- Dur de travailler avec des
amateurs, n’est-ce pas ? - demanda Castillyone sur un ton sarcastique.
-
Qu'est-ce que tu veux ? SI c'est pour te plaindre de la manière dont tu es
traitée parle à quelqu'un que cela que ça intéresse - répondit sèchement Cid
énervé.
-
J'ai connu bien pire - répondit Castillyone en s'avançant - ce n'était pas
aussi original, mais c'était bien pire - dit-elle à nouveau en faisant quelques
pas de plus obligeant Cid à lui faire face de toute sa taille pour la dissuader
de tenter une agression quelconque.
-
Qu'est-ce que tu veux ?!
-
Te dire que j'ai été impressionnée par toi
-
Kruu rru rru ! Merci, j'imagine si c'est tout tu peux repartir.
-
Tu en es sur ? - demanda la spécialiste en essayant d'écarter les mains malgré
ses liens alimentés. Et lentement, elle arriva à les écarter avant de les
fracasser les uns contre les autres.
-
J'imagine que le moustique est fichu - commenta Cid.
-
À force de me balancer dans tous les sens, c'est normal. Tu aurais dû saboter
les circuits de mon armure.
-
Hmpf, ça ne change rien à ta situation.
-
Peut-être bien, peut-être que si. T'imagines ce que j'aurai pu leur faire
pendant que tu boudais ici ?
-
... !!
-
Tout doux, mon grand, tu vois bien que je ne cherche pas de problèmes. Au
contraire - dit-elle en s'approchant davantage.
-
QU'EST CE QUE TU VEUX ?!
-
Soit mon partenaire ! Ensemble, les choses qu'on pourrait accomplir !
Aucune contrainte morale t'imagine ? On pourra céder à toutes tes pulsions
ensemble ! - dit Castillyone enjouée par cette idée et elle n'était pas la
seule. Dans l'esprit de Cid un rire serpentin prenait de plus en plus d'ampleur
couvrant presque complètement sa pensée.
-
"HIHIHIHI SSSSSS je l'aime bien ! Je veux la mordre ! Je veux la croquer
!!!"
-
Qu'est-ce que t'en penses ? 30/70 pour toi ! C'est raisonnable je trouve. Et p…
-
KRUU RRU RRU RRU !!! - explosa Cid de rire en se tenant le visage d'une main,
plié en deux. Ce rire était un véritable fou rire qu'il n'avait pas connu
depuis bien longtemps.
-
...
-
Kruu rru rru ! 30/70... Je ne suis peut-être pas aussi vieux que ton boss, mais
j'ai pu entendre un paquet de conneries au cours de ma vie.
-
Tu crois que je te raconte des conneries ? Tu veux plus ? - demanda la
spécialiste confuse.
-
Si tu n'as rien d'autre à me dire, tu peux te casser - répondit Cid - ta
proposition ne m'intéresse pas.
-
Je vois ... Je ne m'attendais pas à cette réaction, mais ce n'est pas plus mal,
la chasse à du bon pas vrai ?
-
La chasse ? Tu comptes chasser qui ? Moi ?!
-
Je compte te mettre à mes pieds - proclama la spécialiste ce qui valut un
nouveau fou rire de la part de Marshall poussant les autres à se demander ce
qui était de train de se passer.
-
Pour l'instant met toi en marche petite sauvageonne - dit Cid avant de crier - la
pause est finie, on se remet en route !
À
plusieurs kilomètres de là Cornelis était confortablement assis dans le bureau
de Philippe Morel, parcourant chaque fichier, chaque détail de son journal de
bord.
-
Mais qu'est-ce que tu voulais faire ? - se demanda-t-il, captivé par les
fichiers enregistrés sur l’ordinateur personnel de l’ancien préférum.
-
Qu'est ce qu'on fait des survivants ? - demanda Anderson.
-
Hmm ? Oh, oui, rien. On pourra tout mettre sur le dos de Morel. Ce n'est pas un
problème. Ils iront dans un centre de traitement pour SPT à nos frais et on
leur nettoiera la cervelle de souvenirs inutiles.
-
Et pour le message envoyé à Dragnoff ?
-
Tu crois qu'il aura le temps de lire le message d'une inconnue ? Ce message
n’arrivera jamais de toute façon. Par contre, je pensais vraiment qu'il était
mort Soumaré. Autant faire que ce soit vrai, tu ne penses pas ? Il est hors de
question qu'il quitte Meliacor vivant. Un mail ça se bloque, mais si jamais il
se déplace de lui-même pour voir Dragnoff, cela risque de nous poser quelques
problèmes - dit Cornelis et Anderson hocha de la tête de manière approbatrice
ce qui fi sourire le préférum. C'était délicat de discuter avec une personne
qui pouvait prévoir comment allait se dérouler une conversation.
Toc
toc !
-
Voilà encore d'autres gêneurs... - commenta Cornelis avec un sourire
amer, avant de sentir quelque de particulier, de très particulier, de l'autre côté de la porte.
Blabla de l'auteur
Hello
à vous chers lecteurs ! Bonne reprise à vous ! J'espère que vous avez la patate
et que vous embrassez la vie. :)
Texte time !
Hahahaha,
alors celle-là ! Je m'attendais à ... Je ne sais pas à quoi je m'attendais,
c'est assez logique, je pense. Hmm. Bref.
Si
vous avez des questions, des suggestions, etc... N'hésitez pas à laisser un
commentaire ou à m'écrire ici : unepageparjour@hotmail.com.
Merci
de me lire ! Vous êtes formidables !! Tchuss et à demain !!! Portez-vous bien
!!!!
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