vendredi 9 novembre 2018

Meliacor : Stargorad, page 60


- Oh ? Tu voulais cacher ta connerie à ce point ? – demanda le z’hum sur un ton moqueur.
- Bien sûr que non, ne sois pas ridicule – répondit Bender en se surprenant de prendre la remarque si calmement. Quelque part, au fond de lui, il arriva à la conclusion que tant qu’il montrait des traits d’humeur, son interlocuteur s’y accrocherait comme une sangsue. Pour quelle raison ? Probablement que cela l’amusait tous simplement, d’énerver les autres - quoique, ce serait peut-être trop te demander – répondit Bender en usant le même ton moqueur.
- Hoo ! Pas mal, pas mal, kruu rru rru – admis Cid avant de demander - alors, qu'est-ce qui s'est passé ? 
- ... C'était pour la sauver de la corruption - répondit Bender en revoyant le visage supplicatif de Suzanne. Les kiss avaient pénétré la coque après l’échec du plan et c’était le début du chaos. Le Statosc était gigantesque, et unique en son genre en termes de taille : aussi grand que la lune. Les shiptroopers (unité spéciale de combat à l’intérieur de vaisseaux servant de troupes de défense ou d’abordage) faisaient de leur mieux pour stopper la prolifération des aliens, mais c’était peine perdue… - Une histoire parmi un million d'autres durant la guerre contre les Kiss. 

- Hmm... Ok, si tu ne veux pas en parler je ne vais pas creuser plus – accepta le z’hum.
- Hmpf 
- Quoi, déçu ? Kruu rru rru 
- Tu rêves... Hey, Cid – appela Bender après plusieurs minutes de silence.
- Hmm ? 
- Tu crois qu'elle voudra me parler ? -
- Qui ça ta, ta fille ? – demanda Cid et en voyant le sergent acquiescer, il rigola - Kruu rru rru ! Je ne pense pas non.
- ...
- Mais je pense que tu fais aussi ce qu'il faut pour vous donner une chance – dit-il ensuite en se voulant le plus franc possible. 
- J'espère ! Elle est tout ce qui compte le plus pour moi. Rien que de penser à ce qu’elle doit traverser en ce moment, l’incertitude de si elle est en vie ou non... C'est la chose la plus terrifiante que j'ai jamais vécue – avoua Jonathan.
- Je veux bien te croire sur parole. Personnellement je n'ai pas d'enfants, j'ai toujours voulu un fils, mais... Erf, compliqué. Ah, c'est déjà l'heure ?

- Déjà ? - s'étonna Bender
- Yep, allez fait dodo tête de piaf, je prends la relève. Il y aura une longue marche de prévue pour vous. 
- Qu'est ce que tu veux dire ? – demanda le sergent perturbé par le « vous ».  
- Hein ? Que la journée va être difficile pour vous, vu que vous êtes fragiles et tout. Je veux que vous bouffiez le maximum de kilomètres humainement possibles, plus idéalement. Mais bon...
- Ouais, je comprends – répondit Bender en se disant que c’était logique, mais quelque chose le perturbait un peu.  
- Allez, à tout à l'heure ! - dit Cid en se levant, laissant Bender s'installer un petit peu plus confortablement pour dormir. Mine de rien, il était complètement exténué, et il ne fallut que quelques minutes avant de plonger dans le premier stade de sommeil.

Le z'hum regarda le sergent, puis écouta le souffle de tous ses compagnons. Une fois qu’il fut sûr que tout le monde, ou presque, était endormi, il se dirigea vers Castillyone, allongée à l'écart de tous. 
- La petite discussion est terminée ? - demanda la spécialiste alors que Cid s'accroupissait à proximité. 
- Je vais te le redemander encore une fois. Peux-tu le faire ? – demanda le félin en allant droit au but.
- Et toi ? Tiendras-tu parole ? - demanda Castillyone en posant la main sur la joue métallique du casque de Cid.
- Tu es responsable de leur vie. S'il arrive quoi que ce soit !...
- Oh, que c’est mignon. Mais tu n’as pas à me mentir. Il n'arrivera rien à ta princesse. Je n'y trouverai aucun intérêt, pour l'instant. Quant aux autres, eh bien, si je devais les abandonner pour nous sauver toutes les deux tu ne m’en voudrais pas n’est-ce pas. 
- Grr ! Très bien ! - répondit Cid en ôtant la main de la jeune femme, avant de partir.
- Hey ! Montre-leur l'enfer.
- J'y compte bien - répondit Marshall sur un ton glacial avant de disparaître sans un bruit malgré sa corpulence massive, comme une ombre dans la nuit. 









