Hello à vous tous et bienvenue dans cette nouvelle aventure. Alors je ne vous cache pas, je suis un petit peu stressé. C'est ma première tentative d'écrire un roman, enfin d'écriture de roman plutôt. La première remonte à des années, quand j'étais étudiant et que j'avais du temps :)
Si vous vous sautez directement dans l'histoire c'est plus bas, allez y, ne vous gênez pas. Si vous préférez prendre votre temps avant de plonger dans les contrées gelées de Meliacor alors restez avec moi encore un petit moment. Vous pouvez aussi faire l'inverse, bref...
Alors que dire sur Meliacor. C'est l'un des embranchements les plus important de toutes mes histoires actuelles. Oh le chat de Louisville et Le singe du songe ont leur importance, mais je suis personnellement plus attaché à celle ci. Peut être parceque j'ai mis beaucoup, beaucoup plus de temps à l'écrire, et de manière objective elle n'est pas terminée, dans le sens ou elle est loin d'être parfaite, je ne vais pas vous mentir. Il y a quelques idées que j'ai trouvé cool mais qui vous feront penser, c'est débile. inversement des idées que j'ai trouvé meh et qui vous feront penser, hmm pas mal. Des parties trop développées, d'autres moins, etc... Je ne pourrai l'améliorer qu'avec vos retours, mais ne mettons pas la charrue avant les boeufs.
Alors cette histoire à plusieurs protagonistes, ce qui présente une difficulté technique, difficile de jongler avec plusieurs personnalités différentes, mais je pense que je me suis pas mal démerdé.
Donc il y a deux groupes différents, chacun avec des motivations différentes mais qui vont être obligés de "collaborer" pour survivre. Cependant le danger ne vient pas forcément de l'extérieur :)
Le dessin pour Meliacor n'est pas exactement représentatif des armures que portent les personnages, mais je le trouve très sympa. Cependant il n'est pas de moi, la dernière fois que j'ai dessiné c'était une moto pour le fils d'une amie et...hahaha seigneur que c'était ridicule.
Ok je vous laisse là dessus. De toute les façons je blablaterai demain la dessus ou sur un autre sujet, ce sera à la courte paille de ma folie :) Je vous souhaite un bon début de lecture, une excellente journée, vous êtes formidables !!! Tchuss et à demain !!!
MELIACOR
Le tombeau de glace
(Planète à la bordure du système cygmus77
Température min -90°c, max -135°c
Vitesse des vents: min 25 km/h max enregistrée 5679 km/h
Période de rotation: 15 h 26 mn
Superficie: 37 365 millions de km²)
Meliacor était une planète dure et inhospitalière. C’était un monde perçu sans vie, balayé par des vents violents et cristaux de glace coupant comme des rasoirs se fracassant contre les plaques composites des armures portées par les seuls humains assez fous pour traverser ce désert blanc. Ils couraient aussi vite que leur servomoteurs pouvaient le leur permettre, hantés par le ciel ténébreux, similaire à un trou dans le néant. Cette vision de catastrophe imminente était parcourue par des éclairs aux formes étranges, créatures insolites camouflées par les cumulo-nimbus. Ce phénomène météorologique était l’avènement d’une tempête qui suggérait une seule et unique chose: leur mort rapide et brutale. Protection céramico-métallique ou non, cela n’avait aucune importance une fois dans le ventre de l’hydre qui prenait naissance.
- BORDEL DE MERDE !!! BORDEL DE MERDE !!! - criait l’un des soldats dans l’intercom commune de la troupe de cinq, sans s’interrompre depuis plusieurs minutes déjà.
- La ferme Sean !!! Tu me casses les couilles, isole ton putain de canal !!! - hurla un autre soldat qui en avait marre d’entendre des hurlements incessants.
- Raby isole les communications de Sean immédiatement ou je jure de le balancer dans la tempête dans les 20 secondes qui suivent !!! - cria le soldat en deuxième position à la tête de la troupe en essayant de surclasser les hurlements.
- Je suis déjà sur le coup serg !!! - répondit une voix féminine en hurlant à son tour. Elle courait en tapotant un clavier holographique devant elle, lié à un appareil sur son avant-bras mécanisé. La tâche était ardue au vu des circonstances: les cris de Sean, le rythme de la course qui ne pouvait être opérée de manière automatique par l’intelligence virtuelle à bord de l’armure, le terrain incroyablement difficile de dunes de neige épaisse jusqu’aux hanches et de glace en dessous, et pour finir la menace dans leur dos qui gagnait du terrain. On pouvait déjà voir un cyclone se former au milieu de la pluie d’éclairs et ce n’était que le début
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire