Blabla sans intérêt de l'auteur ! La suite est plus bas ↧
Bonjour et bienvenue. Dans la deuxième page j'ai oublié de préciser que le contenu était destiné à un public averti. Je crois qu'il faut le faire à chaque fois, même si techniquement ça ne sert à pas grand chose. je veux dire j'ai été jeune aussi et dans le cas cinématographique, plus le film était interdit et plus j'étais enclin à le regarder soit quand les parents étaient de sortie, tel un espion ninja avec la capacité de regarder et le film et la porte simultanément prêt à matrixer la télécommande pour changer de chaîne, l'ouïe si fine que même les bruits des quelques insectes dans le couloir étaient audibles, sans parler du son de la télé alors que le volume n'était qu'à un point vert. Ou chez des amis en association de malfaiteurs audiovisuels (cela ne veut absolument rien dire mais je me comprends). Je veux dire quel jeune à déjà vu un 18 plus et s'est dit "tien j'arrête là". Quand le signe apparaît à la télé c'est plutôt le symbole d'un bon moment...euh d'un bon moment de sommeil, parcequ'il se fait tard et qu'il faut aller se coucher. Oui c'est ça (fiou...)
Je plaisante (il parait que dire je plaisante après une blague est le signe d'un humour défaillant, sigh, j'assume ce n'est pas grave :) ). Personnellement le pegi et tout ça c'est très bien pour les enfants et ados mais au delà de 16 ans c'est comme jeter de l'huile sur le feu. Ce ne sont pas les astuces et les plans qui manquent à cet âge. je veux dire Alien sera ma plus grande expérience sur le sujet, je crois que j'ai regardé une bonne partie du film planqué de l'autre côté du canapé en sortant la tête pour la replonger aussitôt. Je veux dire la scène de la cafet ?? J'ai été suspicieux de toutes les araignées que j'ai vu pendant un bon moment, avant de découvrir spiderman en fait là je les chassais pour être mordu... Alors qu'aujourd'hui je ris quand je regarde destination finale. Nan ces films sont marrants. Le dernier film d'horreur qui m'ait parlé c'était, zut j'ai oublié le nom mais il y avait des fantômes dedans, une histoire d'exorcisme soit disant tirée d'une histoire vraie. Soit disant parcequ'il n'y a pas intérêt que ce soit vrai. Les monstres je prends all day everyday 24.7, mais les fantômes ?? Hell no !!!!!
Quoi qu'il en soit je préviendrait tout le temps à l'avenir (à moins que j'oubli, malheureusement cela peut arriver, je préviens à l'avance. Comme qui dirait prudence est mère de sûreté).
Voila j'arrête de raconter n'importe quoi et je vous souhaite une bonne lecture, courte mais j'espère de qualité.
Ah oui dernier détail, je sais, si vous vous dites que c'est long, sauter tout ça. Je mettrai ce type de commentaire peut être à la fin de la page du coup, pour justement éviter de casser le rythme de lecture pour ceux qui liront en continu. Excusez moi pour cette fois et aussi pour les fautes. Ces passages sont écrits à l'instinct et je ne les relis pas, sinon j'effacerai tout hahaha...ha...Mouais...
Voila là j'ai fini, je crois...
(suite du chat de Louisville)
Elle était parsemée d’innombrables boutiques chics sur plusieurs kilomètres, et sur plusieurs étages, de telle sorte qu’il était possible de passer toute une semaine à s’y balader sans en voir le bout. Des enseignes holographiques étaient dispersées tout autour, guidant les passants vers leurs boutiques préférées et il suffisait de jeter un regard à travers les lunettes ou les lentilles de réalité augmentée pour voir leur catalogue, habiller les mannequins et présélectionner ses articles, commander en ligne son casse-croûte de minuit, ainsi que mille et une autres choses pour être ensuite invité par une mascotte ou un vendeur virtuel à venir chercher le fruit de la pulsion consommatrice. Autant dire que la pollution visuelle était des plus intense, et même en arrêtant les applications ou en éteignant les appareils, personne n’était épargné par les couleurs et les lumières des néons. C’était une avenue éternellement active et il paraîtrait qu’elle l’avait même été durant la guerre.
Le groupe s’engouffra dans un passage souterrain pour ressortir de l’autre côté de la route au trafic impressionnant pour cette heure de la nuit, mais le travail ne connaissait pas de répit. Dans un très, très lointain passé, existait un modèle économique appelé « esclavage » où la force de travail n’avait aucun droit, même celui basique attribué à un être humain, ni compensations aucune pour leurs efforts incessants ; et il était curieux de voir ce système émerger aujourd’hui sous une forme différente : le travaillisme ou encore le néocapitalisme, un système ressuscité pour les besoins de la reconstruction. Mais c’était simplement de la poudre aux yeux. 14 heures de travail par jour étaient devenues une norme grâce aux progrès de la science et de la médecine. Le groupe bifurqua à nouveau dans un réseau de ruelles loin de la foule et du brouhaha et sous le regard attentif du chat.
Bien entendu, le cerveau de Diss carburait à 100 à l’heure, essayant de comprendre le comment du pourquoi. Ce qu’il avait ressenti tantôt n’était pas une première, tout le problème était justement là. La sensation qu’il avait éprouvée était une norme pour lui il fut une époque. Il survivait au jour le jour, affrontant des créatures gargantuesques qui pouvaient le tuer de 1000 manières différentes au moindre faux pas et Ilia était également un vétéran de ce conflit, d’où son inquiétude. Le souci était qu’il n’y avait aucune créature connue sur Koléa qui pouvait générer une « impression » pareille, l’hypothèse d’un quelconque animal, même celle des zoohumains anthropomorphes, était très peu probable. Il y avait trop de paix ici, trop peu de peur et de terreur, et abondamment de faibles. À leur connaissance, il n’y avait qu’une quinzaine de « guerriers » capables d’une telle chose et si c’était effectivement eux les responsables de la filature, cette ville allait devenir un terrible champ de ruines.
Cependant, cette hypothèse était également très peu probable, car il était bien trop tôt pour qu’ils retrouvent leur trace, du moins c’est ce qu’ils espéraient. Y aurait-il réellement dans les rues de Louisville une créature de classe « epsilon » inconnue des autorités ? Si tel était le cas, il y avait de fortes chances que cette ville aux mille et une promesses de rêves se transforme en gigantesque cauchemar bien réel, et dans leur état actuel, ils étaient loin de pouvoir gérer une telle calamité. Aucune de ces hypothèses n’était particulièrement plaisante, c’était le moins que l’on puisse dire.
« Impossible... Concentre-toi sur ta mission », finit-il par se dire en se promettant de revenir à ses réflexions plus tard. Il était indispensable d’en discuter avec « Monsieur ». Ensemble, ils pourraient peut-être prendre avantage de cette situation.
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