Bonne année chers lecteurs !! Bonne année à vous. Je vous souhaite le meilleur pour 2019 !! (mouais, il n'y a pas plus vague comme souhait...).
J'espère que tous les ennuis que vous avez pu avoir durant cette année trouvent une heureuse résolution en 2019.
J'espère que votre nouvelle résolution tiendra bon que ce soit pour trouver votre moitié, perdre du poids, lancer votre business, avoir votre augmentation, conquérir le monde !!! Je plaisante pour le dernier...
Personnellement je suis plus dans l'optique d'avoir un régime alimentaire plus sain et réduire mes portions, faire du sport de manière consistante, et que la Bd prévue pour janvier se fasse (et qu'elle marche suffisamment aussi ).
N'hésitez pas à partager avec moi vos résolutions pour l'année à venir.
Je reviens le 3 au plus, plus tard, et le programme reprendra son cours :)
Merci de me lire ! Vous êtes formidables !! Tchuss et bonne année !!! Portez vous bien !!!!
Il s'agit d"un projet littéraire et non un club sataniste, dont le but est de publié une page par jour d'une nouvelle ou d'un roman dont je suis l'auteur et qui peuvent être en cours de construction. Bon en principe ça fait plus d'une page en raison de ce que je rajoute plus tard mais c'est plus fort que moi. Il s'agit d’œuvres qui toucheront la sci-fi, le fantastique et le steam punk et voilà, c'est tout... :) faites vous votre propre opinion.
dimanche 30 décembre 2018
vendredi 28 décembre 2018
Le voyageur des rêves, page 3
Jacob resta bête en fixant son
holotable de bureau qui affichait la fin de la conversation. Il ne s'attendait
pas à ce que la conversation se coupe si vite, mais il préféra rester sur du
positif. Dans deux jours il avait rendez-vous et normalement dans deux jours le
docteur allait peut-être le soulager de son problème. Non, peut-être n'était
pas suffisant, il Devait le soulager de son problème comme la dernière
fois.
-
Peut-être que je n'aurais pas dû couper les ponts ? - se demanda Jacob. Après
que les rêves aient cessé, Jacob s'était dit qu'il n'avait plus besoin de
poursuivre ses entrevues, et que cette vie de misère était derrière lui. Une
décision imprudente, mais libératrice. Et puis il y avait le rythme, le rythme
du travail, le rythme des sorties, le rythme de la socialisation, le rythme de
sa nouvelle vie tout simplement.
-
Max ! Max ? - appela Jacob, mais personne ne répondit - Ah, oui ! - dit-il
avant de glisser ses doigts sur la table en graphite, sélectionnant le bon
logiciel et entrant son code d'identification avant de changer les options -
Max ?
-
Bonjour monsieur Moire ! - répondit l'intelligence virtuelle de son
appartement. Il avait limité ses interactions avec le logiciel, car ce dernier
avait tendance à appeler les services de secours un peu trop souvent, faisant
grimper en flèche et de manière inutile le prix de son assurance. Mais là, il
ne se sentait pas de tout affronter tout seul - que puis-je faire pour vous
?
-
J'aurai besoin que tu m'empêches de dormir.
-
Très bien monsieur Moire. Combien de temps ?
-
Deux jours
-
Monsieur Moire, le manque de sommeil...
-
Oui, oui je sais. On a déjà eu cette conversation, je ne veux pas revenir là-dessus.
Je veux que tu m'empêches de dormir jusqu'à après mon rendez-vous avec le
docteur Willmann.
-
Très bien monsieur Moire. En quoi puis je vous aider d'autres ?
-
Ramène-moi du café, extra corsé.
-
Monsieur Moire, l'abus de café...
-
Max, je t'ai demandé une tasse de café. Où est-ce que tu vois un abus ? Ramène-moi
un café extra corsé s'il te plait.
-
C'est votre cinquième de la journée.
-
Et il n'est pas en trot si tu veux mon avis. Allez, café, s'il te plait.
-
Très bien, monsieur Moire. Que puis-je faire d'autre pour vous ?