Blabla de l’auteur

Hello à vous chers lecteurs ! Bon pré week-end à vous ! Fiou, le temps a filé comme une flèche, c’est incroyable.

Texte time !

Je ne sais pas si vous vous en doutiez, mais oui, Cid va partir pendant quelque temps. En espérant que tout se passe bien… Mais je me connais lol et euh, ouais…
Si vous avez des questions, des suggestions, etc… N’hésitez pas à me laisser un commentaire ou à m’écrire ici : unepageparjour@hotmail.com

Merci de me lire ! Vous êtes formidables !! Tchuss et à demain !!! Portez-vous bien !!!!

jeudi 8 novembre 2018

Journal de Vay Matagi, page 59


Entrée du 03/05/2558

Sigh...


Entrée du 04/05/2558

Sigh...

Entrée du 05/05/2558

Sigh... Je ne trouve pas. J'ai beau chercher, je ne trouve pas de réponses. Le petit Tamaïti m'a posé une question à laquelle j'ai du mal à répondre. Il m'a dit :

- Oh Taloa Matagi, j'ai une question. 
Et moi je lui ai dit
- Encor... euh, je veux dire. Vas-y, petit, exprime ta pensée. 

Si je savais, j'aurais dû lui mettre un chiffon dans la bouche. Il a dit :
- Voilà, je pensais, à quoi rime tout ça.
Et donc je lui réponds
- C'est à dire ? - réaction normale vu que je ne comprenais pas ce qu'il voulait dire. 
Et là ! il me dit 
- Eh bien, je réfléchissais au sens de la vie. 

Là, c'est mon erreur. J'aurais dû le stopper là, mais il apprend tellement vite que je ne peux même pas l'envoyer lire mes notes sans me sentir ridicule. Le problème de Tamaïti n'est pas sa capacité à apprendre, c'est plutôt que son esprit n'est pas parmi les hommes. Ni son cœur d'ailleurs, il est comme une poupée vide. Enfin, pas entièrement vide. Je sais qu'il ressent la peur, et pas qu'un peu. Mais uniquement tant que c'est lui qui est en danger. Il ressent la curiosité, beaucoup aussi, vu les questions qu'il me pose. 

Ah oui, à propos de la question. Il me fait
- Eh bien, je réfléchissais au sens de la vie et je me suis dit. Si nous sommes tous nés de la terre sur laquelle a marché Tagatua, et que nous retournons à la poussière une fois que la chaleur de son pas s'estompe. Alors sommes-nous réellement en vie, ou plutôt mourrons-nous réellement ? Parce que la poussière que nous devenons va servir à une nouvelle naissance, alors sommes-nous vraiment morts ? Ou avons-nous même été nous ? Et si la vie ne rime à rien, pourquoi perdre du temps à pêcher ? 

Alors, là, moi Matagi, ait senti mon esprit prendre ses valises. Ma réaction principale a été
- Petit, je suis pêcheur et si je n'attrape pas de poisson, je sais que tu vas définitivement mourir de faim. 
Mais à voir sa tête, ma réponse ne l'a pas convaincu. Depuis il me regarde avec un air, comme si j'avais de la mousse dans la tête. Ça m’énerve !

Sigh… Il faut que j’y réfléchisse encore. Je sais que je devrais me focaliser sur autre chose et ignorer ce genre de détail, mais… Je suis son mentor, et également son éducateur. Peut-être que je devrais lui dire simplement que je n’en sais rien ? Mais ce serait dégradant pour moi, Matagi.

Ah oui, avant que j’oublie je dois noter un autre détail. Hier, j’ai vu un Feto’ia échoué contre la barrière de corail. Il était comme mangé de l’intérieur qui pourrissait comme s’il était là depuis des lunes. Je ne sais pas encore ce qui se passe, mais le village est à nouveau stressé. Et bien sûr, c’est moi, Matagi, qui vais devoir trouver la réponse. Déjà je vais observer si le phénomène se répète et si c’est le cas… Je ne sais pas, je verrai.









