait à changer, à basculer vers l'effet désiré. Elle pouvait le sentir dans l'air à travers l'odeur, la composition chimique, ainsi que le goût de leur sueur.
La colère, la peur, la haine... Toutes les émotions résultaient en un savant dosage de différentes hormones produites par le corps. Ce cocktail incitait l'organisme à libérer des phéromones particulières pour que ces agitations soient perceptibles à l'odorat. La raison d'une telle spécificité peut trouver une explication dans la nature sociale de l'espèce humaine.
Le fait de pouvoir ressentir la peur de l'autre devait permettre à prévenir d'un danger sans avoir besoin des mots, augmentant les chances de survie. Le fait de sentir l'assurance devait permettre aux humains de suivre une idée, un idéal, un leader dans un objectif commun. La colère devait être sentie pour que l'autre comprenne la situation et puisse éviter le conflit au besoin. Cependant comme tout ce qui est humain, cette capacité à été dénaturée.
Sentir la peur est devenue un moyen d'identifier les faibles. Propager le bonheur servait à cacher ses véritables intentions. L'assurance servait à monter un troupeau qui était prêt à croire n'importe quoi... La créature, en ce moment percevait toutes ces phéromones, toutes les informations olfactives récupérées par on odorat ainsi que par sa langue bifide. Ce phénomène était appelé tropotaxie et offrait une qualité informative inégalée dans le règne animal. Du moins, sous le contrôle de ce lézard.
De ce fait, il savait jauger l'atmosphère générale et juger si il était utile ou non de créer une scène de carnage, ou de laisser les choses se calmer un petit peu. Le chaos était un art complexe qu'il maîtrisait comme un chef.
C'est la raison pour laquelle il opta pour des petits pains plutôt que des montagnes de cadavres, car cette dernière option pouvait solidifier la résolution des têtes d'oiseau où les pousser à état de fatigue émotionnelle. Ce qui était à l'opposé de l'effet désiré...
Du B6, la créature se fraya un chemin à l’étage inférieur. Et, comme prévu, cette zone était bien plus large que les précédentes. Rien que la hauteur du plafond: 30 mètres environ, soit à peu près 4 fois la distance des étages du dessus, pouvait témoigner de la taille de cette caverne. Et c'est également là qu'elle trouva ce qu'elle cherchait
En dessous d'elle étaient parquée des navettes de transport B.LM.R 77 ( Benian & Lenova Manufacturing and Reprocessing, société spécifiquement crée par le gouvernement Benian en association avec l’entreprise Lenova pour la conception des navettes militaires et civiles de transport. La B.LM.R 77 dispose de 4 propulseurs sur les ailes amovibles avant et arrières pour la poussée verticale ainsi que le soutien aux 2 réacteurs sur la queue de l’appareil. La navette est équipée de deux moteur “B-schwitz naraka 67” pour les propulseurs et “B-Schwitz durman 15” pour les réacteurs. Composée de deux étages, elle nécessite 1 pilote et 1 copilote, peut transporter 30 passagers maximum plus 18000 kg en soute soit un char d’assaut de rang 2, pour une vitesse de 345 km/h et 450 km/h à vide. Distance de convoyage : 1500 km sans réserves).
Elle se fraya un chemin jusqu'au B6 en semant ses petits pains de carnage tout en constatant que l'atmosphère commençait à changer, à basculer vers l'effet désiré. Elle pouvait le sentir dans l'air à travers l'odeur, la composition chimique, ainsi que le goût de leur sueur.
La colère, la peur, la haine... Toutes les émotions résultaient en un savant dosage de différentes hormones produites par le corps. Ce cocktail incitait l'organisme à libérer des phéromones particulières pour que ces agitations soient perceptibles à l'odorat. La raison d'une telle spécificité peut trouver une explication dans la nature sociale de l'espèce humaine.
Le fait de pouvoir ressentir la peur de l'autre devait permettre à prévenir d'un danger sans avoir besoin des mots, augmentant les chances de survie. Le fait de sentir l'assurance devait permettre aux humains de suivre une idée, un idéal, un leader dans un objectif commun. La colère devait être sentie pour que l'autre comprenne la situation et puisse éviter le conflit au besoin. Cependant comme tout ce qui est humain, cette capacité à été dénaturée.