-
Tu peux me lire un livre ?
-
Lequel ?
-
Pff, aucune idée. Quel livre peut garder mon attention ?
-
Je l'ignore, monsieur Moire.
-
Hmm... Lis-moi : l'agonie de Mel
Boom
!
La
douleur revint à nouveau et la faiblesse dans le corps. Jacob se retrouva à
nouveau à ramper de toutes ses forces en direction de quelque chose, en
direction d'un espoir.
-
"Non... Pas ça" - gémit-il alors qu'au-dessus de lui la guerre
faisait rage.
Toutoutoutout
!
Il
entendit le bruit lointain d'un mécanisme qui lui donna des sueurs froides et
comme il s'y attendit le champ de bataille fut balayé par des flammes bleutées,
carbonisant tout sur le passage sur des centaines de mètres. Impuissant, Jacob
ne put que regarder comment tout fondait devant ses yeux ennemis comme alliés
étaient dévorés par la mort bleue venue d'en haut.
Blabla de l'auteur
Hello à vous chers lecteurs ! Je vous souhaite un excellent week end !!
Texte time !
Hmm... je ne sais pas quoi dire ici, l'histoire se met lentement en place. Si vous avez des questions, des suggestions, etc... N'hésitez pas à laisser un commentaire ou à m'écrire ici : unepageparjour@hotmail.com
Merci de me lire ! Vous êtes formidables !! Tchuss et à demain !!! Portez vous bien !!!!
Meliacor : Stargorad, page 87
La spécialiste savait que laisser
un organisme pareil qui pouvait prendre l'apparence de n'importe qui allait
compliquer la situation. Si le groupe était plus coordonné, avec plus
d'expérience... Si elle avait son ancienne équipe alors la situation n'allait
présenter qu'un souci mineur, mais avec les bras cassés qu'elle devait se
coltiner, si jamais ils se retrouvaient séparés, alors cette chose pouvait les
infiltrer sans problème. Et là n'était pas le seul souci. Cependant, malgré le
fait qu'elle savait que cette chose devait mourir, ses jambes refusèrent de
donner suite.
La raison de son inaction ? Elle
était simple : le choc. Même en voyant, même en comprenant que la créature
qu'elle avait en face n'était qu'une copie, la chimère laissait une impression
que même les plus braves avaient du mal à surmonter.
- Ha... ha... il est parti ? Il est
parti ... - soupira Jess en s'adossant contre le mur le plus proche, vidé - il
est parti...
- Et pas grâce à toi - répondit
sèchement la spécialiste et O'Ryan fit un geste de la main en réponse - maintenant
qu'on l'a laissé filer il va falloir qu'on reste groupé quoiqu'il arrive.
- Et c'est tout ? - s'étonna Jess -
personne ne se demande s'était quoi ce truc ? Et comment il pouvait ressembler
à Cid ? C'était quoi cette horreur ?
- J'aimerais savoir aussi -
répondit Dalanda encore sonnée par la transformation au point où son moignon
devint douloureux. Sa dernière rencontre avec le lézard lui avait coûté une
main et des insomnies (l'armure compense ce bras manquant en usant d'une
technologie de lecture neuronale. La main bouge par la lecture des signaux
neuronaux).
- Eh bein quand vous aurez la
réponse, gardez là pour vous - répondit Castillyone - allez on y va. Plus on
reste plantés là comme des cons, et plus on prend le risque de se faire
bouffer.
- ça va serg ? - demanda Jess en
remarquant que son sergent était immobile et silencieux.
- Hein ? oui, oui, ça va. J'ai
juste... allez on y va - répondit Jonathan avant de suivre les autres. Comment pouvait-il
dire que sa vessie lui avait joué un petit tour ? C'était un secret qu'il
allait emporter avec lui jusqu'au-delà de sa tombe, jamais, personne.
Skriiii Skriii !!!! Les cliquetis
ne cessaient pas, à chaque insecte abattu, deux autres prenaient sa place, mais
Cid compensait leur nombre par son expertise grandissante. Les cadavres
s'empilaient les uns sur les autres et l'espace commençait à être drastiquement
réduit. Mais malgré les centaines d'insectes morts, la ruche continuait à en
envoyer encore et encore.
- "HIHIHIHIHI, ENCORE ! OUI !
PLUS !" - hurlait la voix excitée dans l'esprit de Marshall, essayant de
prendre le dessus dans cette lutte incessante pour le contrôle.
Le z’hum poussa un puissant rugissement en puisant dans son
coffre, et le rugissement fut si fort que même le polymétal de son armure commença
à vibrer. Les créatures s’arrêtèrent nettes, figées par leur instinct enfoui masqué
par la volonté de la reine. Pendant un cours instant, les insectes se figèrent
de peur, lançant des cliquetis, se poussant, hésitant à remplir leur devoir.
Mais l’individualité et la liberté de choix étaient des notions qui n’existaient
pas sous le commandement d’une reine. Reine qui elle-même refusa de succomber à
la volonté d’une autre… Les paramélures revinrent à l’assaut et Cid poussa un
juron avant d’arracher une patte-faux d’un cadavre et de le jeter comme un
boomerang.
L’objet trancha plusieurs créatures avec une efficacité
redoutable, faisant grincer le z’hum des crocs. Le but n’était pas de les
massacrer sans merci, pas uniquement. Aucun stratège ne mène une bataille
perdue d’avance. Si Cid se montrait trop efficace dans sa besogne alors il y avait
le risque que la reine tourne son attention vers les autres, vers Dalanda, même
si par la même elle ouvrait la voie vers les nids. Combattre pour le futur est
une chose, mais un futur sans protecteurs était un futur perdu d’avance. Cet
équilibre était ce que Cid essayait d’accomplir, et la tâche était des plus
ardues l’obligeant à prendre des risques qu’il n’aurait pas pris en temps
normal et ce risque n’allait pas tarder à annoncer sa présence, car dans l’obscurité
des tunnels, trois mutants convergeaient vers la position du z’hum.
Blabla
de l’auteur !
Hello à vous chers lecteurs ! J’espère que vous avez
passé une excellente semaine et que votre week-end sera radieux XD
Texte
time !
Bon, vous trouvez peut-être que cette aventure avec les
paramélures s’allonge plus que de raison. SI c’est le cas, j’en suis désolé parce
que ce serait le signe que j’ai du mal faire mon boulot quelque part. N’hésitez
pas à me dire où et pourquoi, je tâcherai d’apporter les corrections adéquates.
Ah oui, bientôt nous allons avancer vers d’autres horizons.
Merci de me lire ! Vous êtes formidables !!
Tchuss et à bientôt !!! Portez-vous bien !!!!
jeudi 27 décembre 2018
Le voyageur des rêves, page 2
Jacob se senti soudain mal, il se
laissa tomber sur le dos, les mains sur le visage alors que son désespoir
revenait à nouveau sous forme de larmes. Il était déjà passé par là, il avait
déjà vécu tout ça et il espérait ne plus le revivre, jamais. Les nuits
éprouvantes, l'épuisement constant, la bipolarité, la perte de repères face à
la réalité... Autant de maux qu'il pensait avoir surpassé, autant de problèmes
qu'il pensait ne plus jamais rencontrer et pourtant.
Moire
commença à se construire une vie après sa dernière visite chez Willmann et là,
tout recommençait à nouveau
-
Pourquoi, pourquoi, pourquoi ??? - se plaignait il saisit d'un chagrin qui ne put
être calmé que par des heures et un nouveau rêve.
Jacob
se retrouva dans l'obscurité avec un bip énervant dans les oreilles. Avec le
retour de sa conscience vint également la douleur dans des parties de son corps
qu'il ignorait jusqu'à présent et pourtant l'entrainement intensif qu'il avait subi
pour s’enrôler en tant que para l'avait rendu familier avec la douleur, mais
celle qu'il éprouvait en cet instant n'avait pas de pareil.