Blabla de l'auteur

Hello à vous chers lecteurs ! J'espère que vous passez une excellente journée :) 

Texte time !

Eh bein voyons, la paix n'aurai pas pu durer plus longtemps... C'est reparti pour les ennuis. 

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Meliacor : stargorad, page 59


- Kruu rru rru, c'était ta maîtresse ? - demanda Cid sans une once de 
- QUOI ?! - Répondit Bender en se levant d'énervement, le poing serré, prêt à cogner le colosse. 
- Oh ??! Kruu rru rru, touché on dirait !
- TU NE SAIS ...
- Shuuutt - fit Cid en plaçant le doigt devant sa bouche, ou plutôt devant sa bouche cachée derrière le casque - Comme je le vois, tu as plusieurs choix. Tu peux prendre ce petit poing ridicule et me taper avec, je n'éviterai pas, je ne te briserai pas le cou non plus. Je te laisserai me taper autant de fois que tu veux, kruu rru rru. Ou tu peux continuer à te sentir outré et te mentir à toi même occultant la réalité pour toujours comme un hypocrite - dit Cid et Bender se crispa davantage - Ou tu peux simplement dire la vérité. Je ne suis pas là pour te juger. Pour me moquer, oui, mais te juger serait une perte de temps...
- "Hihihi c'est sûr !"
- ...Allez, vient, pose tes fesses et raconte-moi ce qui s'est passé, je sais que tu as envie de sortir ce poison, raconter ta version des faits, ou je me trompe ?

Bender se tenait tremblant de rage, rage redirigée vers le z'hum pour avoir osé parler de quelque chose dont il ne connaissait absolument rien, moqueur, hautain, méprisant ! Qu'est ce qu'il savait ? Qu'est-ce qui lui donnait le droit... Mais alors que ses émotions étaient en train de rager, balles de ping pong rebondissant d'une paroi à l'autre de son esprit étriqué, sans s'arrêter. Mais quelqu'un devait les arrêter. 
S'il cédait à son instinct, s'il se jetait sur Cid et le tabassait sans autre raison que pour calmer son sentiment de culpabilité, rien ne garantissait que le z'hum ne lui brise quelque chose. Il était après tout, schizophrène et colérique. 
- Sérieusement, te voir comme ça me donne envie de pousser encore plus. Ça ne se voir peut-être pas, mais je lutte très fort à ne pas essayer à te faire péter un câble, kruu rru rru ! - avoua Marshall alors que sa queue commençait à remuer d’excitation - assieds-toi. 

- Sigh... - soupira Bender en se rasseyant. Il n'avait, certes, plus les mêmes capacités mentales que dans sa jeunesse, mais il ne fallait pas être un génie pour comprendre que ce qu'il voulait faire n'était pas là chose à faire. Si seulement il avait eu le même frein tantôt... - oui, c'était ma maîtresse - avoua le sergent.
- Mais ?! 
- Quoi, mais ?! 
- Tu ne vas pas essayer de te défendre ? J'étais pris par la guerre, etc, etc...
- ... Tssk, on dirait que tu connais toute l'histoire - répondit le sergent agacé par une telle simplification de la réalité, et agacé qu'il ait trouvé si facilement.
- Kruu rru rru, l'histoire est remplie de récits de ce genre. Tu n'es pas l'unique homme de pouvoir, oups, ex-homme de pouvoir, ayant jeté sa vie de famille par la fenêtre. 
- Je n'étais pas rentré chez moi depuis... Depuis près de cinq ans. À vrai dire, j'avais presque oublié que j'avais une famille. Vas-y rigole, dis que je suis pathétique !
- Tu l'es, mais je n'ai pas envie de rigoler
- "Hihihi, moi si ! Pathétique, pathétique, pathétique..."
- Hmpf, c'est bien la première fois. 
- Kruu rru rru, tu trouves que je rigole trop.
- Trop ? Tu es plus une hyène qu'un tigre.

