mardi 21 février 2017

Première histoire de science fiction, page 1

Bonjour à tous et bienvenue. J'aimerai avant tout faire part de mon projet en quelques mots. Je l'imagine comme un projet d'envergure, à voir le contraste avec la réalité. Quoiqu'il en soit, je compte écrire une page par jour de plusieurs histoires dans un univers futuristes post guerre que l'humanité à failli perdre. Cependant ces derniers ont survécu et sont entrés dans l'ère de la recolonisation des planètes perdues. Malheureusement (ou heureusement sinon il est compliqué de trouver la muse) les ennuis qu'ils sont sur le point de connaître défieront leur imagination en mettant en péril l'équilibre de l'univers tout entier.

Les histoires commenceront lentement, et les enjeux progresseront crescendo au fil des récits. Je tiens aussi à préciser que j'avance par instinct avec quelques idées de l'histoire dans son ensemble cependant j'essaye de faire en sorte que chacune d'elles se construisent toutes seules, je ne suis pas un expert en la matière loin de là, j'écris comme je le sens et celà peut être un cauchemar. Ah oui, je ne maîtrise pas trop les réseaux sociaux alors je mettrai un bon moment à m'y habituer, après tout je viens de sortir d'hibernation et je ne me rappelle encore des téléphones à clapet, sigh... :)
(je suis un accro des smileys, ne vous étonnez pas d'en voir partout dans le future)

Voila, j'ai essayé d'être bref, peut être un peu trop bref diront certain ou pas assez diront d'autres, néanmoins de mon humble opinion je trouve important d'établir les bases dès le départ comme çà on sait où l'on va (éventuellement).

N'hésitez pas à me laisser un commentaire de préférence constructif pour que je puisse m'améliorer. Je vous souhaite une excellente lecture écrivez moi sur face de bouc quand j'aurai trouvé comment tout fonctionne :)
(ps: je vous ai prévenu, smileys même quand la blague est super pourrie)

Ah oui ! Dernier détail avant de continuer, je tiens à prévenir que le texte peut contenir des propos peu appropriés et das le futur il y aura des scènes gores. Peut être pas dans cette histoire mais surement dans les prochaines alors il est plus orienté vers un public adulte, jeune adulte, par là.
Moi qui voulait une introduction rapide, sigh...
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Le chat de Louisville


Louisville était une ville gigantesque abritant des constructions colossales qui s’étendaient sur tout l’horizon comme le spatioport « Zvezda » et sa tour emblématique connectant le monde d’en bas à la station orbitale « MIR », relique d’un passé lointain où les vaisseaux avaient encore du mal à quitter l’atmosphère. Cependant, Louisville était également une ville d’une variété raciale rarement égalée sur la planète « Koléa ». Ici se côtoyaient plusieurs espèces différentes au milieu de mégastructures qui défiaient les cieux. Les humains croisaient les rares et nouveaux zoohumains, hybrides entre hommes et animaux, qui représentaient à ce jour moins de 5 % de la population totale, ainsi que les plus rares néohumains et leur culte cybernétique. Pourtant, de toutes ces espèces qui peuplaient Louisville, il y en avait une qui sortait particulièrement de l’ordinaire. Il existait au cœur de cette Gigapole (gigantesque cité de la taille d’un pays) une créature unique en son genre. Son existence n’était connue que de quelques rares « élus », si rares qu’ils pouvaient être comptés sur les doigts d’une main, ainsi que d’une poignée d’individus au comportement hautement antisocial ayant eu le malheur d’attirer sa curiosité.

De cette créature on ne connaissait pratiquement rien. Quelques témoignages la décrivaient comme un chat aux proportions gigantesques dont les yeux brillaient dans l’obscurité comme des brasiers, dont la peau était aussi noire que la nuit, lui permettant de se fondre dans l’obscurité et autres détails sans intérêt de témoins choqués ou affligés de stupidité. Ce manque d’information était ce qui avait amené la presse extraordinaire et paranormale à l’appeler « le chat de Louisville ».     

Ce chat ne sortait qu’à la nuit tombée et parcourait la ville en toute liberté, comme s’il était porté par le vent. Il sautait de toit en toit sur des distances qui défiaient toute logique et pouvant faire tomber la mâchoire des plus incrédules. Il se déplaçait de balcon en balcon et de mur en mur. Il naviguait de ruelle en ruelle, d’ombre en ombre, épousant l’obscurité et enveloppé d’un voile de silence absolu. Il vagabondait sans but précis apparent, juste pour le plaisir de dégourdir ses membres, quoique cette affirmation ne serait pas tout à fait exacte. Il était mû par sa curiosité ainsi que son instinct, et cette nuit encore, il déambula à travers la ville à la recherche d’un petit groupe de trois personnes qui puaient l’hostilité à des kilomètres. La pensée, en général, n’est qu’un ensemble de combinaisons électriques parcourant les neurones, mais ce courant crée un champ électromagnétique, on parle alors de rythme cérébral, qui, chez les personnes normales, ne peut être perçu que par des individus excessivement sensibles ou par des appareils tels que les électroencéphalogrammes. Néanmoins, il arrive toujours qu’une ou plusieurs exceptions existent. Certains ont la capacité de générer un rythme cérébral particulièrement intense, bien au-delà des quelques microvolts habituels. Le chat était, comme tout animal, sensible aux champs électromagnétiques. Ce n’était pas qu’il lisait les pensées, mais plutôt que le rythme provoquait une réaction instinctive en lui dressant tous les poils de son corps. Ces individus étaient sans nul doute sur le point de réaliser quelque chose d’absolument pas recommandable. Animé par son instinct le plus basique, il descendit du haut d’un gratte-ciel en une série de sauts acrobatiques pour se retrouver dans leur dos en un instant, sans un bruit et si près qu’il pouvait leur souffler dans la nuque.

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