-
Hnn - gémit Jacob en essayant de changer de position et de se retourner sur le
dos. Mais la tâche s'avéra plus ardue que prévu. Son ouïe commença à s'habituer
au bip pour entendre autre chose. Le grondement des machines gargantuesques
dont chacun des pas faisait trembler le sol et dont la puissance de feu pouvait
brûler la terre pour la dépourvoir à jamais de tout espoir d'y semer la vie -
hnn !!! - gémie à nouveau Jacob en essayant de se retourner, mais la douleur le
brûla si fort qu'il dû rester immobile pendant plusieurs minutes pour que ça
passe. Mais hélas, la patience n'était pas la clé à ce problème épineux.
La
vue commença à revenir, à retrouver en netteté et Jacob pu enfin voir sur la
visière de son armure d'où venait le problème et peut être aurait-il dû rester
aveugle, car la situation était critique. Le souffle d'une explosion l'avait
déstabilisé et dans la panique du moment il avait activé le système anti choc
trop tôt, et le bouclier était déjà en train de se dissiper lorsqu'il percuta
le sol, incapable d'absorber l'impact.
-
"Je vais mourir" - pensa Jacob en panique - "non, hnn,
non..." - protesta-t-il intérieurement en se traînant au sol, lentement
difficilement, très difficilement... Son armure était endommagée, son corps
était dans un état similaire : fractures, hémorragies internes et externes,
lésions et organes défectueux... il n'était qu'un cadavre en devenir, luttant
désespérément pour survivre malgré le soutien de son armure. Malheureusement,
toutes les drogues du monde ne pouvaient l'aider en ce moment... - "Non,
je ne veux pas" - protesta Jacob en continuant à luter, à se traîner, mu
par un instinct de survie qui refusait l’ordre naturel des choses. Pas comme
ça, pas ici, surtout pas ici loin de la famille, loin de tout, au milieu de
cette folie, perdu parmi des millions d’autres cadavres…
- Tilitititi Tilitititi, entendi
Jacob, mais le bruit ne venait pas de son casque, mais d’ailleurs
- Tilitititi Tilititit, entendit-il à
nouveau et le bruit venait d’en haut
C’est l’appel des anges ? – se
demanda-t-il confus. Il n’avait jamais cru en ces balivernes, mais là… il attendait
le son de luth ou de harpe, mais surtout pas ce bruit de téléphone – Téléphone ?
C’est le téléphone ?! C’est le téléphone ! – pensa Jacob en ouvrant
les yeux revenant d’entre les morts – Hnn.. Sauvé par le téléphone, tssk quelle
vie de merde – se dit il en se levant péniblement, ressentant encore une
fraction de la douleur de son alter ego des songes - putain, quelle vie de
merde – se plaignit-il intérieurement en prenant le téléphone – Allo ?
- Ah monsieur Moire ! Ici le
docteur Willmann à l’appareil, comment allez-vous ?
- Docteur Willmann ?
- Oui, c’est bien moi. Comment allez-vous ?
Je n’ai pas eu de vos nouvelles depuis un certain temps et je commençais à m’inquiéter.
- Oh docteur, sniff..
- Hmm, on dirait que j’appelle au bon
moment. Écoutez, j’ai un creux dans mon planning du mercredi, ça vous dit ?
- Oui ! oui, merci docteur
- Mais de rien, voyons. Eh bien, je vous
dis à dans deux jours alors et ne vous en faites pas, on va tout régler.
- Merci docteur, je …
- Clic
- Allo ? Docteur Willmann ?
Blabla de l'auteur
Hello à vous chers lecteurs !! Bonne soirée à vous !
Texte time !
Désolé de faire vite, mais je ne vois pas que dire en plus. Par contre,
Si vous avez des questions, des suggestions, etc... N'hésitez pas à laisser un commentaire ou à m'écrire ici : unepageparjour@hotmail.com
Merci de me lire ! Vous êtes formidables !! Tchuss et à demain !!! Portez vous bien !!!!
