mardi 29 octobre 2019

L'héritage d'Hermès (titre provisoire), page 1

Introduction :

Hello à vous chers lecteurs. J'espère que vous avez la forme et que vous être prêts pour cette nouvelle aventure. Je ferai de mon mieux pour vous offrir la meilleure expérience littéraire possible, mais je suis loin d'être parfait alors je vous demande aussi un peu, beaucoup, d'indulgence XD. 

Pour ceux que ça intéresse, le concept est né plusieurs années après avoir vu et lu le manga Air gear et j'ai tout de suite accroché à l'univers, à la musique et surtout aux rollers. Après le manga est parti dans de la hyper technologie et c'est là où j'ai lâché. Les débuts d'Ikki étaient la partie la plus fun pour moi. 

L'histoire ici présente n'a rien à voir avec l'univers d'air gear, ce n'est pas une fan fiction. Je veux juste m'inspirer de cette technologie et des possibilités qu'elle offre pour raconter quelque chose. Voilà, bonne lecture et merci de me lire, vous êtes formidables. 





Page 1

Bip, bip, bip, bip...
Le réveil sonna à 6h30 comme tous les matins depuis dix ans maintenant, et comme tous les matins Kolin ouvrit paresseusement les yeux endoloris avant de pousser un petit gémissement d'agacement. Il roula sur le côté en essayant d’atténuer le bruit à l'aide de son oreiller, mais il savait que c'était une cause perdue. 
- 10, 9, 8, 7 - décompta le jeune homme et lorsqu'il arriva à 0, il entendit l'appel au réveil
- KOLIN, DEBOUT  ! C'EST L'HEURE ! - hurla son père et dans l'instant suivant le jeune homme entendit les pas lourds de son paternel se rapprocher - Allez debout, l'avenir appartient appartient à ceux qui se lèvent tôt - annonça Lambert senior en ouvrant grandement la porte. 
- "Tssk, de quel avenir tu parles" - pensa Kolin qui sentait monter l'agacement, mais à haute voix il répondit simplement comme tous les jours - Ouais, j'arrive. 
- Tu me dis ça tous les matins. Allez, allez, on se bouge - répondit son père qui avait du mal à comprendre d'où pouvait venir une telle flemmardise. Dans sa jeunesse il était bien plus dynamique que ça - "ça doit lui venir de sa mère ça" - pensa-t-il ensuite. 
-  5 minutes ! J'arrive ! - répondit Kolin agacé.
- Ok, mais si dans 5 minutes tu n'es pas levé je te traîne par la peau du cou - répondit Lambert senior qui essayait de prendre sur lui et de ne pas tenir compte du ton agressif de son fils. Il ferma la porte et rappela - 5mn ! - avant de retourner à ses affaires. 
- "Il fait chier aussi à faire ça tous les matins" - pensa Kolin avant de commencer son deuxième décompte - "200, 199, 198 ..." - en espérant qu'à 0 il ait trouvé suffisamment d'énergie et de raisons pour se lever. Mais tel était rarement le cas.  

Lorsqu'il compta à 0, Kolin se retourna sur le dos et regarda le plafond de sa chambre d'une manière détachée.
- "Allez, je compte jusqu'à 30" - essaya de se motiver le jeune homme en faisant glisser ses jambes sur le lit, en direction du sol donnant l'impression d'être un poulpe cherchant de l'eau.
- KOLIN !!
- JE SUIS DEBOUT ! J'ARRIVE ! - hurla le jeune homme en retour avant de penser - "c'est bon quoi, pas besoin de faire chier"...

Dans la salle à manger, Lambert senior attendait impatiemment l'arrivée de son fils en tapotant nerveusement du pied au sol. 
- Non, mais il va nous faire le coup tous les jours ? - demanda-t-il à sa femme qui buvait tranquillement son chocolat chaud.
- Il va venir - répondit tranquillement cette dernière avant de retourner à son bol et pousser un petit - Ahh ! - de satisfaction qui lui valut un regard en coin désapprobateur. 
- Et c'est tout ce que tu as à dire ? 
- Et qu'est ce que tu veux faire ? Tu fais le même cinéma depuis qu'il a six ans pour je ne sais quelle raison et rien n'a changé. Tu crois que c'est maintenant que ça va être différent ? Slurp - répondit la femme en continuant à apprécier son breuvage, habituée à cette conversation quasi journalière. 

Lambert senior croisa les bras sur sa poitrine et continua à tapoter du pied. Sa femme avait raison, il n'avait cessé d'essayer de dynamiser Kolin, mais c'était peine perdue. Il sentait qu'il perdait cette guerre et voir son fils perdre son étincelle de vie jour après jour le peinait au plus haut point. Voir flétrir son unique enfant sans comprendre pourquoi était comme une petite mort. Dans cette famille, non, dans ce monde qui devenait de plus en plus apathique, quelqu'un devait garder la flamme...







Texte time !

Hmm le début est lent, mais c'est un peu mon intention. Je veux monter crescendo, mais déjà, je veux jongler entre les deux personnages comme à mon habitude. Changer de point de vue est quelque chose d'important et j'espère que je le fais bien. 

Voilà, si vous avez des critiques, des suggestions, etc... N'hésitez pas à me le dire ou à laisser un commentaire ici ou par mail : unepageparjour@hotmail.com (ou fr ...)



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