- KRUU RRU RRU ! Une hyène ? Kruu rru rru, va savoir, j'en ai peut-être en moi... Les mauvaises habitudes sont dures à perdre. 
- À qui le dis-tu ! Je meurs d'envie de fumer une clope, tu n'as pas idée.  
- Si t'enlèves ton casque...
- Je sais, je sais, je ne suis pas stupide à ce point - répondit Bender. Sa visière lui indiquait que l'habitat de ce tunnel n'était pas idéal : entre la chaleur, le souffre, le manque d'oxygène... Retirer son casque serait un long suicide - ... Tu sais, elle me comprenait vraiment.
- J'imagine que oui. C'est toujours comme ça que ça commence. 
- Tu parles d'expérience ? 
- Non, mais j'ai beaucoup observé quand j'étais plus jeune. J'ai observé les gens faire pire qu'hier en justifiant leur faiblesse par l'ère à laquelle ils vivaient. J'ai entendu plein de : "c'est comme ça", tellement d'ailleurs que j'ai fini par le croire. J'ai fini par croire que la seule direction à prendre pour la société était vers le bas et tant pis pour nous, jusqu'à ce que je la rencontre - dit Cid en regardant dans la direction de Dalanda. 
- C'est quelqu'un de bien - avoua Jonathan en faisant de bien.
- Encore naïve, mais il en faut des comme ça. Si tout le monde nous ressemblait, j'ai peur de ce que cela pourrait donner comme résultat. 
- Parle pour toi.
- Kruu rru rru, ouais, peut-être... Alors, elle était bonne au moins ? 
- ... pfft ! - réagit Bender en lâchant un petit rire e secouant la tête - elle était bien - répondit-il ensuite.
- Et j'imagine qu'elle est morte.
- Ouais...  Je lui ai tiré une balle dans la tête - répondit Bender en fixant le sol, les mains serrées, fermement. 








Blabla de l'auteur

Hello à vous chers lecteurs ! J'espère que vous êtes en paix avec vous même en cette journée et que vous le serez demain aussi :)

Texte time !

Fiou... Je ne savais pas qu'il avait autant de choses à digérer le sergent. Je vais attendre d'en voir plus avant de le juger, mais franchement mon opinion de lui baisse drastiquement. 

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mercredi 7 novembre 2018

Blabla du mercredi, je vous jure je n'ai rien fumé.



Hello à tous chers lecteurs ! J'espère que vous avez le moral au beau fixe et que vous êtes prêt à apprendre des difficultés de la vie XD. 

Alors, j'ai envie d'aborder un sujet léger aujourd'hui, voire même positif. Quoique, le résultat peut ne pas être si positif que ça... 

Je m'explique, il y a deux jours de cela, un document à été publié dans "The Atsrophysical Journal" et ce document explique qu'on peut construire un laser pour guider les extraterrestres jusqu'à nous. 

Hahahahaha, euh... Je ne suis pas super certain à 100 % que c'est une excellente idée. C’est vrai, c'est un préjugé de ma part. Après tout, qu'est-ce que je sais des extraterrestres hein ? Je n'ai fait que regarder Alien 1,2,3,4, prometheus, covenant ; Predator 1,2, 2010; la guerre de mondes; independence day; mars attack.... Alors, mon image des extraterrestres n'est pas particulièrement positive et ni E.T., ni Paul ne rehaussent la barre. Ils sont sympas, mais euh... Bon, j'ai dit que je vais essayer de rester positif. 

Alors, comment est-ce que ça marche ce machin. Alors il faudrait un engin de 30 mètres qui projetterait un rayon laser non pas vers l'infinie et au-delà, mais vers le soleil pour le rendre suffisamment étrange pour intéresser des astrophysiciens de l'espace. Comme ça ils se diraient. 
- Hey, vous savez cette étoile qui ressemble à des millions d'autres et qu’on n’avait jamais remarquée avant parce qu’elle est trop naze et ennuyeuse ? Eh bein, elle est devenue bizarre, ça vous dit d'y faire un tour les gars ?
- Ouais !!

Et comme ça ils passeraient dans le coin, si jamais ils ne sont pas passés dans le coin jusqu'à présent... C'est un sujet très débattu et très compliqué qui navigue à la frontière du réel : xfiles !!