Meliacor : Stargorad, page 86
Bou-bou-boup ! Bou-bou-boup !
L'euphorie
du moment fut remplacée par la colère contre la spécialiste. Mais même avant
cela, quelque chose ne tournait pas rond.
Bou-bou-boup
! Bou-bou-boup ! Bou-bou-boup !
La
colère ardente au voisinage du dégoût de la personne fut temporairement
remplacée par une étrange impression.
Boup
boup ! Boup boup !
Les
battements du cœur de Dalanda s'accélérèrent sous l'effet d'une panique dont
elle ignorait l'origine ou plutôt dont elle refusait de voir l'origine. Les signes
étaient pourtant là, sous ses yeux qui voyaient sans voir, car son esprit lui
était fermé.
-
Kuru ruu ruu - rigola le colosse - Je ne suis pas sûr de suivre. Je suis là
pour qu'on fiche le camp d'ici
-
Attendez une seconde... - murmura Dalanda
Boup
boup ! Boup boup ! Boup boup !!
-
On avait un plan...
-
On Avait un plan oui, mais ces fichues bestioles ne se comportent pas comme je
voulais. J'ai dû minimiser leur intelligence...
-
Il y a une deuxième reine, je crois que c'est à cause d'elle - informa
Jess
-
Une deuxième reine ? - s'étonna le géant - Tssk, je n'avais pas envisagé cette
possibilité, je suis désolé. Mais maintenant que je suis là, autant ne plus se
séparer.
-
Ha ! – s’esclaffa la spécialiste.
-
Moi ça me va comme plan – approuva Jess.
Boup
boup ! Boup boup ! Boup Boup !!
-
Qui êtes-vous ? - demanda Dalanda avec l’impression que c’était quelqu’un d’autre
qui usait de sa voix, tant la question était absurde à ses propres oreilles – « Qu’est-ce
que je viens de dire ? » - se demanda-t-elle juste avant que cela ne
commence. Cette phrase fut le déclencheur de quelque chose qu'elle n'aurait
jamais cru revivre un jour. Un cauchemar qui n'avait cessé de la hanter...
Le
colosse changea, son armure devint écailles prenant un aspect
cauchemardesque et les yeux de Bender faillirent sortirent de leurs orbites,
ses genoux flanchèrent malgré le soutien de son armure et il commença à
trembler jusqu’aux os.
- Ha..ha..ha ! – respirait lourdement le sergent en
essayant de stabiliser son souffle et son pouls.
Jess n’était pas dans un meilleur état. Il y avait une peur
bestiale, primale qui s’était envahie de lui issue de la reconnaissance d’un
simple fait : cette créature veut… Non, cette créature Va le dévorer. O’Ryan
regardait droit dans les yeux de la mort et les yeux reptiliens et dorés de la
créature le regardaient en retour.
- Kuru ruu ruu ! Qu’est ce qui m’a trahi ? –
demanda le colosse.
- Tout – répondit Eiling en faisant front à la peur
instinctive d’une proie envers son prédateur –, mais surtout le rire
- Ha ! T’es pas si conne on dirait – répondit Castillyone
– quant à toi mon grand, je me fiche de savoir ce que tu es, tout ce qui m’intéresse
c’est de savoir jusqu’où tu as pu copier l’original ? Je meurs d’envie de
le savoir !!
Les yeux du lézard brillèrent d'une colère jaunâtre alors qu'il poussa des cliquetis familiers avant de commencer à reculer
- Ne le laissez pas s'enfuir ! - Hurla Castillyone en comprenant l'horreur qu'un tel être pouvait présenté : un change peau.
Blabla
de l’auteur
Hello à vous chers lecteurs ! Bonne soirée à vous, j’espère
que votre journée se déroule à merveille, ou suffisamment bien pour garder le
sourire.
Texte
time !
Halalalalalalala, c’est un chemin que j’ai hésité à prendre,
mais voilà. Je sais que vous avez des questions, mais je vais y répondre. Ahem,
mais pour être certain que je réponde aux bonnes questions que vous vous posez,
n’hésitez pas à laisser un commentaire ou à m’écrire ici : unepageparjour@hotmail.com
Merci de me lire ! Vous êtes formidables !!
