lundi 29 avril 2019

blabla de l'auteur, le retour !!

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Hello à vous chers lecteurs ! Ah ça fait plaisir de revenir et de vous retrouver, vous n'avez pas idée :)

Alors, je ne vais pas reprendre de suite l'histoire de Jacob et Willmann, donnez-moi quelques jours pour me remettre les idées en place et terminer définitivement les pêcheurs de Lylico. Une amie m'a fait remonter une critique pertinente et il faut que je trouve par quel diablerie je vais bien pouvoir placer ce développement alors que je suis à 22475 signes sur les 22500 autorisés. Je vais devoir tout restructurer, mais bon je vais bien trouver une solution O.o

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Concernant la nouvelle, j'aimerai partager aujourd'hui le tout début de notre travaille. On avait commencé par imaginer le récit comme un roman et on s'est rapidement rendu compte que 22500 signes c'est très très peu pour fléchir ses muscles cérébraux et imaginer à loisir. Du coup cette partie ne sert pas à grand-chose sauf si un jour on décide d'en faire un roman. D'ailleurs, si vous avez deux minutes, laissez un commentaire sur si le récit vous a donné envie de connaître la suite. 

Le personnage n'est pas Matagi même si paradoxalement c'est lui qui intéresse, il fait son Cid en prenant toute la place. Non, le héros c'est Tamaïthi et je vous laisse faire connaissance avec ce jeune homme :

Tout premier jet : les pêcheurs de Lylico



Le sable fin réchauffait les pieds de Tamaïthi tandis qu’il parcourait la plage, alerte. Le jeune homme de quinze ans, habillé d’une tunique en chanvre aux motifs en cuir colorés courbait le dos de temps à autres à la recherche de perles déposées par les tempêtes qui affligeaient, quelques fois, Lylico.
Les yeux, d’un noir profond, de Tamaïthi s’illuminaient lorsqu’il apercevait une belle perle dépassant du sable. Mais ce n’était que lorsqu’il secouait cette dernière qu’il pouvait dire si oui ou non, elle était l’objet de sa quête. Car ce n’était que lorsqu’il la secouait que l’air s’immisçait dans les nombreux trous de la perle pour émettre un son qui lui était unique.
Aujourd’hui, il avait passé tout l’après-midi à chercher une perle dont le son rappelait le bruit des vagues, au loin. Malheureusement, il n’avait trouvé jusque-là que des « siffleuses » au son agressif et aigu qui n’était bon qu’à faire un collier de danse.
Soudain, il remarqua un scintillement bleuté à plusieurs pas de lui
-          « C’est la bonne » - s’exclama-t-il d’une voix encore enfantine en se précipitant sur l’objet de sa collecte. Il secoua frénétiquement sa prise près de son oreille et entendit distinctement les bruits d’éclaboussures – « Hahaha, plus vrai que nature » - dit-il agréablement surpris par le son trouvé.
Cependant, en rangeant la perle dans sa sacoche, le son ne s’arrêta pas. Confus, il se tourna vivement vers la gauche avant de comprendre.
Les yeux ébahis, il aperçut une scène digne des contes que les doyens avaient l’habitude de servir aux enfants du village les soirs de veillées.
Figé, sur place et incrédule, Tamaïthi regarda comme un petit objet si familier fut propulsé hors de l’eau par une force colossale. Dans l’instant suivant, un poisson au corps serpentin jaillit hors de l’eau pour gober cet objet scintillant qui n’était autre que le pêcheur de Lylico : Vay Matagi.
Cependant, ce dernier était trop haut pour le poisson au corps longiligne que Tamaïthi reconnu immédiatement comme l’Uumi’ia, une créature vicieuse mesurant en moyenne 9,5 mètres
Le poisson, lassé et frustré de ne pouvoir gober le pêcheur généra un arc électrique destiné à sonner ce dernier le rendant ainsi immobile et sans défense. Mais, ce dernier, sans hésitation aucune, projeta son harpon dont le bout métallique capta cette électricité dans sa pointe métallique avant de se loger profondément dans le crâne de L’uumi’ia. Et on pouvait voir, du trou béant, s’échapper des fumeroles.
Matagi s’écrasa ensuite lourdement dans l’eau, suivi par le poisson, et pendant un moment qui sembla durer une éternité pour Tamaïthi, rien ne se passa. L’océan avait retrouvé son calme et son rythme métronomique.
Le jeune homme resta planté, le souffle coupé, attendant la suite, en se demandant s’il avait bien vu, ce qu’il avait vu.
Il chercha le moindre indice dans l’eau, par-delà le mur de corail, lui permettant d’apporter une conclusion à ce conflit entre le poisson et le pêcheur. Et là, il vit Matagi « l’immortel » surgir en hissant sa prise par la queue ce qui faillit le faire hurler de joie, si ce n’était les émotions complexes qu’il éprouvait à l’égard du pêcheur.
Le long corps huileux du poisson émergeait interminablement de l’eau, tandis que ses muscles saillants frémissaient encore comme pour combattre le pêcheur une nouvelle fois.