Sentir la peur est devenue un moyen d'identifier les faibles. Propager le bonheur servait à cacher ses véritables intentions. L'assurance servait à monter un troupeau qui était prêt à croire n'importe quoi... La créature, en ce moment percevait toutes ces phéromones, toutes les informations olfactives récupérées par on odorat ainsi que par sa langue bifide. Ce phénomène était appelé tropotaxie et offrait une qualité informative inégalée dans le règne animal. Du moins, sous le contrôle de ce lézard.
De ce fait, il savait jauger l'atmosphère générale et juger si il était utile ou non de créer une scène de carnage, ou de laisser les choses se calmer un petit peu. Le chaos était un art complexe qu'il maîtrisait comme un chef.
C'est la raison pour laquelle il opta pour des petits pains plutôt que des montagnes de cadavres, car cette dernière option pouvait solidifier la résolution des têtes d'oiseau où les pousser à état de fatigue émotionnelle. Ce qui était à l'opposé de l'effet désiré...
Du B6, la créature se fraya un chemin à l’étage inférieur. Et, comme prévu, cette zone était bien plus large que les précédentes. Rien que la hauteur du plafond: 30 mètres environ, soit à peu près 4 fois la distance des étages du dessus, pouvait témoigner de la taille de cette caverne. Et c'est également là qu'elle trouva ce qu'elle cherchait
- A A H H H H H. P E T I T S O I S E A U X ! HI HI HI SSS - murmura la créature, ravie, en contemplant les oiseaux de métal: les navettes que les humains utilisaient pour s’échapper dans le ciel.
En dessous d'elle étaient parquée des navettes de transport B.LM.R 77 ( Benian & Lenova Manufacturing and Reprocessing, société spécifiquement crée par le gouvernement Benian en association avec l’entreprise Lenova pour la conception des navettes militaires et civiles de transport. La B.LM.R 77 dispose de 4 propulseurs sur les ailes amovibles avant et arrières pour la poussée verticale ainsi que le soutien aux 2 réacteurs sur la queue de l’appareil. La navette est équipée de deux moteur “B-schwitz naraka 67” pour les propulseurs et “B-Schwitz durman 15” pour les réacteurs. Composée de deux étages, elle nécessite 1 pilote et 1 copilote, peut transporter 30 passagers maximum plus 18000 kg en soute soit un char d’assaut de rang 2, pour une vitesse de 345 km/h et 450 km/h à vide. Distance de convoyage : 1500 km sans réserves).
Cependant, elle remarqua un truc étrange. Certains emplacements étaient déjà vides, ce qui signifiait que des navettes étaient parties. Mais, elle n'avait perçu aucun changement dans le nombre de formes de vies présentes... Quoi qu'il en soit, elle devait immobiliser ces engins, les clouer au sol pour que ses proies soient toujours à portée de ses griffes et de ses crocs.
Ce hangar était animé par des humains qui apparemment ignorais tout ce qui se passait plus haut, tous les efforts que la créature avait fait. Le climat n'avait pas de peur, ce qui toucha le lézard dans son estime.
Ici, les mécanos s'afféraient sur l'entretien des machines: ils portaient des boites, faisaient gicler du feu et des étincelles. Les têtes d'oiseau patrouillaient simplement mais ce n'était qu'un leurre car il y en plusieurs cachées par leur technologie.
Si ça ne tenait qu'à elle, la créature serait descendue comme un ouragan pour leur apprendre ce qu'était la peur, cependant un élément la poussait à opter pour de la subtilité. Un géant de métal se tenait au milieu de la pièce dégageant une hostilité appétissante et troublante.
Le monstre se laissa tomber silencieusement, malgré sa masse qui devait atteindre près d'une tonne. Un exploit pratiquement impensable, mais qui pouvait s'expliquer par un peu de biologie et beaucoup de technique.
Le lézard avait hérité de Cid ses coussinet qui absorbaient particulièrement le choc. Mais la clé de cette prouesse était dans la technique de réception cumulée à l'effet des coussinets. Il atterrit sur ses quatre membres et prenant le soin de dissiper l'énergie de la chute à travers ses articulations et les concentrer dans son torse en le laissant descendre au point d'embrasser le béton.
Il y eut bien sur un TAC, le bruit d'une pierre qui se serait détachée du plafond. Ce son avait poussé les black owls camouflés à tourner la tête, le regard dirigé vers le sol pour identifier la pierre tombée puis retourner à leur besogne. Cependant, c'est les yeux écarquillés qu'il virent le visage du lézard.
