lundi 29 octobre 2018

Journal de Vay Matagi, page 53


Petits et grands, laissez-moi : Tautavou Gago, reprendre la légende de Mama vaï. Car je vous le dis, vous n'avez encore rien entendu. 

Personne n'était aimé autant que Mama Vaï. De par delà l'horizon, tout le monde venait sous terre pour ne serait-ce que voir Mama Vaï.

Il est dit que même les esprits faisaient la queue, oh oui ! Même Pili Pili, descendait de son étoile pour voir Mama Vaï. 

Ainsi retourna Ponifasio. Pour voir ce qu'il considérait comme sa maison être envahie d'étrangers tournant autour de Mama vaï comme des mouches.

Mais Ponifasio retourna de l'aube rouge, différent. Il ouvrit les bras pour accueillir tout le monde dans son foyer et leur offrit même ce qu'il trouva dans le monde baigné par l'aube rouge : l'ulwazi

- Stop ! Stop !  L'ulwazi ? 
- Euh, oui, l'ulwazi... Ah ! oui je vois. 
- C'est quoi l'ulwazi ? 
- C'est le cœur de l'océan. Du moins, c'est ce que moi, Matagi, pensait. Mais il apparaît qu'on m'a menti depuis tout petit. 
- Non, Taloa Matagi. Personne ne t’a menti. On t’a dit ce qu'était l'ulwazi, mais pas d'où il est venu. 
- Ahan ? Explique-toi. 
- Je ne peux pas, car je ne sais pas oh Taloa Matagi. L'ulwazi est venue de l'aube rouge, mais ce qu'est l'aube rouge je l'ignore. J'ai simplement appris ce récit pour le transmettre, mais j'en avais beaucoup d'autres à mémoriser alors j'évitais de les comprendre. 
- Toi, vraiment... meh, continue. 

Ahem. Ponifasio offrit à tous l'ulwazi et ses miracles bénirent tout le monde. Il fut appelé alors Papa Taela, celui venu du ciel pour marcher parmi les hommes. 

Et je vous le dis, nul homme n'était plus aimé que Papa Taela. Il était aimé de tous sauf de Mama Vaï qui continuait à chérir tout le monde pareil, sans exception.

Et cela, je vous le dis, aimé sans retour, Papa taela ne pouvait le supporter. En utilisant le savoir ancien inclus dans l’ulwazi, il maudit Mama vaï. Si lui ne pouvait l’avoir, alors personne d’autre ne l’aurait. La rendant à jamais, inatteignable pour tous.

 - Meh, quel petit homme ce Ponifasio. Moi, Matagi l'exècre de tout mon être. Peuh ! 
- …Vous voulez que je continue ? 
- Ah, ce n'est pas fini ? 
- Non, Taloa Matagi. L'histoire n'est pas encore finie. 





Blabla de l’auteur

Hello à vous chers lecteurs ! J’espère que vous allez super bien !!!!

Texte time !

Fiou… Bon, ce n’est pas trop mal. Le résultat ne me donne pas envie de tout déchirer et brûler pour une fois. Ça va, ce n’est pas mauvais et d'ailleurs j'ai eu une idée intéressante et logique pour la conclusion. La bonne conclusion ;)

Si vous avez des questions, des suggestions, etc… n’hésitez pas à laisser un commentaire ou à m’écrire ici : unepageparjour@hotmail.com

Merci de me lire ! Vous êtes formidables !! Tchuss et à demain !!! Portez-vous bien !!!!








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