Tamaïthi, ébahit par Matagi qui faillit lui arracher un respect indéfectible, se demanda comment est-ce qu’un homme, même de la stature imposante de Matagi, pouvait traîner un mastodonte aussi massif avec cette relative facilité.
Le pêcheur et sa proie traversèrent la barrière de corail jusqu’à la plage et c’est uniquement en cet instant que le jeune homme prit toute la mesure qu’était l’homme qui avançait vers lui.
Les rayons de soleil se reflétaient sur sa tenue métallique qui enveloppait entièrement son corps comme taillé dans la pierre. D’une couleur argentée, elle enserrait l’homme mettant en relief sa musculature saillante forgée par des années d’efforts colossaux, son dos droit et ses épaules larges.  Les traits durs et marqués par 30 ans de carrière étaient masqués entièrement par un casque qui n’avait de marquant que des yeux noirs globuleux, par lesquels le pêcheur pouvait observer le monde extérieur comme nul autre. Le reste de sa tenue était entièrement lisse et sans fioriture, à l’image de son porteur taciturne.
A mesure qu’il se rapprochait, le jeune homme entendit la voix grave du pêcheur, d’abord inintelligible puis insistante. Ce dernier se plaignait de la maigre prise de la fin de journée et se moquait de temps à autre de la bêtise de la bête qui avait osé le confondre avec son dîner.
Suffisamment proche, Matagi remarqua le jeune homme à qui il lança un regard indifférent caché par le masque de la tenue. Toutefois, sans même le voir, Tamaïthi sentit ce regard lourd qui le fit frémir pendant un moment qui sembla interminable. Il ne revint à lui que lorsque Matagi était déjà à l’autre bout de la plage, près de l’atelier de dépeçage au sable rougit par le sang.
Encore sous le choc, le jeune homme se dirigea machinalement en direction du village, loin de ce poisson qui même mort lui inspirait une terreur difficilement maîtrisable. Et il en était de même pour celui qui l’avait pêché.

