lundi 2 mars 2020

Mise à jour du blog

Hello à vous chers lecteurs. J'espère que vous allez bien, que votre week end à été reposant et que vous avez pu gagner du temps. Le temps à la ressource la plus importante du monde, mais bon là n'est pas le sujet :)

Comme je l’ai dit... j’espère que je l’ai dit, j’ai profité de la semaine dernière pour entrer en phase de compilation. J’ai commencé à transformer l’héritage d’hermès en nouvelle. Je continuerai la version que je fais maintenant avant d’entamer l’histoire que j’appellerai simplement : parents, (je changerai peut être d’avis). 

Le truc c’est que j’ai minimisé le temps que ça peut me prendre. En réalité j’en ai pour un mois ou deux à tout nettoyer, modifier, peaufiner comme je le voudrai (sur tous mes écrits courts). C’est dur de le faire et continuer à publier tous les jours tout en faisant ce travail + je me suis mis à la programmation, à python pour être plus exact. Ce n’est pas comme le dessin que j'ai laissé tomber... (sigh, j'ai honte), c’est un projet professionnel qui va me durer probablement toute cette année. Je ferai en sorte que ça n’influe pas trop sur mon planning, néanmoins, pendant la phase de préparation de mon portefeuille de nouvelles, je serai absent. Attendez, ne partez pas si vite, une seconde. Je serais là tous les mercredis pour un blabla, ça je garan..., ça je vais essayer de m’y tenir :). 

Donc pour un mois ou deux maxi..., deux mois environ, je ne pourrai pas être présent tous les jours. J’en suis vraiment navré, mais il faut que je m'occupe sérieusement de cette besogne sinon je vais procrastiner, écrire de nouvelles histoires sans m’arrêter. Ah oui, il faut aussi que je réécrive une BD.  

J’ai tourné le truc dans tous les sens, mais je ne pense pas pouvoir faire de meilleure proposition que le mercredi. Merci de votre compréhension : voici un échantillon de la version courte de l’héritage d’hermès, elle est bien sur susceptible de changer : 


L’héritage d’hermès (titre provisoire) version nouvelle :

Le matin est décidément la période que je déteste le plus. Trop lent, tout est trop lent. Tout est dénué de sens, de tout le sens. Et pire encore, la cage à oiseau est clairement visible dans toutes sa splendeur oppressante. Elle est la première chose que je voie au réveil à travers la fenêtre de mon ridicule appartement, une boîte à chaussure pour un petit oiseau. Son aspect métallique me répugne tout comme son existence et ce n’est pas le simili de ciel, cette construction artificielle, qui peut changer mon humeur. Du beau soleil toute la journée peut être, mais il est aussi faux que notre perspective d’avenir. C’est avec ces pensées que je commence la journée qui me fait me sentir vide. 

Petit déjeuner, brossage de dents, petite toilette, sélection de vêtements stratégiquement disposés par terre, routine qui se répète depuis quatre ans. Routine rendue compliquée un petit peu plus chaque jour et qui continuera ainsi jusqu’au jour où ma volonté ne suffira plus et mon corps sera dans l’incapacité de m’obéïr. Un an, six mois, trois semaines ? Je ne saurai le dire et je m’en fiche. 

Je subis simplement le matin, comptant les heures me séparant de la nuit. Et le plus gros obstacle c’est mes boulots. 

Si je déteste quelque chose autant que la cage à oiseau, c’est bien ces foutus jobs dont je ne comprends même pas la raison d’être. Dans ce monde couvert par un gigantesque dôme de métal séparant le monde d’un environnement mortel, j’occupe le quart de ma journée à me faire passer pour quelqu’un que je ne suis pas : un petit ami sur commande, le petit ami idéal selon les goûts. Certains «collègues» peuvent en enchaîner six ou sept dans la journée avec deux personnes ne se doutant de rien, mais je n’ai pas cette dextérité de jongle. Rien qu’une me donne la migraine et renforce mes envies de suicide. L’autre quart, je passe mon temps à attendre peu importe où tant qu’on me paye. 

A moins de prendre sa journée, plus personne n’a le temps de faire la queue. Sans parler de la dernière législation du travail qui stipule que toute absence au delà de deux heures du lieu du travail hors horaires défini dans le contrat, entraîne une suspension du salaire de la journée. Allez savoir comment c’est arrivé, mais c’est arrivé. Du coup pour quelques francs, j’attends, je chauffe la place comme on dit..... 


Merci de me lire ! Vous êtes formidables !! Tchuss et à demain du coup !!! Portez vous bien !!!!

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