Ahem ! Maintenant est-ce que c'est une bonne idée ? Je ne sais pas, et je ne peux donner que ma sincère opinion qui n'engage que moi, personnellement, entre moi et moi-même. Et je suis confus, comme, j'imagine, tout le monde l'ait. J'ai envie de penser que s'il y en a, on n'aurait pas le malheur d'attirer les plus psychopathes et monstrueux de tous. Personne ne pondra un œuf dans ma gorge !!!
Ahem... J'espère que si jamais cette technologie est mise au point et que le laser est construit, etc, etc, ceux qui s'intéresseront à nous seront plus avancés que nous. Je ne parle pas de leur technologie, mais de leur moralité. Il y aurait tellement de choses à apprendre...

Vous vous imaginez ? Un jour vous vous réveillez à côté de votre moitié, ou de votre coup de la veille, les temps changent après tout et pas souvent de la bonne façon, mais c'est un débat pour une autre fois (ou jamais d'ailleurs). Disons donc que vous vous réveillez, belle journée, beau soleil, ou nuages... Erf, ok, je vais créer un scénario unique et pas sauter entre les possibilités. J'imagine que ce n'est pas agréable pour vois. 

Il est 6 h du mat lorsque le réveil sonne et en mugissant vous essayez de l'éteindre. Mais vous aviez eu l'idée de le mettre un peu plus loin que d'habitude pour vous obliger à vous lever. La besogne accomplie, vous titubez jusqu'à la douche pour vous décrasser un petit peu à l'eau froide histoire de vous remettre les idées en place. Puis, vous procédez à préparer votre café et tartiner votre pain sec en pensant à votre journée de boulot avec un enthousiasme mitigé. 
- Wow, il fait vraiment gris - vous vous dites en regardant par la fenêtre de votre appartement, donnant sur la cour - la météo avait pourtant prévu du soleil pour toute la semaine. Hmm, on dirait qu'il vente aussi. Tssk, elle commence bien cette journée de merde. 

Vous allez ensuite vous habiller puis vous jeter un coup d'oeil par la fenêtre de votre chambre sans faire vraiment attention, mais vous restez figer par ce que vous voyez : une deuxième lune flottant au-dessus de la ville. 

Seigneur si ça arrive, je pense que je vais éclater de rire et mourir comme ça parce que mon cerveau aura court-circuité. Brr !

Bon je m’arrête là, j’ai assez raconté de conneries XD. Mais quand même… Quelle vision cauchemardesque, à moins qu’ils soient vraiment sympas, même s’ils ont des tentacules de partout.

Oui, oui je m’arrête, je m’arrête. Mais je ne crois pas avoir donné mon opinion. Est-ce que c’est une bonne idée ? …………… Arghhh, dur, mais : oui ? Bon c’est un oui timide, mais c’est un oui quand même parce que j’ai été bercé par les films d’horreur avec des aliens qui ne cherchent qu’à nous arracher le crâne. Il y a beaucoup de risques, mais en toute franchise les risques sont 50/50 que ça tourne mal. À mon humble opinion. Alors oui, c’est une bonne idée, je crois, j’espère XD.

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mardi 6 novembre 2018

Journal de Vay Matagi, page 58


Entrée du 26/04/2558

Hmm, j'ai encore mal au crâne. Ça siffle dans une oreille, peut-être à cause de la pression sous-marine ?

Apparemment, durant le festival je me suis couvert de ridicule. Je criais à tout le monde de sortir de l'eau, mais personne ne nageait. Apparemment, une circulaire a été passée par le maire pour prévenir tout le monde que l'océan était interdit d'accès durant la célébration, à part à moi, Matagi, ce qui est normal. Et il apparait que j'ai été le seul suffisamment saoul pour oublier. Vous ne pouvez pas imaginer la honte que c'est, moi, Matagi, dans cet état désolant.

Apparemment les alchimistes ont eu l'idée de mélanger les œufs de Meli le'ia avec l'estomac de Maru a'na. Ce truc est toxique ! Je ne sais pas comment, ni pourquoi ils ont eu cette idée, mais ils vont entendre de mes nouvelles. Ils n'ont pas conscience de ce qu'ils ont fait. 

