Entrée du 11/04/2558
Siva
siva lepotoa
(dansez dansez toute la nuit)
Pese
Pese Seatae
(chantez chantez jusqu'au matin)
O
le tamaiti oua filifili
(des enfants ont été choisis)
i
lima matagi, lapoa matagi... (par la main de matagi, le
grand matagi...)
J'ai
bien aimé la chanson. Et les lilicons ont fait cours sans refaire tout une fête
derrière. Ah non, je n’allais pas pêcher pour ça.
En
tout cas, j'ai mes petits. Ils ont l'air potables surtout Uliuma. Cela m'a étonné
qu'il n'ait pas remporté l'épreuve, mais apparemment ce n'est pas un très bon
nageur. On ne peut pas être tout avoir dans la vie. Même moi Matagi je souffre
d'imperfection, je l'ai vu la dernière fois, je crois qu'ai une fesse un peu
plus grande que l'autre.
Quant
à mon "neveu" : Tamaïti. Pour l'instant, je ne sais... Je n'ai pas
l'impression de parler à un homme. Certes il n'a pas de peur, mais quand
même... ce n'est pas du courage, c'est comme s'il n'avait rien à faire d'être
en vie ou mort. Comment je vais travailler une personne comme ça ? Meh, la nuit
me porter conseil.
Mais
avant de me coucher j'aimerai parler de la légende de mama vaï. Les lumières
m'y ont fait penser. Une seconde que je m'en rappelle...
Il
y a longtemps de cela, lorsque la terre recouvrait l'eau aussi loin que le
regard pouvait se perdre, vivait une jeune femme du nom de mama Lokoré.
Mama
était une très belle jeune femme qui avait peur de l'obscurité. Et c'est pour
cela qu'à chaque nuit elle cherchait les bras de quelqu'un pour lui tenir
compagnie.
Un
jour, mama embrassa la compagnie de quelqu'un du nom de Ponifasio et Ponifasio
la couvrit de tout ce qui était précieux, et plus important il lui offrit la
lumière. Partout où elle allait, mama était accueillie par des rangées de
bougies, de jour comme de nuit, pour que jamais plus elle n'ait peur de la
nuit.
Mais
si mama avait la lumière, il lui manquait la chaleur dont elle s'était habituée
et cela, Ponifasio ne put lui pardonner. C'est pourquoi il puisa dans le savoir
interdit pour punir celle qu'il maudit. Jamais plus elle ne manquerait de
lumière, mais jamais plus elle ne connaîtrait la chaleur d'un corps. Mama, se
retrouva alors faite de lumière et incapable de toucher qui que ce soit.
Stupide
pas vrai ? C’est une histoire racontée aux jeunes filles pour les calmer un
peu, qu’elles n’aillent pas courir les garçons. Mais les lueurs avaient définitivement
un aspect humain, c'est pourquoi j'ai pensé à mama vaï. C'est surement
autre chose ... Hmm, peut être que je devrai faire un tour auprès des vieux
croulants de Lilico...
Hey
! l'un d'entre vous là, venez ici j'ai un truc à vous faire faire.
Blabla de l’auteur
Hello à vous chers lecteurs !
J’espère que vous passez une excellente journée et qu’elle a un peu de soleil
Texte time !
Je vais définitivement retravailler
la légende mama Vaï. Je trouve qu’elle manque de quelques trucs, vous en pensez
quoi ? Bien sûr, c’est une histoire qui accuse des milliers d’années de
changements, de génération en génération, du coup ça peut passer. Mais, hmm…
Là malheureusement j’ai une course
urgente à faire, du coup je ne peux pas y consacre autant de temps que prévu.
Mais dès que je peux, je ferai les modifications.
Si vous avez des questions, des
suggestions, etc… N’hésitez pas à laisser un commentaire ou à m’écrire ici :
unepageparjour@hotmail.com
Merci de me lire ! Vous êtes
formidables !! Tchuss et à demain !!! Portez-vous bien !!!!
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