Tchuss et à demain !!! Portez-vous bien !!!!
mercredi 26 décembre 2018
Blabla de l'auteur, juste quelques souhaits pour vous.
https://media.giphy.com/media/l0HlNAi0HfmOvoWli/giphy.gif |
Hohoho ! Hello à vous chers
lecteurs ! J'espère que vous avez passé un excellent Noël en famille ou entre
amis.
J'ai
été un peu déconnecté de tout durant cette période et ça ne va pas s'arranger
avec le 31 qui arrive à grands pas. D'ailleurs, par rapport au 31, je serai en
déplacement, donc pour les pages je ne sais pas comment je vais faire. Hmm...
Bref,
je verrai le moment venu. Quoi qu'il en soit, je vous souhaite de passer un
superbe 31. Je crois qu'il y aura une soirée Karaoké au moins, yipi... Je
chante comme une casserole XD.
Je
vous souhaite d'avoir la santé ou les moyens de vous donner la santé. Les temps
sont durs et même écologiquement les progrès sont là, économiquement... Eh,
bien il y a encore du boulot.
Je
vous souhaite de ne pas connaître la solitude en cette période ou dans votre
vie. C'est une condition qui ne sied pas à tout le monde, les humains sont en
principes des animaux sociaux. Et pardonnez le terme : animaux, mais je
n'en connais pas de plus convenable.
Je
vous souhaite que le but que vous avez dans votre vie vous convienne encore, ou
que vous puissiez en trouver un en cette nouvelle année. Exister est différent
de vivre, et vivre demande d'avoir un but pour que l’existence ait un sens. Hmm…
je ne suis pas sur de ce que j’ai dit, mais je pense que vous comprendrez l’idée
que j’ai voulu partager.
Je
vous souhaite donc de vivre, vivre bien, vivre heureux et vivre longtemps.
Voili
voilou.
Merci
de me lire ! Vous êtes formidables !! Tchuss et à demain !!! Portez-vous bien
!!!!
https://media.giphy.com/media/yoJC2El7xJkYCadlWE/giphy.gif |
lundi 24 décembre 2018
Le voyageur des rêves, page 1
Bonj... Euh, bonsoir à vous, ou
bonjour d'ailleurs XD. Alors, je ne vous ferai pas l'affront de donner une
estimation de longueur pour ce projet, je dirai simplement que je le veux cours,
mais on verra ce que le résultat va donner. Le titre est provisoire, ce sera
sans doute le dernier projet avant que je ne compile un premier recueil de
nouvelles, je verrai. Du coup, je vais devoir tout mettre au propre et
peaufiner les détails, yay... XD. Bien, c'est parti pour le voyage.
LE VOYAGEUR DES RÊVES
La
chaleur était insupportable, étouffante. Malgré la ventilation intérieure, la
sensation était similaire à celle d'avoir la tête devant un four ouvert et
chauffant à plein régime.
-
Je n'en peux plus, ça va encore durer longtemps cette histoire ? - demanda
Jacob
-
Tais-toi bon sang ! - siffla son camarade : James Ferguson, aussi appelé
"Jiminy" - si tu recommences à te plaindre on risque de se retrouver
en première ligne !
-
Où tu vois des lignes toi ? On est déjà en première ligne en ce qui me concerne
! - rétorqua Jacob.
- Alors, profite du peu de temps à
prier et pas te plaindre ! - répondit un autre membre de son unité : Zackary
Buton aussi appelé "bouton"
-
C'est de la folie, ce n'est pas une guerre pour les hommes, ça !
-
Bienvenue au 28e siècle - répondit Jiminy avant que l'ordre de sauter ne soit
donné.