Prenez comme exemple, il y a un imbécile qui est venu vomir chez moi. Il y en avait partout, c'était dégueulasse. Enfin je dis imbécile, mais ce devait être un de mes apprentis, personne d'autre ne peut entrer dans la tour. Ils ont dû se cacher ici pour boire en secret et ont fini par vomir partout, ahahaha, les petites natures. Halala, la jeunesse. 

Bon, je leur ai fait tout nettoyer jusqu’à ce que je puisse me voir en reflet, c'est normal, ça leur apprendra. Il y avait même des traces sur ma chaise préférée. J'espère qu'ils n'ont pas touché à mes enregistrements, je vais vérifier ça plus tard. 

Hmm, j'avais un truc important à dire avant de m'énerver là... Ah oui, le bateau. J'ai reçu un plan du bateau, et de ce que j'ai compris ils vont utiliser des enregistrements spéciaux qu'ils vont mettre sous la coque pour effrayer les poissons. 

Je... Peut-être que ça peut marcher. Je ne sais pas. De toutes les façons s'ils arrivent jusqu'à moi, je n'aurai d'autres choix que de partir, parole donnée ne peut être reprise. En tout cas, la parole de Matagi n'est jamais reprise. 

Ils m'ont dit qu'ils vont le terminer en un an. Entre la collecte et le façonnage des matériaux nécessaires, et le temps de pêche, je pense qu'un an c'est raisonnable comme délai. Ça me laisse le temps de préparer la suite pour Lilico. Les petits progressent. Pas aussi vite que j'aimerai, mais en un an, ils sauront pêcher quelques espèces sans se faire manger. Au pire, l'un remplacera l'autre, d'où l'utilité d'en avoir deux. Il ne faut pas se mentir, tout peut arriver à n'importe quel moment, même à moi, Matagi. 








Blabla de l'auteur


Hello à vous chers lecteurs ! Excellente journée à vous, j'espère que la semaine à bien commencé pour vous :)

Texte time !

Hahahaha, halala. Bon, il m'a fait rigoler le Matagi :" petites natures", hahaha. Mais bon, il ne m'en faut pas beaucoup, après tout je suis un grand fan de monsieur Jim Carrey : Ace Ventura !! XD. Là, je viens de tuer les dernières bribes de légitimité concernant toute critique cinématographique XD. 

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Meliacor : Stargorad, page 58


- ... Bon, j'écoute – se redit Bender
- Kruu rru rru ! Bien ! Où est-ce que j'en étais ?

- ...

- Alors ? – insista le félin.
- Quoi, ce n'était pas une question rhétorique ? – s’étonna Jonathan.
- Pourquoi poserais-je une question rhétorique à haute voix ? – s’étonna à son tour Cid.
- ... Je n’en sais rien. Tu parlais d'un type que t'avais massacré – répondit Bender juste pour qu’il lui fiche la paix.
- Kruu ruu rru, quoi t'as une mémoire de piaf aussi ? – se moqua le z’hum.
- T'es plutôt mal placé pour parler – commenta sèchement le sergent.
- Moi, j'assume et toi tête de piaf ? Ou plutôt cervelle de moineau, kruu rru ruu – se moqua à nouveau Cid.
- ... Comment elle fait pour te supporter ? – demanda Jonathan, incrédule. La patience nécessaire pour interagir avec cet individu était juste inhumaine.
- Question très pertinente à laquelle je n'ai pas la réponse. Mais ce n'est pas le sujet. Alors ? – insista à nouveau le z’hum.
- Tu tiens à ce que je réponde hein ? – soupira Bender

- Oui, très beaucoup, kruu rru rru.

-  Sigh. Tu parlais de ce type : Thamos Leezarbeard - répondit Bender en se rendant compte qu'il jouait le jeu. Sa réticence à répondre était en elle-même un sujet de divertissement pour le z'hum. Une situation délicate qui apparaissait n'offrir qu'une solution : se soumettre. Mais, une légère gymnastique d'esprit pouvait offrir une perspective différente à cette, problématique psychologique et dans ce contexte particulier. Après tout, il ne s'agissait que d'une histoire, alors une transaction pouvait être faite : un peu d'égo, contre beaucoup de paix.