Blabla de l'auteur
Hello à vous chers lecteurs ! j'espère que vous allez bien, et que vus n'êtes pas complètement épuisés par la semaine. Mais bon le week end approche et vous allez avoir l'occasion de souffler ;)
Texte time !
Bon, là je ne sais pas quoi dire... la dernière explication, je vous l'accorde peut être considérée comme étant tirée par les cheveux. Néanmoins c'et en faisant l'amalgame avec nos propres capacités qu'on se dit
Or là, nous sommes loin d'un situation qui implique des forces conventionnelles. Ensuite pour les émotions olfactives c'est vrai notamment pour la peur qui peut être littéralement sentie à travers les phéromones qu'on produit. C'est également le cas pour le désir et d'autres formes de chimie cérébrale :)
Ensuite, en auto critique, il existe surement un meilleur moyen de restructurer le texte et l'information partagée. Et je devrai la trouver à la publication définitive.
Mais si vous avez des questions, vous voulez plus d'explications, etc... laissez un commentaire ou m'écrire ici: unepageparjour@hotmail.com
Malheureusement je n'ai pas beaucoup de temps aujourd'hui, quelques projets en routes et des pages blanches qui persistent à rester blanches. Une chorégraphie de combat qui me prend la tête à cause de la physique. Erf, j'aurai du y prêter plus attention à l'école...
Merci de me lire ! Vous êtes formidables !! Tchuss et à demain !!!
Ce hangar était animé par des humains qui apparemment ignorais tout ce qui se passait plus haut, tous les efforts que la créature avait fait. Le climat n'avait pas de peur, ce qui toucha le lézard dans son estime.
Ici, les mécanos s'afféraient sur l'entretien des machines: ils portaient des boites, faisaient gicler du feu et des étincelles. Les têtes d'oiseau patrouillaient simplement mais ce n'était qu'un leurre car il y en plusieurs cachées par leur technologie.
Si ça ne tenait qu'à elle, la créature serait descendue comme un ouragan pour leur apprendre ce qu'était la peur, cependant un élément la poussait à opter pour de la subtilité. Un géant de métal se tenait au milieu de la pièce dégageant une hostilité appétissante et troublante.
Le monstre se laissa tomber silencieusement, malgré sa masse qui devait atteindre près d'une tonne. Un exploit pratiquement impensable, mais qui pouvait s'expliquer par un peu de biologie et beaucoup de technique.
Le lézard avait hérité de Cid ses coussinet qui absorbaient particulièrement le choc. Mais la clé de cette prouesse était dans la technique de réception cumulée à l'effet des coussinets. Il atterrit sur ses quatre membres et prenant le soin de dissiper l'énergie de la chute à travers ses articulations et les concentrer dans son torse en le laissant descendre au point d'embrasser le béton.
Il y eut bien sur un TAC, le bruit d'une pierre qui se serait détachée du plafond. Ce son avait poussé les black owls camouflés à tourner la tête, le regard dirigé vers le sol pour identifier la pierre tombée puis retourner à leur besogne. Cependant, c'est les yeux écarquillés qu'il virent le visage du lézard.
Blabla de l'auteur
Hello à vous chers lecteurs ! j'espère que vous allez bien, et que vus n'êtes pas complètement épuisés par la semaine. Mais bon le week end approche et vous allez avoir l'occasion de souffler ;)
Texte time !
Bon, là je ne sais pas quoi dire... la dernière explication, je vous l'accorde peut être considérée comme étant tirée par les cheveux. Néanmoins c'et en faisant l'amalgame avec nos propres capacités qu'on se dit
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Ensuite, en auto critique, il existe surement un meilleur moyen de restructurer le texte et l'information partagée. Et je devrai la trouver à la publication définitive.
Mais si vous avez des questions, vous voulez plus d'explications, etc... laissez un commentaire ou m'écrire ici: unepageparjour@hotmail.com
Malheureusement je n'ai pas beaucoup de temps aujourd'hui, quelques projets en routes et des pages blanches qui persistent à rester blanches. Une chorégraphie de combat qui me prend la tête à cause de la physique. Erf, j'aurai du y prêter plus attention à l'école...
Merci de me lire ! Vous êtes formidables !! Tchuss et à demain !!!
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