-
Oh, pu... - eut le temps de dire Jacob avant que sa capsule ne soit expulsée
depuis la stratosphère. Le para commando se mordit les lèvres en essayant de
faire taire sa panique, mais la tâche n'était aucunement aisée. Les
simulations, les entraînements c'était une chose, mais là, là c'était la
réalité. Il n'y avait pas de second essai, il n'y avait pas de notes, il n'y
avait pas de débriefing après un échec, il n'y avait que la mort et idéalement
immédiate - fiou, fiou, fiou ! - commença-t-il à respirer sentant l'hypertension
et la panique montée.
Boom
! Boom ! Boubouboum !!
Le
bruit des explosions s’approchait de plus en plus alors que le groupe
traversait le rideau de nuages et une fois ceci fait, la transition entre la
réalité et l'enfer venait d'être faite. Jacob tapa sur le bouton rouge,
l'unique bouton de la capsule et cette dernière vola en éclat en lui offrant un
boost supplémentaire.
10
Le
para commando essaya de contrôler sa chute pour éviter des tirs d'ogives
ennemies, mais là il n'avait qu'une mobilité réduite. Son destin était entre
les mains d'un dieu quelconque ou d’un démon, mais certainement pas entre les
siennes.
9
Broobouboum
! Le ciel était couvert de bruits d'explosion et de fumée et le sol n'était pas
mieux.
8
Des
engins, géants, titans de métal, véritable miracle de la science, machines
exosquelettiques copiant les humains anatomiquement : MECHA, se livraient une
bataille terrifiante au sol, dans les airs et dans l'espace.
7
Fiou, fiou, fiou, le rythme cardiaque du soldat était si
intense qu’il n’entendait que ça dans ses oreilles et c’était tant mieux. Il ne
pouvait entendre les hurlements de ses compagnons plus malchanceux que lui, réduits
en bouillie organique dans les airs.
6
Venait désormais la partie la plus délicate du saut, la
réception. Activer le système d’atterrissage trop tôt et les batteries se
vidaient trop vite limitant l’effet désiré. Activer trop tard et c’était une
embrassade intime avec le sol.
5
Jacob ferma les yeux, il ne pouvait se fier à ses yeux pour
juger la distance. Il devait se fier à son expérience.
4 …
- Huaaa !! – se réveilla en sursaut Jacob Moire, tombant
de sa chaise dans la panique. Il regarda autour de lui en ne comprenant pas où
il était, ce qui se passait et pourquoi il était encore en vie. De son dernier
souvenir, il avait été soufflé par une explosion ce qui l’avait déstabilisé et…
- un rêve, ce n’est qu’un rêve – se dit il avec une certaine euphorie avant de
lever les yeux au plafond de son appartement – ça recommence – se dit-il, épuisé
d’avance de vivre.
Blabla de l'auteur
Joyeux Noel les amis !!!!
Texte time !
J'espère que le début vous plaît et pour Mecha, oui j'aurais pu trouver quelque chose de mieux, j'y plancherai ne vous en faites pas.
Si vous avez des questions, des suggestions, etc... n'hésitez pas à laisser un commentaire ou à m'écrire ici : unepageparjour@hotmail.com
Merci de me lire ! Vous êtes formidables !! Tchuss et à demain !!! Portez vous bien et bonnes fêtes !!!!
(ah oui, pour demain. Tout dépend à quelle heure je rentre, donc si vous ne voyez pas de publication dites vous que je suis entre les bras de Morphée :) ).
Meliacor : Stargorad, page 85
Aucune des deux ne savait qui était
l'autre, aucune des deux ne savait qu'elles partageaient le même sang, tout ce
qu'elles savaient était : survivre, même si pour cela il fallait ôter la
vie, surtout si pour cela il fallait ôter la vie. Une mentalité qu’aucun enfant
ne devait avoir, et pourtant… Hélène n'aurait pas hésité une seule seconde à
tuer cette étrangère même si plus jeune, même si apeurée, même si,
possiblement, innocente.
Le
cœur de la gamine battait la chamade et de petites larmes de frustration
commencèrent à couler le long de ses joues sales et dans sa tête c'était
l'enfer.