- Bien !... 

- "Hihihihihi !! Qui ça ?"

- ... Je disais donc que nos capacités cognitives avaient été sacrément diminuées. On était plus des bêtes que des z'hums, une différence que peu de personnes comprennent, pas vrai ?

- Hey, je n'ai rien contre les z'hums. Je connais même des généraux qui auraient tué pour vous avoir dans leurs bataillons. Surtout t'avoir toi - admis Cid. Les troupes au sol étaient celles qui en avaient le plus bavé durant la guerre. Il fallait être complètement fou pour affronter les kiss dans leurs nids.
- Kruu rru rru, oh ils l'ont fait.

- ?


- J'avais connu le petit sur le vaisseau qui nus avais amené : l'Evangelik, notre billet pour une nouvelle vie, plus noble, plus conforme, plus juste. Je crois que tu connais ça pas vrai ? La volonté de démarrer une nouvelle vie. 

- C'est vrai - admis Bender

- Je ne te demanderais pas pourquoi, parce que je m'en fiche royalement...

- Sympa...
- Quoi, tu me répondrais si je demandais ? 

- Aucune chance.

- Kruu rru rru, où est le problème alors. 

- Tssk, t'es juste.... Continue. 

- Bien ! - dit Cid sur un ton satisfait - Le petit n'avait connu que la guerre et les temps troubles qui suivirent la reconstruction, surtout sur une planète comme Kyran. Pourrie avant la guerre et juste à jeter après, les mauvaises habitudes restreintes durant la guerre ont juste explosé après la libération de la victoire…

- "… "


- … De ce que Thamos m’avait raconté, sa famille n’avait pas de quoi payer ses dettes prises chez un prêteur sur gages du coin. Et il a envoyé ses sbires prendre son dû en nature : les organes du père et la mère… Je crois que la mort aurait été préférable. Ce qui arrive dans ces cas n’est jamais très plaisant. Quant au petit Thamos, il avait eu la lâcheté de fuir. N’ayant personne d’autre au monde, et terrorisé, il devint un invisible, vivant dans la rue aux yeux de tous sans jamais être vu. L’Evangelik était son retour à la civilisation après six ans de fuite, de peur et de solitude. Tu aurais du voir ce petit... Je crois que c'était le plus heureux d'entre nous, débordant d'espoir et de rêves. Une vraie boule d'énergie et positivisme. Mais…
- Tu l'as tué.
- Ouais. Il était lion, moi j'étais tigre, tous les deux apeurés, rendus fous par la drogue, la pression et l’instinct ; ne sachant pas quoi faire si ce n'est survivre. Je n'avais jamais tué personne avant, et je n'ai pu offrir à Thamos une mort rapide. Tu as déjà entendu une personne respirer et gémir alors que sa gorge était ouverte, et que le sang bullait à cause de l'air ? Et le regard... Le regard d'une personne se sentant partir et luttant encore, incrédule, souffrante, tu l'as déjà vu aussi pas vrai ? 
- Oui, j'ai déjà vu - admis le sergent. 

- Je lui ai brisé les os, je l'ai griffé, je lui ouvert le ventre, j'ai tout essayé pour qu'il arrête de gigoter et se débattre. Mais je n'avais ni l'art ni la manière à l'époque, j'étais un puceau du meurtre, et ça m'a pris quinze bonnes minutes pour qu'il parte. Les quinze minutes les plus longues et les plus étranges de mon existence, enfin, parmi les plus longues et les plus étranges de mon existence. Ce genre de fantôme te hante toute la vie, petite voix remplie de haine.
- "HIHHIHIHIHI !!! HIHIHIHI !! Toi alors !!"     
- Et toi ? C'est quoi le tient ? - demanda Cid 
- De fantôme ? Pourquoi ça t'intéresserait ? - répondit Bender, prudent. 
- Je ne me suis pas fait chier à raconter cette histoire juste pour le plaisir de m'entendre parler, kruu rru rru. Mais si tu préfères te taire, ça me va aussi. 
- Mais bien sûr - répondit Bender sur un ton sarcastique. Il avait déjà entendu ça auparavant - Sigh... Suzy. Suzanne Béranger, mon bras droit - répondit le sergent en essayant de ne pas être complètement submergé de tristesse.  