Sur le chemin, Tamaïthi fulminait intérieurement contre Matagi
-          « Pour qui est ce qu’il se prend pour essayer de m’intimider ?  Moi, le fils du maire ? »
Il n’avait pas vu son regard derrière le masque mais il savait, il était persuadé que cet homme le prenait de haut. D’ailleurs, qui ne prenait il pas de haut ?
-          « Bah, pêcheur c’est quoi de toute façon ? Il va voir quad je serai maire, je ne m’écraserai pas comme mon père » - pensa le jeune homme.
Enervé, Tamaïthi se dirigea vers le seul endroit dans le village où il pouvait trouver du réconfort. A l’étale de Vajiré, à l’est de la place du marché. Là-bas, non seulement la nourriture était des plus plaisante mais la compagnie de la serveuse, Vanahé, l’était plus encore.
-          « J’espère qu’elle aimera la perle que j’ai trouvé » - pensa le jeune homme en imaginant d’avance le regard comblé de Vanahé. Et là, Tamaïthi ne put que sourire lui-même en anticipation.
Il navigua à travers le marché vide de monde à cette heure-ci, car la majorité des villageois étaient encore au travail. Il n’y avait d’assis sur les petites chaises en bois des différents étales, que des vieux et des oisifs.
Une fois arrivé à sa destination, Tamaïthi salua la vendeuse qui venait de s’installer avec entrain
-          Bonsoir, j’aimerai trois brochettes de Manav’ia bien cuites »
-          Comme d’habitude – répondit Vajiré la vendeuse avec un sourire accueillant.
-          Ah, je ne me suis pas rendu compte que je prends la même chose. Mais vous savez, une fois que j’ai trouvé ce qui me plait je n’ai besoin de rien d’autre.
-          Héhé, bien parlé. Mais je ne sais pas s’il n’y a que mes brochettes qui te plaisent ici. Prend place, ma fille ne devrait pas tarder.
-          Merci – répondit Tamaïthi en s’asseyant sur une chaise en bois avec un dossier en tresse de palmier et commença à jouer avec la perle entre ses doigts en attendant l’arrivée de Vanahé.
Ce n’est qu’un quart d’heure plus tard qu’il vit la belle jeune femme arrivée en compagnie de quelques autres jeunes. Et là, Tamaïthi tira une moue déconfite car Vanahé se trouvait trop près à son goût de Ta’auveni, l’une des jeunes idoles de Lylico.
Ce dernier était grand et robuste pour un garçon de son âge. A 15 ans, il avait déjà la taille et la force d’un adulte.
-          « Mais qu’est ce qu’ils font ensemble ces deux-là ? » - s’inquiéta Tamaïthi e lançant un regard noir à Ta’auvani qui le salua d’un geste de la main amical avant de prendre place non loin.
-          Ah, enfin. Je commençais à m’inquiéter – dit Vajiré sur un ton légèrement plaintif.
-          Je suis désolé maman. On n’a pas pu finir plus tôt, après on a parlé sur le chemin et je n’ai pas vu le temps passé – rigola Vanahé en faisant un bisou à sa mère.
Les jeunes qui l’accompagnaient s’installèrent rapidement, éreintés après une longue journée de travail sous le chaud soleil de Lylico.
-          Ah, Tamaïthi ! Quoi de neuf aujourd’hui ? – demanda l’un d’entre eux sur un ton joueur en continuant – j’ai cru entendre que ça ne s’est pas bien passé au dépeçage ?
-          Je ne travaille plus là-bas, je suis au bassin – répondit Tamaïthi en essayant de garder son calme devant Vanahé qui jetait des coups d’œil dans leur direction alors qu’elle aidait sa mère à préparer les assaisonnements.
-          Le bassin ? Quel bassin ? – demanda un autre – Si c’est celui de Ponoïvi, moi je ne t’ai pas vu là-bas.
-          Mais de toute façon, c’est le seul bassin qu’on a. Si tu ne l’as pas vu là-bas, c’est qu’il n’y était pas – se moqua un troisième ce qui fit rire toute la bande. 

Exaspéré, Tamaïthi se leva pour prendre sa commande et donner la perle à Vanahé, mais à cet instant, il fut poussé de l’épaule par So’otesi. Un autre garçon robuste et très connu pour être le rival de Ta’auveni. Cependant, à l’exception de ce dernier, So’otesi était aussi réputé pour son sale caractère.
-          Bonsoir – dit-il avec empressement à Vajiré – Met moi trois brochettes sur le feu. Je suis un peu pressé.
-          Ah tu veux rentrer auprès de ta femme. Comment elle va ? L’enfant se porte bien ? – demanda cette dernière avec un intérêt sincère.
-          Ah, c’est difficile. Il lui reste trois lunes avant le terme… Mmm, dis-moi, les trois brochettes là que tu as préparé sont à qui ?
-          Ah... – hésita la vendeuse
-          Elles sont à moi – affirma Tamaïthi
Là, So’otesi se retourna pour lancer un regard méprisant à Tamaïthi avant de dire à la vendeuse.
-          Je vais les prendre, tu en feras d’autres.
-          Qu’est-ce que tu dis ? – s’énerva Tamaïthi dont le cœur battait la chamade, scandalisé – J’ai attendu pour ces brochettes, tu attendras pour les tiennes
-          La seule raison pour laquelle tu es venu avant moi c’est que tu n’as pas travaillé de la journée. Tout le monde le sait – affirma So’otesi en écartant les bras et en regardant les autres jeunes présents qui hochèrent de la tête. 
-          Travail ou pas, je n’ai pas attendu pour toi. Un autre peut-être, mais pas toi
-          Quel autre ?! Tu n’as jamais rien fait que pour toi.