-
"Ce n'est pas juste ! Ce n'est pas juste !" - se disait-elle en se
sentant trahie, volée d’un plaisir innocent, d’une sucrerie qu’elle se savait
méritante. Résultat d’une psychée misérable.
-
Je ne te redemanderai pas une deuxième fois ! - dit Hélène sur un ton
calme.
-
Mais est-ce bien la peine ? Regarde, elle a l'air terrorisée - entendit Élie la
voix de l'adulte qui l'avait appelé, mais Élie ne pouvait le voir, car il se
tenait dans la pièce voisine.
-
Au cas où vous seriez aveugle, elle a une arme et ce n'est pas un jouet. Qu’est-ce
que vous croyez qu'elle fait avec ? - demanda Hélène sans quitte Élie du
regard.
-
Mais ...
-
Monsieur, non ! Vous étiez d'accord de faire ce que je dis.
-
Oui, mais...
Tratata
!
Hélène
ouvrit une brève salve aux pieds d'Élie, en reprenant tout de suite le contrôle
suite au violent recul de l'arme.
-
Oh, mon dieu ! – explosa le vieil homme en se prenant la poitrine.
-
Ton arme, au sol ! – ordonna Hélène.
Élie
obéit à la requête et laissa son fusil qui ne l'avait pas quitté depuis que sa
mémoire puisse être en mesure d’enregistrer. C'était même son premier présent
dont elle a un quelconque souvenir. Une raclée qui faillit lui sortir les yeux
de ses orbites et un fusil en guise de réconfort, un fusil pour extérioriser sa
colère sur les autres, ceux qui sont pointés du doigt, ceux qui sont
responsables d’un malheur dont ils n’étaient aucunement responsables.
-
Est ce que... Est ce qu’elle est morte – demanda l’individu, inquiet.
-
Non ! - répondit Hélène, se comportant comme l'adulte dans la pièce, mais elle
n'avait pas eu le choix. Mûrir très vite était devenue une nécessité et non un
luxe....
-
Hey ! Hey ! Tu m'écoutes ? - hurla Bender en essayant d'attirer l'attention de
la spécialiste qui semblait perdue dans sa zone.
- Quoi ! - hurla cette dernière
énervée d'être extirpée de son souvenir. Énervée, mais également soulagée.
-
Tu es sure qu'on va toujours dans la bonne direction ? - demanda le sergent
-
C'est un putain de labyrinthe ! Je ne suis sûre de rien - répondit la
spécialiste en prenant un virage et puis - Stop ! - ordonna-t-elle.
-
Qu'est ce qu'il y a encore ? - gémis Jess
-
Je ne sais pas, mais il y a un danger devant
-
Kuru rru rru ! Un danger ? Je dois me sentir vexé ?
-
CID !! - explosa de joie Dalanda en se sentant immédiatement rassurée, et elle
n’était pas la seule. Jess était prêt à faire de même - Mais qu'est-ce qui t'as
pris comme ça ? - râla de joie la jeune femme en se jetant sur le géant pour
l'embrasser à tour de bras, mais la spécialiste lui fila un coup de pied pour
faire partir dans le mur - AH cette fois j'en ai marre ! - hurla Eiling prête à
en découdre.
-
Je n'apprécie pas trop ce traitement de mon amie ! - dit le géant en s'avançant
-
Ton amie ? Tu es sûr de ça ? - répondit Castillyone moqueuse en s'interposant
entre le colosse et Dalanda à la grande surprise de tous – Qu’est ce que tu
fous là alors ?
Blabla de l'auteur
Hello à vous chers lecteurs ! Joyeux noël à vous ! Bonnes fêtes !!!
Texte time !
hmm, pas grand chose à dire, mais si vous, vous voulez dire quelque chose n'hésitez pas.
Si vous avez une remarque, une question, une suggestion, une critique, etc... N'hésitez pas à laisser un commentaire ou à m'écrire ici : unepageparjour@hotmail.com
Merci de me lire ! Vous êtes formidables !! Tchuss et à demain !!! Portez vous bien !!!!
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