Blabla de l'auteur


Hello à vous chers lecteurs ! J'espère que vous profitez de cette belle journée... d'ailleurs j'espère que vous avez un beau soleil agréable et que vous en profitez :)

Texte time !

Hmm, il y a quelques parties dont je ne suis pas satisfait mais je ne sais pas encore comment les tourner pour avoir le rendu que je souhaite. Mais ça va venir. 

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lundi 5 novembre 2018

Journal de Vay Matagi, page 57


Entrée du 26/04/2558

AH, pourquoi la lumière me pique les yeux, hic !
Tu m'entends ? Hic, stupide boîte ! Moi, euh.... Matagi, oui Matagi, hic !... Euh, je ne me sens pas très bien... Hahahaha, hic ! Il n'y a pas d'alcool qui va... euh, qui va arriver à bout de Mata... Matagi. Ah ça non ! hic. Je vais juste éviter... éviter de bouger, et ... et éviter de réfléchir, hic. Et éviter de parler aussi... j'ai comme envie de vomir... Pourquoi est-ce que j'ai envie de dormir ? Et pourquoi la lumière me pique les yeux ? Hic ! Tu m'entends ? Stupide boîte ! Hic.

Moi... Moi, je ne fais que parler et toi... Et toi tu ne dis jamais rien. Est-ce que tu te moques de moi, hein ? hic... Moi, Mata... oh, je n'aurai pas dû prendre ce verre en plus, hic ! 

C'est la fête Matagi ! Bois... Bois avec nous Matagi ! Je vous en fou... Hahaha, hic ! Il n'y a pas d'alcool qui va... qui va mettre Matagi, à terre ! Ah non, non, non, non... non, non, hic, non ! Vous savez quoi... Euh, je pare à qui déjà ? hihihihi, ahhhh, j'ai la tête qui tourne !

Euh, vous savez quoi ? J'aurai du prendre plus, hic. Oui, je dois montrer à l'alcool, que moi Matagi je ne le crains pas, hic ! Hein ? J'ai raison, ou j'ai... j'ai raison ? Hein ? Je vais, y retourner... Mm... Je vais y retourner une fois... une fois que je n'aurai pas envie de m'arracher la tête. 

J'ai chaud, hic ! Pourquoi j'ai la tête qui tourne ? Qu'est ce qu'ils ont mis là-dedans...Ah j'ai trop chaud, je vais aller nager, hic... Hihihi, je vais aller pêcher ! Moi, moi Matagi je vais aller attraper le plus gros... gros poisson des environs, et puis je vais... Je vais...Euh, hic ! Ah oui, je vais leur montrer à tous ! C'est qui, c'est qui Matagwi, hihihi hic !

Ils vont tous danser et chanter, hic ! Mon nom sur la plage...la plage... hic... La Plage... ! Si moi, si moi Matagi j'ai chaud comme ça... Les autres... Oh, non, non, non, non ! Lève-toi Matagi, hic ! Lève-toi, allez lève-toi ! Il faut... il faut y aller. 

Allez… Ah, je ne me sens pas bien.
Et alors ? Hein ? Tu vas te laisser battre par une bouteille ? hic ? Hein Matagi ?
Jamais ! Même deux… quatre bouteilles ne peuvent pas… Ne peuvent pas arriver à bout de Matagi. Alors, je peux me lever… Je peux… Beuargh !!

Voilà, ça va… euh, ça mieux… Je me sens comme une merde ! Beuargh !

Euh… Allez, il faut y aller… Il faut y aller à la plage, avant qu’il y ait un carnage… Fichus Lilicons, qu’est ce que vous avez mis dans… Beuargh !








Blabla de l’auteur

Hello à vous chers lecteurs ! J’espère que vous avez une journée moins compliquée que mes protagonistes XD

Texte time !

Hahahaha, ah Matagi, Matagi… J’espère qu’il va y arriver à temps…

SI vous avez des questions, des suggestions, etc… N’hésitez pas à laisser un commentaire ou à m’écrire ici : unepageparjour@hotmail.com

Merci de me lire ! Vous êtes formidables !! Tchuss et à demain !!! Portez-vous bien !!!!