Voyant le visage de Tamaïth s’assombrir et ses yeux rougir, Ta’auveni qui avait gardé le silence jusque-là, intervint. Il posa la main sur l’épaule de So’otesi, calmement, et dit
-          Du calme, enfin. Si c’est mes brochettes le problème, les miennes sont bientôt prêtes. Prends-les, ça me fera plaisir. Je sais que si tu ne rentres pas tôt, ta femme te mettra le feu – rigola le jeune homme. 
Là, So’otesi joua des gencives avant de cingler
-          Pourquoi prends-tu toujours la défense de ce parasite ? Même si c’est le fils du maire, ce n’est qu’un bon à rien !
-          Ce n’est pas que je le défends. Mais franchement, est ce que ce n’est pas une perte de temps de t’énerver de la sorte et surtout pour quelqu’un comme lui ?
Tamaïthi, le souffle court, enragé, jeta un regard noir aux deux jeunes hommes comme pour dire qu’il se souviendra de cette humiliation. Le jeune homme saisit les brochettes en les échangeant contre sa perle et s’en alla vers sa maison, dans le quartier chic des maisons en pierre. Il marcha vite, ne pensant qu’à se retrouver sous ses draps et maudire tout le village qui ne comprenait rien à rien.

Mais une fois le seuil de sa maison franchit, il tomba sur son père, debout près de la grande table à manger. Et la vision de son père, la mine grave cumulée à celle de sa mère, les yeux bouffis, le troubla au plus haut point. Il n’avait jamais vu une telle scène de famille.

Hésitant, il pensa tout d’abord à un décès avant de remarquer un petit objet en bois posé sur la table. C’était le badge de sélection pour devenir pêcheur.
C’était l’objet le plus lourd à porter de tout le village, et toutes les familles le recevait avec crainte et excitation.

Fa’amasi regarda son fils en silence pendant un long moment. Son regard portait un ton solennel teinté de désespoir.
A plusieurs reprises, il fit mine de parler puis se ravisait et Tamaïthi faisait de même. Père comme fils ne savaient quoi se dire.

Finalement, Fa’amasi inspira longuement avant de déclarer d’une voix rauque qui trahit son inquiétude
-          Tu connais la signification de ce badge. Tu sais donc ce qui est attendu de toi.
-          Il doit y avoir une erreur. Matagi est encore vivant, je viens de le voir – répondit Tamaïthi en panique.
-          N’as-tu pas demandé ce matin ce qui s’était passé à la réunion du conseil qui a eu lieu hier ? Et je t’ai dit que si tu étais malchanceux tu serais l’un des premiers informés. Eh bien mon fils, tu es malchanceux.
-          Non, non, non… Tu dois faire quelque chose ! Je ne veux pas, je ne peux pas être pêcheur ! – avoua Tamaïthi en repensant qui l’avait terrifié tantôt ainsi qu’à la très courte carrière des pêcheurs. Leur espérance de vie était de 5 ans, et la seule exception était Matagi qui écumait l’océan voilà 30 ans maintenant.
-          Ce n’est pas une question de capacité, mais de responsabilité. Toutes les familles convoquées doivent répondre présentes.
-          Je ne comprends pas…
-          Tu n’as jamais compris – coupa sèchement Fa’amasi en tonnant – Il est temps que tu prennes tes responsabilités pour une fois !
-          Chéri, on peut faire quelque chose ? On peut dire qu’il est malade ? – intervint sa mère
-          Hors de question ! Il ne sera pas dit que le maire cache son fils dans le pagne de sa femme.
-          De toute façon tu as toujours été plus maire que père.

Fa’amasi, d’un geste brusque, gifla son fils si fort qu’il en perdit l’équilibre.
-          Insolent ! Que n’ai-je pas fait pour toi ? Ne t’ai-je pas nourri ? Logé ? Vêtu ? Ne t’ai-je pas soigné quand tu étais malade ? Même pour le travail, que n’ai-je pas fait pour que tu puisses suivre mes traces ? Idiot ! C’est toi qui t’es ruiné tout seul.
-          Je n’ai rien fait… - dit Tamaïthi en se tenant la joue avant d’être coupé.
-          Justement, tu n’as rien fait lorsque je t’ai envoyé chez La’aumati. Ah si, tu as fait, tu as détruit 20 kilos d’herbes médicinales par négligence. Puis chez les dépeceurs tu as gâché la prise du jour en perçant la bile de venin. Et ce matin même tu devais te rendre au bassin, est ce que tu y es allé ?

Tamaïthi, sonné par les claques physique et émotionnelle, resta silencieux. Du regard il implora sa mère de l’aider, de convaincre son père de faire preuve de sens.
-          N’y pense même pas. J’ai suffisamment écouté ta mère – dit Fa’amasi en captant la manœuvre si souvent utilisée.
Voyant cet espoir disparaître Tamaïthi s’écria violemment
-          Je ne veux pas être pêcheur, je serai maire.

-          Maire ? – demanda son père dont les yeux s’écartèrent d’étonnement – Maire d’où ? Certainement pas ce village – dit-il en s’esclaffant devant tant de naïveté – Qu’es tu fais pour être maire à part être né de ma graine ? De ta génération, Ta’auveni aurait plus de chance d’être maire que toi, et tout le village en parle déjà.

La mention de ce nom et le souvenir de l’étale suffirent à sortit Tamaïthi de ses gons
-          Je suis ton fils ! C’est moi qui serais maire !
-          Tu peux toujours rêver, en attendant l’affaire est décidée. Si tu refuses de participer à la sélection je te renie et tu finiras ta vie dans la fataïné que tu déteste tant.
-          Si je participe je risque de mourir
-          Je suis encore vigoureux, un autre enfant est envisageable.
Tamaïthi tomba des nues. Jamais son père ne lui avait adressé de tels mots qui le blessèrent comme un couteau. Lui, dans la fataïné comme les inutiles ? Comme la majorité du village ? Impensable ! Et parler de le remplacer avec une telle facilité… Le jeune homme regarda son père, un sourire sarcastique aux lèvres.
-          Tout ce qui t’intéresse c’est la contribution au village, mais je fais comment si le village ne veut pas de ce que je peux apporter ? – demanda-t-il et son père le regarda d’un air interrogateur – Lorsque j’étais chez La’aumati, à la plantation, je voulu l’aider à améliorer son système d’irrigation mais il ne m’a pas entendu et à tout gâché. Puis chez les dépeceurs, je reconnais avoir gâcher le poisson. Mais je n’avais pas été distrait par les autres j’aurai pu récupérer le venin. Peut-être qu’on aurait pu l’utiliser pour aider Matagi…
-          J’aurai pu, j’aurai fait. Toujours pareil mon fils. Alors laisse-moi juste te dire que dans un mois tu Vas participer. La discussion est close.
Tamaïthi, regarda longuement son père avant de prendre l’escalier et de s’enfermer dans sa chambre. 






Voili voilou, normalement le texte est plus long mais je ne retrouve pas la première partie. N'hésitez pas à dire si vous avez envie de connaître la suite. 

Merci de me lire ! Vous êtes formidables !! Tchuss et à demain !!! Portez-vous bien !!!!


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